RAPHAËL DUBOIS
Mister Sandman bring me a dream, make her the cutest that I've ever seen.
✿ Nom : Dubois
✿ Prénom : Raphaël
✿ Date & Lieu de naissance : 17 mai à Saint-Nazaire-le-Désert
✿ Âge : 27 ans
✿ Nationalité : Français
✿ Origines : Françaises
✿ Orientation sexuelle : Hétérosexuel -he thinks- c'est compliqué okay
✿ Statut civil : Célibataire
✿ Statut social : Modeste
✿ Profession | Études :Artiste & Tatoueur, récemment barista en carton
✿ Groupe : Shooting Star
✿ Nom de la fleur : Hortensia
✿ Ce qu'il préfère chez lui, physiquement ou non ? : Il adore ses mains. ses doigts plus particulièrement. Il trouve vraiment qu'il a de belles mains. Puis il a un cul d'enfer aussi mais il n'avouera jamais publiquement qu'il est fier de son fessier.
✿ Son moment de la journée préféré ? : La nuit, quand les gens changent et deviennent intéressants.
✿ Est-ce qu'il a une passion dont il ne parle pas ? : Les films à l'eau de rose. Il a une collection de dvd planqués sous son matelas et il flippe un peu à l'idée que quelqu'un les découvre.
✿ Plutôt du genre à s'endormir directement ou à se faire trois films dans sa tête avant ? : Raphaël c'est une masse. C'est bien simple, il suffit que sa tête touche l'oreiller/le canapé/le sol pour qu'il s'endorme. Il s'est déjà réveillé un jour dans sa baignoire après une nuit de sommeil absolument délicieuse.
✿ Comment est son écriture ? : Nerveuse et mal fichue. Une fois sur trois, il n'arrive pas à se relire. Ne parlons même pas des autres...
✿ Gaucher, droitier, ambidextre ? : Droitier
✿ Quelque chose qu'il ne supporte pas ? : Se sentir médiocre, pas suffisant. Puis sinon passer des nuits entières à tenter des dessiner des trucs qui finissent parfois par rassembler à de vieux machins mutants et en fin de vie. Il pète des plombs avec les proportions.
✿ Est-ce que sa vie actuelle lui plaît ? : Il est toujours très satisfait de ce qu'il a en voulant toutefois toujours plus. Comprenez donc qu'il va bien. Mais qu'il vit très mal la situation avec Anna et qu'il ira probablement mieux le jour où il se rendra compte qu'il veut pleins de bébés avec elle.
Give her two lips like roses and clover and tell her that her lonely nights are over
Affectueux ✿ Appliqué ✿ Attentif ✿ Avenant ✿ Borné ✿ Charmant ✿ Courageux ✿ Créatif ✿ Cultivé ✿ Curieux ✿ Décontracté ✿ Débrouillard ✿ Désorganisé ✿ Digne de confiance ✿ Direct ✿ Dominateur ✿ Drôle ✿ Galant ✿ Inspiré ✿ Impulsif ✿ Jaloux ✿ Libre ✿ Malin ✿ Naturel ✿ Passionné ✿ Protecteur ✿ Provocateur ✿ Rancunier ✿ Romantique ✿ Rusé ✿ Sarcastique ✿ Sensible ✿ Sociable ✿ Sûr de soi ✿ Talentueux
Aussi loin que tu te souviennes, t’as toujours été un de ces foutus mecs irrémédiablement et insupportablement fleur-bleue. Et aussi loin que tu t’en souviennes, tu as toujours nié farouchement adorer tout ça. Peut-être que c’est à cause de ta famille, après tout, c’est pas simple d’être l’unique mec parmi quatre foutues pestes de sœurs qui se paient ta tronche en permanence parce que, soi-disant, t’es une vraie gonzesse. Premièrement, tu trouves ça vachement grossier et réducteur d’appeler une femme « gonzesse » mais soit… Puis deuxièmement, tu les emmerdes tes mochetés de sœur : elles n’ont pas de coeur. Mais bon, tu les aimes quand même tes pestes préférées et elles te manquent un peu maintenant que t’as eu l’excellente idée de t’expatrier.
