Beauty and the Pimp « Come eat with me.» FT Maksymilian

B L O O M into me :: Salle des fêtes :: [EVENT 10/2021] Bal d'halloween


Mar 2 Nov - 23:00
Come eat with me Maks & Circe « Les buffets sont fabuleux par ici » D’un œil gourmand, Circé vint se saisir d’un petit-four jonchant les buffets de la pièce. Il n’y avait rien de mieux que les buffets, dans les bals de ce genre avait-elle pensé. Peut-être était-ce même l’une des raisons pour laquelle elle avait écouté sa fille qui avait souhaité qu’elle y aille. Non pas par bonté de cœur, mais sûrement pour s’accaparer toute la maison et y faire la fête le temps d’Halloween. Bien qu’ennuyée, Circé avait pensé à la nourriture et avait accepté de s’y rendre à condition que la demoiselle ne fiche pas le bordel dans leur joli logis. Alors, elle s’en était allée, chauffeur cordiale et tout apprêtée, ayant oublié que ce jour-là elle gagnerait une autre année. De toute manière, elle le fêterait le lendemain, sa fille y tiendra, trouvant toujours un prétexte pour organiser une petite fête. Arrivée au lieu de rendez-vous, elle avait déploré y voir autant de monde. Certains qu’elle supportait, d’autres qu’elle n’aimait pas et pour en ajouter une couche, il avait fallu qu’on lui colle un partenaire. Après avoir grommelé dans sa jolie barbe imaginaire, elle avait pris sur elle à coup de force surhumaine et s’était décidée à tenter d’arrêter de râler. De toute manière, c’était le principe d’un bal et peut-être était-elle trop irritée à cause de ses quelques journées de la veille qui l’avait épuisé. Son partenaire n’était pas encore arrivé. Ce qui la satisfaisait. Non, elle n’était sûrement pas encore prête à l’accueillir, après tout, elle craignait d’arborer un petit air renfrogné, quand bien même sa paire de binocle cachait une bonne partie de son jolie minois. Alors, elle avait repéré le buffet et un sourire, sur ses lèvres rougeâtres s’était dessiné. Quoi de mieux que la nourriture pour pouvoir se détendre dans un tel moment si déplaisant ? Jetant quelques coups d’œil par-ci par-là, ses pas délicats la menèrent jusqu’à ce qu’il semblait être le graal. Elle avait épiée chaque petit-four, chaque viennoiserie avec une étonnante gracieuseté. Fourrant un petit croissant feuilleté au saumon, du bout des doigts, son regard s’attarde un temps sur les autres participants sans l’ombre d’un grand intérêt. Cependant, il ne lui fallut pas longtemps pour apercevoir une petite figure plus familière. Un peu plus italien que d'ordinaire. Un autre sourire lui vint, plus malicieux, plus moqueur. Elle ferait mine de ne l’avoir pas vu et se ferait désirer. Du premier coup d'oeil, elle avait deviné qu'il était son dépressif préféré, d'après les détails sur son costume qu'il lui avait donné. Il ne lui restait plus qu'à se rendre compte qu'elle était là, ayant les infos qu'elle avait jugé bon de lui donner pour la reconnaître : soit trois simple mots : Coal, 19th, Victorian. Jusqu'au bout, elle l'aurait enquiquiné. C’est lui qui viendrait à elle et certainement pas l’opposé. Alors, elle lui tourna le dos. De toute manière, il la connaissait bien, elle et ses mauvaises manies qui avaient surtout l’apparence de taquineries. . ASHLING - EPICODE	Invité Invité



Lun 22 Nov - 23:55
elle se fait désirer, la jeune femme -ou tu pourrais l'appeler la vieille mais alors tu te sentirais vieux aussi. elle se fait désirer, comme toujours. elle se fait courir après, la star qu'elle est. et toi, tu joues le jeu. pas toujours, mais ce soir, tu veux bien lui laisser le plaisir de te malmener quelques instants. elle appréciera le geste, tu le sais. est-ce qu'elle te le rendra ? pas vraiment, non, tu le sais, mais c'est ce qui est amusant aussi. c'est ce qui te fait rire. tu lis les mots qu'elle t'a envoyé en boucle, c'est qu'elle est rigolote, la circé. elle se joue de toi, souvent. mais son aura ne passe pas inaperçu, bien au contraire et elle ne se cache de rien. alors tu souris, quand tu t'approches d'elle, ton masque de lapin playboy toujours sur le front. « alors, on joue les pique-assiettes ? » demandes-tu, soudainement aux côtés de la jeune femme, faussement séducteur (faussement ?), « je savais que tout était mensonge de ta part, mais tout de même... » et un sourire apparaît sur ton visage, « miss. enfin, devrais-je dire, madame, mamie ? » tu retiens un rire. elle risque de t'atomiser mais c'est ça qui est bon, entre vous. « c'est pour fêter l'anniversaire ? » après tout, c'est elle, qui prenait une année de plus.	Maksymilian Kaminski proxénète Messages : 76



