ANTHEA LOUISE THOMAS All this time I was wrong Kept you hurting for so long ✿ Nom : Thomas ✿ Prénom :Anthéa Louise ✿ Date & Lieu de naissance : Washington, un 07 juillet ✿ Âge : 2 2 ✿ Nationalité : Américaine ✿ Origines : Étatsuniennes ✿ Orientation sexuelle : Lesbienne ✿ Statut civil : Seule ✿ Statut social : Modeste, n’est pas à plaindre ✿ Profession | Études : Garde côte ✿ Groupe : Heart of Stone ✿ Nom de la fleur :Paphiopedilum sanderianum. Fleur étrange. Fleur amer. ✿ Ce qu'il préfère chez lui, physiquement ou non ? : Sa musculature. Les muscles saillants sur son dos, ceux qui se dessinent sous les ombres, ses bras épais. Son corps, en majorité. Sa chevelure blonde, fine, légère. Et mentalement, sa force de caractère. Ne rien lâcher, jamais. ✿ Son moment de la journée préféré ? : Lorsque le jour se lève, que la nuit s’endort et que l’aurore se réveille ✿ Est-ce qu'il a une passion dont il ne parle pas ? : L’écriture. Elle a plusieurs journaux, ceux pour les maux qui ne passeront jamais, pour ceux qui arriveront demain et ceux qui font pas mal, n’esquinte pas le cœur ✿ Plutôt du genre à s'endormir directement ou à se faire trois films dans sa tête avant ? : Sommeil de plomb, facilité à s’endormir lorsque la musique la berce ✿ Comment est son écriture ? : Presque illisible et raturée , elle ne fait pas vraiment attention à comment elle écrit ✿ Gaucher, droitier, ambidextre ? : Gauchère ✿ Quelque chose qu'il ne supporte pas ? : Son incapacité à aimer. Ne plus pouvoir sentir la chaleur lui étreindre le corps, à dire je t’aime. De probablement louper une autre âme sœur, comme si il n’en existait qu’une. Que ça l’emmerde. les hommes ✿ Est-ce que sa vie actuelle lui plaît ? :Pas tellement mais elle ne peut rien y faire, subir un peu plus Wish that I could've changed Everything stayed the same Dorure qui s'effiloche le long du rachis, frappe la scapula droite et gauche, s'écrase sur les angles du faciès. Qu'Anthéa n'aime pas sentir les mèches chatouiller son visage, toujours attaché en arrière, en une tresse bien serrée mais donc quelques fines boucles arrivent toujours à s'échapper, glisser le long du front et des tempes. Et puis son visage à Anthea. Deux perles ambrés, trop sombres dont on ne distingue pas vraiment la clarté. Et puis ses traits sont fins malgré tout, le nez droit, légèrement cabossé, toujours à mordiller ses lèvres, laisser des sillons rougeâtres. Il y aussi les tâches de rousseur qui se dispersent, s'étalent sur la silhouette costaude, massive. Les stigmates d'une enfance agitée, d'une adolescence fougueuse, sont toujours là, comme un vestige. Que sa peau n'est pas vraiment douce, un peu granuleuse lorsqu'on y passe les paumes, qu'on tressaute sur les marques, que si on descend les phalanges vers le bas du dos, s'arrête au bas des reins, y découvre une épaisseur déconcertante. Qu'Anthéa ne se souvient plus si cette cicatrice vient d'un mirage du passé, d'une véritable histoire. Elle ne sait plus, Anthéa. Laisse simplement les gens penser ce qu'ils désirent. Imaginer sa propre histoire. Puis sa silhouette se déplie, qu'on distingue un peu mieux les formes du tronc. La rondeur des biceps, des trapèzes, de ses avant-bras, de ses mains râpeuses, égratignés. Qu'elle est loin d'être fine, Anthéa. Que son torse est robuste, s'y dessine les muscles fièrement entretenue, dont elle n'a pas honte.