Du coup t’es… fleur bleue. Alors effectivement, peut-être qu’un homme, un vrai, ça n’attend pas quatre heures du mat’ pour être l’un des premiers à acheter l’édition collector du dernier roman à l’eau de rose en date qui l’a fait pleurer comme une fillette. Et peut-être que tu pleures pour un rien mais ça n’est pas de ta faute si tu as des allergies épouvantables qui te mettent la larme à l’œil systématiquement pour des conneries. Puis que celui qui n’a jamais pleuré en regardant « Avant toi » te jette la pierre : cette saloperie d’histoire d’amour est atrocement… atroce. Bon d’accord, tu pleures effectivement pour pas grand-chose. Soit. Et tu aimes effectivement un peu trop les histoires d’amour. Est-ce que ça te donne envie de te taper la tête dans un mur parfois ? Carrément. Est-ce que ça va t’empêcher de défendre jusqu’à ton dernier souffle et avec véhémence que « Orgueil et préjugés » est le meilleur bouquin de tous les temps ? Jamais. Elizabeth Bennet est pour toujours dans ton cœur.
Tu aimes le beau. Peu de gens diraient qu’ils aiment le moche mais toi, tu recherches la beauté et la perfection en chaque chose. Et ce que tu adores le plus, c’est quand ce sont les imperfections qui rendent magnifique. Tu aimes les failles et les blessures qui font ressortir la splendeur. Les diamants à l’état brut qui scintillent de mille feux lorsqu’ils se laissent aller. Et plus que tout, tu adores les coucher sur le papier, les figer dans leur beauté pour l’éternité. C’est pour ça que tu aimes tant dessiner : pour emprisonner l’instant dans l’immuabilité.
Le dessin, tu as ça dans le sang. Qu’on t’enlève tes crayons et ton papier et ça serait comme te priver de ton existence. Alors non, tu n’es pas dramatique, tu es passionné : ça n’est pas pareil. Oui, tu pourrais effectivement vivre sans gribouiller mais ! tu pourrais également vivre avec un rein en moins et on ne viendrait pas te faire chier à dire que t’exagères à te plaindre de devoir vivre sans. Dessiner c’est ce qui te permet de t’évader, de t’échapper de ta réalité et de t’ancrer dans un univers qui n’appartient qu’à toi. Te retirer ça, ça serait t’éteindre, ça serait rendre monochrome un monde que tu vois avec tellement de couleurs qu’il t’en donne le tournis. Une demi-vie, une vie maudite. Et toi, toi tu veux vivre à en crever les étoiles.
Avec toi, on ne s’ennuie jamais aussi. Déjà, t’as un caractère plutôt… entier ? Bien trempé ? De merde ? Disons que tu ne lâches pas facilement l’affaire si tu penses être dans le vrai et que si en plus on essaie de te faire chier... Au moins tu n’as jamais étranglé personne ! Et parfois c’est tellement plus simple d’en venir aux mains pour faire passer une idée plutôt que de parlementer pendant des plombes avec un abruti. Surtout si ledit abruti est un connard qui estime qu’on peut traiter une femme de « sale pute » et de « chienne qui aime ça » quand on l’a croisée dans la rue cinq secondes plus tôt. Les hommes ont des manières détestables parfois ! Est-ce que c’est de ta faute si tu dois leur faire entrer un peu de savoir vivre dans le crâne ?
T’aimes t’amuser aussi mais qui n’aime pas ?! On n’a qu’une vie et tu comptes bien profiter de la tienne jusqu’au bout et l’existence est faite pour faire le pleins d’expériences ! Et de toutes façons, on ne peut pas prétendument détester le saut en parachute si on n’a jamais essayé de sauter d’un avion au moins une fois, pas vrai ? De là à dire que t’es quelqu’un d’impulsif franchement… Les gens sont parfois des petites natures !