Mar 23 Nov - 1:20
Come eat with me Maks & Circe Circé se tourna vers Maksymilian en entendant sa voix proche de son oreille et lui offrit un léger sourire mêlant espièglerie et moquerie, partagée entre le désir de se payer sa tête et celui de lui faire un accueil chaleureux en guise de bonne action de l’année. Une idée qui s’estompa rapidement en l’écoutant parler. Des mots qui lui valurent le droit d’arquer l’un de ses sourcils et de plisser les yeux. Maks cherchait déjà la guerre. C’est qu’il était pressé ces temps-ci. Maks si tu es déjà à la recherche des soucis, Alors tu es tombé à pic. Figure-toi qu’à côté de moi se trouve des macarons assez gros et délicats pour te boucher les narines à ne plus te laisser l'opportunité de respirer. Cela serait dommage que l’on puisse en arriver à de telles extrémités. Je viens de faire ma manucure et tes narines sont très séduisantes soit dit en passant. Pense à elles. Lui dit-elle d'une voix suave, tout en clignant frénétiquement les paupières. En piquant deux et en plaçant l’une dans la paume de Maks qu’elle avait délicatement saisi et retourné, elle se met en quête de croquer dans le sien du bout des lèvres en épiant la salle d’un air interrogateur. Je dois bien reconnaître que cela m’aide à avaler le fait que demain, je devrais supporter toute une panoplie de sale gamin sous mon toit pour une fête et qui, bien sûr, sera en ta compagnie. D’ailleurs, que comptes-tu m’offrir ? N’espère même pas y échapper. . ASHLING - EPICODE	Invité Invité



Mar 23 Nov - 1:34
tu l'avais bien cherché, tu le savais. mais c'est comme ça, entre vous, n'est-ce pas ? c'est un peu taquin, un peu de tout. des grands enfants qui se tirent la bourre parce que c'est bien plus marrant une fois adulte. vous avez le temps de prétendre vous chamailler, vous avez le temps de faire les enfants. vous ne l'aviez probablement pas avant. tu sembles jauger les macarons, puis tes narines. pouvaient-ils vraiment rentrer ? « mais ma bouche ne serait que trop occupée à te demander de l'aide pour respirer... » parce que, bien entendu, avec des macarons dans le nez, respirer serait difficile. l'idée te fait rire. « votre grâce est trop bonne.» tu la taquines et la remercies pour le met qu'elle a glissé dans ta main plutôt que dans tes narines. tu en es véritablement reconnaissant. « mais je retiens que tu trouves mes narines séduisantes, c'est un bon début... » le début de quoi, tu ne sais pas, ça te fait rire. tu es invité à une fête soudaine, en compagnie d'enfant. c'est pour te tuer un peu plus. tu grimaces. pas vraiment enjoué. « ma niece ferait-elle encore des siennes ? » comme si tu étais vraiment de la famille. ce sentiment d'appartenance qui pour une fois te satisfait. « Cici, ma reine, mon impératrice. » tu étouffes ton rire. « je pense bien à t'offrir mille et une merveille.... et puis, je me suis dit, rien ne vaux et n'égale l'amour que je te porte... » et tu devrais faire attention à ce que tu dis, les paroles ne sont pas si légères. « c'est le plus beau des cadeaux que de m'avoir là à tes côtés, d'être gratifié de ma présence... » tu joues, tu t'amuses, tu plaisantes. ils sont rares ceux à te voir ainsi, mais circe le peut. et tu ris. encore.	Maksymilian Kaminski proxénète Messages : 76