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N'est pas aussi sérieuse qu'on pourrait le croire, malgré l'air rude qui arpente sa face, les poings accolés l'un dans l'autre, le dos légèrement recourbé dans le métro. Parce qu'Anthéa aime la légèreté de la vie, essaie de ne pas s'accrocher aux choses qui font mal, qui blessent. Préfère profiter d'un bon moment de plaisanterie avec ses amis que plutôt se morfondre. Qu'elle a arrêté il y a bien longtemps, Anthéa, d'être triste. D'être amer et acerbe. De ne voir la vie que d'une seule façon, terne et morose. Qu'aujourd'hui il y a des couleurs qu'elle distingue plus facilement, qu'elle est coriace Anthéa, qu'elle ne laissera pas les chaînes l'étreindre jusqu'à l'étouffer. Alors d'un pas assuré elle s'avance, Anthéa. N'est pas timide, pas introvertie ni même désagréable. Qu'elle a la voix qui porte, qui s'élève pour s'affirmer, plaisanter, essayer d'aimer. Que c'est un concentré de bonne humeur, Anthéa. Qu'elle aime être là pour ses proches, ne jamais les laisser s'effondrer, pas comme elle l'a fait, qu'elle ne veut pas que ça arrive aux autres. Que la douleur dans sa poitrine était odieuse mais que l'incapacité d'éprouver à nouveau une quelconque ivresse dans l'estomac fut encore plus cruelle que n'importe quel châtiment possible sur Terre. Essaie toujours d'aimer, de sentir un petit quelque chose au fond de ses tripes lorsqu'elle se rapproche de ces amantes, mais rien ne se passe. Le cœur reste désespérément vide. Si auparavant Anthéa s'accrochait fermement à l'idée de pouvoir connaître une nouvelle fois la ferveur de Cupidon, maintenant elle commence à renoncer. Contrecœur. Qu'elle voudrait continuer. Espérer. Encore et toujours. Mais que le vide fait terriblement mal. Vie de regrets qu'elle rature dans ses carnets, sur le dos de ses mains, contre ses paumes. Ecrire pour que ça devienne moins lourd à porter, pèse moins sur l'âme. Anthéa éprouve les regrets d'une ancienne vie, n'en éprouve plus dans celle-là. Essaie de s'en défaire, de les laisser partir. Mais que c'est dur, lorsqu'ils veillent sur les épaules, y laissent des marques indélébiles, insupportables. Agréable à vivre, amicale et loyale. Toujours là, à jamais. Jusqu'à qu'on lui dise de partir. Qu'elle ne reste jamais si on ne veut pas d'elle, n'est pas là pour satisfaire les désirs des autres, voit plus loin que ça. N'a rien à cacher, ne s'ouvre pas facilement, ne parle pas vraiment de ses maux, que ce n'est pas si important. Qu'Anthéa aimerait marquer les esprits un peu plus, parfois. Être un peu plus qu'elle n'est déjà. Plus qu'une ombre. Mais pour le moment ne s'en plaint pas, ne s'en plaindra probablement jamais à moins que l'alcool inhibe les sens, lui fasse lâcher prise, que des vagues inondant ses abîmes, sa peine s'écoule enfin. Qu'Anthéa pourrait parfois laisser la colère gronder, s'évader. Contient . Tout. Absolument . Se montrer sous son meilleur jour. Ne rien laisser paraître.
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1.78 ✿ 72 kg' ✿ Musculature épaisse et entretenue ✿ Toujours une tresse collée au niveau de la nuque, sans ça ses cheveux arrivent sous les omoplates ✿ Tâches de rousseur partout, des éclanches jusqu'aux joues, jusqu'au nez, jusqu'au dos ✿ à une tâche de naissance en forme de nébuleuse sous le sein gauche, ironique ✿ cicatrices parsemés sur le corps, une plus épaisse qui lui couvre le rein gauche, certaines sur le visage, plus légères ✿ Possède un Sacrée de Birmanie appelé Frog, il a un miaulement rauque, un peu louche pour un chat ✿ Pratique la natation principalement mais aussi beaucoup de marche, musculation pour rester en forme ✿ Sait se battre, a les poings pour ✿ Son chez-elle est remplie de plantes, de livres, de décorations majoritairement vieillottes, vibe aesthetic un peu mais majoritairement bordélique ✿ S'est une fois drogué sans le vouloir avec des champignons avec des potes au lycée, elle n'a comme souvenirs que des polaroïds d'elle complètement khabat ✿ a un style VRAIMENT approximatif, elle s'en fout en somme ✿ Souhaite un jour écrire un bouquin, un truc un peu nul, avec des illustrations digne d'un enfant de cinq ans ✿ Ronge ses ongles jusqu'au sang, se mord les lèvres et a tendance à avoir les mains qui tremblent ✿ Dispose d'un tas de bouquins, vieux ou neuf et gribouille sur les pages, découpe ce qu'elle trouve intéressant, qu'elle aime lire pour les coller dans ses propres livres ✿ Vegan depuis ses huit ans, n'a jamais vraiment accroché à la viande, de toute façon ✿ Parle français et un peu d'espagnol, aime énormément les langues en général, n'a juste pas vraiment le temps de s'y adonner un peu plus ✿