✿ Random facts ✿
Sors toujours avec un petit carnet et des crayons pour dessiner ✿ Aime faire le portrait d'inconnus ✿ Tatoue parfois dans l'illégalité mais t'as un diplôme ! ✿ Une bonne descente niveau boisson, la faute des beaux-arts ✿ Accroc à l'adrénaline ✿ Kiff les bouquins et les vieux films ✿ Crois aux âmes-sœurs ✿ Te retrouve souvent dans ta bulle quand t'es inspiré ✿ Profonds respect envers les femmes, t'as grandis entouré de filles ✿ Donne plus que tu reçois ✿ Aime se lancer dans des causes à défendre, participer à des manifs, se battre pour ses convictions
Oh Sandman, I'm so alone. Don't have nobody to call my own. So please, turn on your magic beam. Mister Sandman, bring me a dream.
Tout commence dans les cris, la sueur et le sang. Il faut dire que t’es un putain de beau bébé : trois kilos et huit cent grammes pour cinquante-six centimètres. Ton père s’extasie devant chaque nouvelle contraction et ta mère a des envies de meurtres envers son mari. Dix heures qu’elle n’a pas bu une goutte avec cette fichue péridurale et tu te refuses obstinément à sortir. Pas encore né et déjà un chieur. Finalement, tu te décides enfin à pointer le bout de ton nez deux longues heures plus tard et tu entendras parler du calvaire de ta naissance à chaque repas de famille pour au moins les vingt-sept prochaines années.
Adorable petit ange aux boucles brunes, on te donnerait le bon dieu sans confession. C’est pour ça que c’est d’autant plus drôle de faire les quatre cent coups en t’échappant par le portail bleu pour rejoindre tes partenaires de crimes. Aussi loin que tu t’en souviennes, il a toujours été là ce portail bleu avec sa peinture écaillée, son verrou rouillé et ses planches de bois défoncées. Et aussi loin que tu t’en souviennes, tu l’as toujours aimé, c’est ta porte sur un monde de possibilités et tu prends un malin plaisir à le franchir pour partir à l’aventure. Tu te revois en train de l’escalader sur la pointe des pieds et te retrouver le nez au sol cinq secondes plus tard quand il s’ouvre sous ton poids. C’est l’une des premières leçons que tu as apprises : la gravité et un cul plombé, ça fait vite mal. Mais ça ne t’as jamais empêché de recommencer encore et encore, obstiné que tu es de toujours passer par-dessus plutôt que de l’ouvrir comme toute personne normalement constituée. Puis parfois, tu t’appuies contre et tu lis des romans « de fille ». Tu les dévores après avoir été les piquer dans la chambre de ta sœur aîné et tu adores ça. Elle, un peu moins. Mais elle ne peut jamais t’en vouloir bien longtemps quand tu sors de tes romans préférés terminés avec le souffle coupé, les yeux bouffis d’avoir trop pleuré et le nez rougit.
Deux valises sur le pas de la porte et tu prends tes parents dans les bras, une boule dans la gorge et les yeux papillonnant pour ne pas pleurer. C’était ta décision, t’en rêve depuis tout gamin, mais partir à Paris ça te fait un truc. Quitter ta famille, ça te fait un truc. T’appréhendes un peu et t’espère franchement ne pas te faire bouffer tout cru par la capitale : il parait que les paysans dans ton genre, elle en mange deux tous les matins. Mais t’as fait ton choix et, au fond de toi, tu sens bien que c’était la chose à faire. Tu vas découvrir la vie et devenir la personne que tu veux être. Un artiste. Peut-être fauché et raté mais au moins tu seras maitre de ton destin. Ton père a bien tenté de te parler un peu d’un métier plus sérieux mais tu sais bien que les crayons c’est ton avenir et que c’est dans un bureau que tu serais le plus malheureux. Alors tu pars avec tes deux valises sous les bras, des rêves pleins la tête et tu dis au-revoir à ton portail bleu.