Mar 23 Nov - 2:25
Come eat with me Maks & Circe Circe avait mimé un petit air prétentieux tandis qu’elle se hâtait de mastiquer le petit gâteau rosé et écoutait son nouveau beau parleur préféré. Elle avait manqué de pouffer en le jugeant lui et ses réponses. Il valait cependant mieux qu’elle se calme si elle ne voulait pas cracher ces quelques morceaux qui lui restaient encore dans la gorge, sur le costume de Maksymilian. Quoique cela serait un grand manque de classe, il l’aurait tout de même mérité. « Quand on veut, on peut, mon ami. » Avait-elle répondu. Après quoi, elle avait soupiré en songeant à sa fille, mais n’eut pas le temps de répondre qu’elle manqua d’écarquiller les yeux devant un florilège de mot doux qui avait encore le don de la surprendre. Surtout en cet instant. Il lui fallu alors cacher ses lèvres du dos de sa main pour réprimer le rire qui menaçait de sortir. Maks était définitivement l’homme lui plus amusant qu’elle eut à rencontrer dans sa vie et ses enfantillages avaient le don de refaire sortir les siens. Quel homme. Sans surprise, elle ne put résister à une petite risette et lui susurra. « Sais-tu comment a terminé la vrai Sissi ? Elle est morte assassinée Maks et je doute vouloir le même destin qu’elle. Après tout, quelle autre femme pourrait, à ma place, jouir de tes attentions les plus douces et les plus humoristiques ? Se flatter en constatant la puissance de sa beauté à en séduire le cœur d'un homme pourtant épris des charmes de la masculinité ? Qui d’autres pourrait supporter tes sourires ignoblement charmeurs à en faire chavirer le coeur d'un gobelin et ta chevelure qui ne cesse de me faire éternuer chaque fois que tu me fouettes le visage avec elle, lorsque tu te tournes ? » Quand bien même Circé était entrée dans son jeu, elle avait tout de même trouvé le moyen de lui faire un reproche en insistant bien sur les dernières phrases. Il lui arrivait de vouloir lui tirer les cheveux, mais du haut de ses 31 ans -pardon de ses 32 ans-, elle ne pouvait pas se le permettre. Du moins, en public… Sans prévenir, sa main vint saisir l'une de ses mèches noires après s'être essuyée les mains pour jouer avec et elle sourit. « M'enfin oui, ta nièce fait encore des siennes. J'ose espérer qu'elle aura au moins l'amabilité de me gâter et en parlant de gâterie. N'ose pas imaginer que tes mille et une merveille soient des cadeaux immatériels si tu ne souhaites pas que je me venge pour le prochain premier avril. » Elle n'avait jamais eu de mal à dire nièce. Au contraire, cela était même devenu, avec le temps naturel de sa part sans qu'elle n'y prête réellement attention. l'adoption de ce cher Maksymilian s'était donc déroulé sans complications. ASHLING - EPICODE	Invité Invité



Jeu 25 Nov - 9:11
Circé ne se tait jamais. Elle parle, parle, parle sans cesse. Cela ne t'ennuie pas plus que ça, habituellement, tu l'écoutes. Mais d'humeur taquine, tu esquisses un faut bâillement, un peu trop bruyant. Tu n'avais que faire de Sissi, assassinée, ou non. De toute manière, pour se débarrasser d'elle, il faudrait vraiment le vouloir. Et même le vouloir ne serait peut-être pas assez, finalement. Elle a le don de complimenter sans vraiment le faire, ignoblement charmeurs, l'oxymore te fait sourire. ça te va bien, cela. la puissance de sa beauté, il est certain qu'elle est belle, la douce. Peut-être un peu trop ce soir. A bien la regarder, n'y aurait-il pas quelque chose de différent chez elle ? A bien la regarder, ne ferait-elle pas battre ton coeur un peu plus vite ? Tu fais comme si de rien était, tu ignores ces pensées. Mais c'est vrai qu'elle est belle, Circé. C'est vrai qu'elle resplendit, Circé. « Mais c'est parce que tu es la plus belle femme que l'on puisse rencontrer... ! » et peut-être que cela, tu le penses vraiment, bien qu'amusé, bien que taquin, bien que joueur. Elle est la plus belle femme que tu n'aies jamais vu -et tu en as vu, des femmes. Nue ou non, dans ton lit ou non. Tu en as vu, des femmes. Sous l'obligation ou sous l'alcool. Mais Circé, Oh Circé, Ce soir, elle te fait tourner la tête. incompréhension. Sa main dans l'une de tes mèches trop longues, serait-ce ton coeur qui a loupé un battement ? Non, c'est l'alcool que tu as bu tout à l'heure, ça. Il te rend un peu étrange, il devait être un peu fort, trop chargé. Oui, c'est sûrement cela. « je pense qu'elle va t'offrir une super maison à ranger quand tu rentres, si tu veux mon avis... quand le chat n'est pas là, les souris dansent, c'est ce que l'on dit non ? » et ça te fait rire. ta nièce comme tu aimes tant l'appeler, une adolescente en crise. tu connais ça, toi aussi. tu n'as pas eu le temps de te rebeller -ou as-tu été un rebelle toute ta vie ? « aaah, tu ne me fais jamais de cadeaux, à moi ! » comme si tu boudais, enfant. il est où le cadeau de tes trente-deux ans, hein ? enfin, tu ne les as pas encore. toi. « pour la peine, je suppose que je suis obligé de t'inviter à danser... » au milieu de ces millions de costumes. tu ris. « chère princesse, que dis-je, impératrice, qui ne finir pas comme sissi, assassinée, ne t'en fais pas. » et tu lui tends la main. « à moins que tu préfères le buffet. je peux comprendre que les temps soient difficiles... » et tu retiens un rire trop fort. qu'est-ce que tu aimes l'embêter circé. qu'est-ce que tu l'a...	Maksymilian Kaminski proxénète Messages : 76




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