But for how long you're sayin' that you love me? Now my big regret Is seeing you forget Une vie avec sa mère, à Washington. N'a jamais eu à se plaindre, parce que tant qu'on a de l'amour, de la tendresse, qu'on se sent aimer, tout va bien. Et Anthéa, elle s'est toujours sentie aimer par sa mère, par ses copains et ses copines, qu'elle n'a jamais vraiment ressentie ce sentiment de solitude, celui qui éreinte la gorge, blesse l'égo, enfonce. Qu'Anthéa elle a toujours pu faire ce qu'elle désirait. A commencé la piscine tôt, à ses sept ans peut-être, n'a jamais arrêté depuis. Qu'être dans l'eau c'est comme revivre une seconde fois. Alors ça a continué. Le primaire. Le collège. Puis le lycée. La faculté. La faculté. C'est amer, de s'en souvenir. Se retrouver seul en Nouvelle-Zélande. Parce que c'est ici qu'elle voulait vivre. Découvrir le pays de son père dont elle a parfois des nouvelles. Des lettres. Auckland. Auckland. Salée. C'est douloureux, d'y mettre les mots dessus. C'est douloureux, les maux qui s'engorgent. Jusqu'à exploser. Ne rien laisser. Qu'en grandissant, la solitude s'est immiscée. Posé ses valises derrière son dos, en secret, comme une vieille amie, celle qu'on revoit parfois, de temps en temps, dont on sent l'espace s'installer, le vide se faufiler. Ennui mortel. Angoisse. Remède insipide et toxique pour l'âme, qu'Anthéa s'est mise à détester. Sortir pour oublier, boire pour ne rien sentir. Ni la fraîcheur sur l'épiderme, ni la chaleur asphyxiante dans le ventre. Puis elle est arrivée, cette fille. Who I am No more, no more Une bouffée d'air frais. Quelque chose de nouveau, qui balaye les farfadets malicieux. Enveloppe sa chair, étreint si fort, si fort qu'on en vomit. Que ça irrite le cœur. Macère dans les poumons. Violence acérée, dévastatrice. Elle s'en souvient, Anthéa. De ce jour navrant. Celui où les farfadets sont revenus, plus nombreux, plus vivaces. Plus étouffants. Comme si respirer devenait un peu plus un supplice. Suffoquer, s'effondrer à même le sol, gire dans les pétales. Qu'il fallait s'y résoudre, que ce n'était pas réciproque, qu'elle lui a dit, pourtant. Anthéa, tu es mon amie. why do my flowers always die Que c'est affligeant, de sentir la fleur grapiller un peu plus d'espace dans ses organes respiratoires. Qu'elle n'arrivait pas à se résoudre à ne plus l'aimer. Que c'était pas grave, ça finirait par passer, la douleur. Passager. Juste le temps d'un voyage en train, de Rome à Venise. Mais c'est jamais passé, la douleur dans la poitrine. Elle bousille tout, la maladie cette fille, qu'Anthéa ne peut pas lui en vouloir, de la faire crever à petit feu. Aussi vite. Finalement. Et enfin c'est elle qui est morte en premier. Accident de voiture. Elle n'a pas survécu. Et toi t'as pas supporté, Anthéa. T'as imploré les Dieux que les douleurs cessent. Funeste et tragique, destin qu'elle aurait aimé jamais avoir. Les fleurs n'ont jamais cessé, le sang s'est infiltré, s'est glissé entre ses dents, le goût métallique est devenu quotidien. Regret et pleurs. Inconsolable, qu'elle est Anthéa. Le monde lui tombe sur la tête, la maladie la ravage et elle se réveille. Un autre jour. Les poumons libres. Les farfadets ne dansent plus. Ne se serrent plus la main. Sont moins nombreux. Comme si elles ne l'avaient jamais faites suffoqués. why do they dieMerci de remplir ce champ uniquement si vous avez envie d'être mis dans la liste des cœurs pour être contacté pendant les intrigues, les lancers de dés ou par les autres membres pour des futurs liens, tout en gardant à l'esprit que votre cœur, donc, peut changer à tout instant grâce à la science : - Code:
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COEUR DETRUIT » <b>situation amoureuse</b> ✿ <a href="https://bloomintome.forumactif.com/u45">Anthéa L. Thomas</a> DERRIÈRE L'ÉCRAN je suis ici pour me battre avec leina, 1v1 demain 17h - Code:
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