Paris c’est… éblouissant. Une claque. La ville est bruyante et tu n’en es pas tellement fan mais tout est tellement plus intense ici. Même le métro-boulot-dodo est différent dans cette ville qui ne semble jamais dormir. Et tu adores ça, toute cette effervescence. La ville bouillonne et c’est dans cette ambiance que tu griffonnes des pans de vie sur tes cahiers à ne plus en finir. Tu découvres véritablement cette passion qui t’anime depuis toujours et tu mets un point d’honneur à être plus critique envers toi-même que n’importe qui d’autre. Et tu vis chaque jour d’une nouvelle manière. Tu dessines, tu sors, tu bois, tu fumes et tu dragues. Tu lis toujours aussi. Mais tu dessines surtout. Et le dessin ça marche de dingue avec les filles. Elles trouvent que ça te donne du charme et il faut bien reconnaitre que t’es charmant.
Une de plus qui n’était pas faite pour toi. La claque résonne tandis que ta joue te lance et tu la regardes partir avec des larmes pleins ses grands yeux noisettes sans un seul mot. Qu’est-ce que tu pourrais dire d’autre ? Tu viens déjà de la quitter et de lui briser le cœur, tu ne peux rien rajouter pour enlever sa peine et tu te détestes pour ça. Tu ne l’aimais pas. Tu as essayé pourtant. Mais tu n’aimes pas et tu ne sais pas pourquoi. Elle était magnifique, encore une fois, après tout tu n’aimes que le beau mais, qu’est-ce que la beauté sans l’amour ? Et quelque part, au fond de toi, tu sais que tu veux vivre ça. L’amour avec un grand A. Parce que tu es déjà tombé amoureux des centaines de fois mais jamais à t’en couper le souffle. Toi, tu veux tout. Des frissons du premier regard à l’ivresse des premières caresses. Tu veux des poèmes et des déclarations d’amour enflammées. Tu veux de la passion, de l’ardeur et un feu d’artifice. Tu veux de l’intense et du douloureux. Tu veux aimer et être aimé en retour. Jusqu’à t’en brûler les ailes.
Tu es revenu. Les Beaux-Arts c’est terminé et te revoilà à la case départ. Tu retrouves vite le monde d’avant. Le portail bleu qui désormais t’angoisse plus qu’il ne te rassure et tout un monde de possibilités lointaines qui t’asphyxient de leur inexistence. Tu ne peux pas vivre comme ça. Tu ne veux pas : il faut que tu bouges. Tu veux voir le monde, étendre ton univers et effleurer du bout de tes crayons un pan d’infinité. Tu ne peux pas te contenter de rester dans ce trou à rats toute ta vie. Et ça te fait quand même un pincement au cœur de le quitter ton village paumé, encore plus de partir loin des tiens mais tu en as besoin, c’est viscéral. Tu as cette petite voix au fond de toi qui te dit que tu es destiné à plus, plus que ces filles fades que tu n’aimes pas, plus que ces gens aux vies rangées comme du papier à lettre, plus que ce joli portail bleu. Alors tu fais tes valises pour la seconde fois et tu promets d’envoyer des cartes postales. Toi, tu veux tout et plus encore. Tu veux découvrir les bordels de Rio et voir les lacs de lave d’Hawaii, voir de tes propres yeux les érables rougir à Osaka et les hommes se perdre à K’Road. Tu vas vivre.
Et depuis tu ne t’arrêtes pas. Tu as vu tout et plus encore et tu en adoré chaque instant. Tu as gribouillé sur tes carnets jusqu’à t’en faire mal et tu as capturé des instants d’éternité. Ça te fait un bien fou. Puis t’adore les encrer à jamais sur la peau aussi. Ça, c’est une de tes nouvelles découvertes et récentes passions. Parce que laisser ta marque, ta trace, à vie sur quelqu’un, ça te fait un truc et t’aurais jamais cru que ça pourrait te satisfaire autant. Après sur le côté, t’as commencé à travailler dans ce café dès que t’as posé ton fessier à Auckland. T’y connais rien et tu trouves ce breuvage absolument infect mais ça t’éclate que tout le monde s’extasie sur ton habilité à dessiner dans les latte. Et ta vie continue comme ça, tranquille et merveilleuse.
Tu crois bien que ton monde s’arrête à l’instant même où tu entends ce rire délicieux pour la première fois. Honnêtement, tu ne t’attendais pas à grand-chose en rentrant dans ce bar. Tu voulais juste t’asseoir, profiter de la brûlure de l’alcool et gribouiller la réalité dans ton carnet. Et puis cette créature onirique était venue s’asseoir à ta table. Délicieuse apparition aux cheveux d’or. Tu as toujours eu un faible pour les blondes mais celle-là, elle te retourne l’estomac. Ce n’est pas des papillons que tu as dans le ventre, c’est plutôt un troupeau de mammouths qui piétine tout sur son passage ! Dieu qu’elle est belle. Tu la regardes comme si tu étais un aveugle qui voyait pour la première fois et tu as envie de la coucher sur le papier encore et encore pour la graver à jamais dans ton esprit. A-t-on jamais vu plus belle créature sur cette terre ? Elle est de ces beautés délicates qu’on penserait tout droit sortie d’un rêve et tu te surprends à vouloir t’enfuir avec elle sous la pluie en riant et dansant comme un idiot niais dans un de tes stupides bouquins. Putain ce que t’es pathétique. Pourtant c’est plus fort que toi et, plus tu lui parles de tes passions, plus elle te parle d’elle, et plus tu as envie de tout faire pour qu’elle fasse partie de ton monde. Elle est drôle, elle est intelligente, elle est superbe et elle parle le sarcasme. Le sarcasme ! Alors quand la soirée touche à sa fin, tu n’as plus qu’une idée en tête : cette fille… cette femme, tu dois la revoir. Du coup tu tentes un truc, t’es pas trop sûr que ça fonctionne mais, quand tes lèvres frôlent sa peau dans un baisemain ridiculement exagéré et que tu entends son rire encore une fois, tu te dis que c’est la chose la plus ridicule mais merveilleuse que t’ait jamais faite. Tu l’as fait rire et maintenant tu connais le goût de sa peau, un putain de combo gagnant. Tu t’empresses de demander son numéro et sur le chemin du retour, tu te récites ces chiffres comme un mantra jusqu’à les connaitre par cœur. Et le lendemain, quand tu la rappelles et que tu entends son « allo » étouffé au bout du fil, tu sais que t’es foutu. T’es en train de tomber amoureux mon vieux.
Tu deviens fou. Enfin tu crois. Non, en fait c’est certain. Tu ne l’as pas revue une seule fois et, bordel, tu commences à le sentir passer un peu. Bon alors, tu n’es pas amoureux hein. Pas totalement. Peut-être que c’est du déni. Disons que tu l’apprécies beaucoup. Mais du coup ça t’emmerde quand même pas mal de ne pas la revoir. Tu lui parles à ne plus en finir et peut-être que tu deviens un peu obsédé par la moindre notification de ton téléphone – ce qui commence à être doucement pénible vu que certains de tes potes se font un malin plaisir de t’envoyer un sms pour le plaisir de voir tes regards noir – mais tu ne l’as plus revue depuis cette fameuse soirée. Franchement, tu ne comprends pas pourquoi. Tu passes même de manière aléatoire dans ce fichu bar dans l’espoir de la revoir et elle n’y est jamais ! A croire qu’elle t’évite ! Mais c’est ridicule comme idée pas vrai ? Pas vrai ?! Putain.
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DERRIÈRE L'ÉCRAN
Je... j'ai craqué pour le drama. J'avais juré de ne plus craquer pour du drama. C'est de votre faute ! D8
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