DYSON V8 Origin – Aspirateur balai sans fil

je ne suis pas fait pour plaire (bébé j'ai mieux à faire) ✿ Vénus

B L O O M into me :: RP abandonnés & terminés


Sam 9 Oct - 14:47
✿✿✿ Il t’a reconnu, dans les rayons du soleil qui illuminent le café. Quoi que Philip a dû t’observer quelques instants parce qu’il a vraiment une mauvaise mémoire et il ne regarde jamais ses interlocuteurs alors il ne prend jamais le temps de vraiment retenir leur visage. Mais toi, tu l’avais marqué. Il s’embrouille un peu dans sa tête, ne sait pas à quel pronom t’accorder. ⠀⠀⠀Le plus simple serait de venir te demander mais— Philip ne sait pas quoi te dire. Est-ce qu’il devrait être honnête, venir et puis ⠀⠀⠀⠀ah je te reconnais, et puis j’ai bien aimé comment tu étais alors je reviens te voir mais ça fait tellement superficiel ! Ou alors est-ce qu’il devrait inventer une excuse du genre ⠀⠀⠀⠀dis, on a pas un cours en commun, tu me dis quelque chose ? mais c’est totalement stupide. C’est toujours comme ça. Toujours se remettre en question et rater toutes les occasions qui se présentent à lui. Mais il ne veut pas que toi, tu sois aussi une occasion manquée. Il ne veut pas. Mal à l’aise sur sa chaise, au milieu de ses connaissances qu’il s’est fait dans l’association, Philip ne sait pas non plus si c’est si poli que ça de les abandonner. Ah, il ne les abandonnera pas vraiment— après tout, tu es là aussi avec eux, non ? Ce n’est qu’apprendre à connaître quelqu’un d’autre. Mais Philip réfléchit toujours trop. Et puis finalement, sa voisine de table le bouscule, lui murmure ⠀⠀⠀allez, vas-y, j’vois bien qu’on t’a tapé dans l’œil⠀⠀⠀ comme ces amis en boîte de nuit qui font tout pour que la soirée se finisse avec quelqu’un aux bras et Philip ⠀⠀⠀⠀bafouille un peu, essaie de nier mais rien n’y fait. C’est vrai, tu lui as un peu tapé dans l’œil mais— pas vraiment dans le sens auquel on pense, plutôt dans un autre sens, celui où Philip se dit qu’il aimerait avoir ta confiance. Alors finalement, il se dit qu’il va avoir confiance et qu’il va se lever et aller te voir. C’est ce qu’il fait. Un peu mal à l’aise mais Philip l’est toujours. Et c’est avec un sourire aux lèvres qu’il t’adresse ses premiers mots. « Salut, je, je crois qu’on se connaît. » Et il ⠀⠀⠀⠀⠀⠀ne sait plus quoi dire, subitement.	Invité Invité



Dim 17 Oct - 21:40
Cette soirée en compagnie de ces gens agréables lui avait été grandement méritée suite à l'incident de la nuit dernière. Un appel en urgence, des cas à traiter au beau milieu de la nuit suite à un accident de voiture, autant dire que l'insomnie l'avait à nouveau rattrapé pour refermer ses crocs sur sa chair et le priver de ce sommeil lui manquant cruellement. Malgré tout, il ne s'était pas désisté de cette soirée au sein de cette association dont il était parfois l'un des orateurs, car il s'agissait pour lui d'un environnement de récomfort, de paix, de repos. Sagement installé près de la grande table du buffet, c'est une petite part de gâteau à la main et le fou rire dans les tripes qu'il échangeait en compagnie d'un homme et d'une femme dont la blague pourrie avvait fait son effet, cette dernière quelque peu perturbée elle-même de l'effet de sa bêtise. Les jeux de mots pourris étant l'une de ses faiblesses, il n'avait su retenir son rire, victime d'un embarras certain par la suite. On l'abandonna ensuite, le couple paré à rentré suite à une longue soirée puis c'est suite aux au revoirs que Vénus termina son gâteau, se nettoyant soigneusement les mains à l'aide d'une serviette pour ensuite s'engager à son tour en direction de l'entrée principale. C'est toutefois la présence du jeune qui lui fit ralentir le pas, le rosé lissant soigneusement l'un des pans de sa robe pour lui offrir ensuite un sourire doux. Se connaître, non, il n'en avait pas l'impression et pourtant, il reconnaissait son visage timide, visage souvent détourné en sa direction car ça, il l'avait bien remarqué au fil des différentes soirées. - Salut, je t'ais vu à quelques reprises oui, tu fais partie du groupe depuis un petit moment non ? Puis immobilisé près du buffet, c'est l'appel du sucre qui s'empare de ses gestes, le jeune médecin étirant les doigts en direction d'une nouvelle pâtisserie pour y refermer sa manucure parfaite et venir rapidement croquer dedans. D'un pouce, il désigne la nourriture. - Ces petits gâteaux sont délicieux...Tu voulais me dire quelque chose ? J'ai cru remarqué que tu me jetais plusieurs regards au cours de la soirée. Ne me dis pas que ma robe est coincée dans mon sous-vêtement...? Un pivot rapide, il étire sa main libre vers l'arrière de sa robe pour s'assurer de l'état de cette dernière. Impeccable. Rien à signaler.	Invité Invité



Dim 24 Oct - 10:56
✿✿✿ Ce sont ses moments gênants où les mots se bousculent un peu dans sa tête. Où Philip a peur d’ouvrir la bouche, de peur que tout s’emmêle et qu’il n’arrive pas à prononcer ce qu’il souhaitait dire. Ou tout simplement passer pour un idiot. ⠀⠀⠀Mais il passe déjà pour un idiot. Et toi, tu es là, juste en face de lui, et tu brilles par ta confiance et ta prestance et Philip se demande vraiment où est-ce qu’on peut trouver ça, où est-ce qu’on trouve un peu de confiance en soi. Est-ce que tu aurais la réponse ? ⠀⠀⠀Philip n’ose pas vraiment te poser la question. Son sourire est un peu fébrile. « Oui, je viens souvent, les gens sont vraiment adorables ici. » Et eux, ils ne jugent pas. Contrairement à tous les autres. Philip en a marre de sentir les regards lui brûler la nuque dès qu’il esquisse le moindre geste, l’impression d’être la honte du quartier, se sentir le centre du monde lorsqu’il ne veut que disparaître dans les ombres et qu’on ne parle plus de lui. ⠀⠀⠀Il exagère sans doute. Il a pourtant vraiment cette impression, parfois. « Euh… Ah, non, non vraiment pas du tout ! » Philip pensait naïvement qu’il avait été discret mais visiblement non. Et, ah, ne t’inquiète pas, ta robe est vraiment parfaite. Puis Philip a un peu trop la nausée pour goûter les pâtisseries, bien qu’elles semblent sincèrement délicieuses. Il aurait aimé prononcer ses mots, d’une manière parfaite et totalement fluide. Mais Philip ne sait simplement pas s’exprimer. Et comment aborder le sujet, finalement ? Il se rend compte que c’était un peu ⠀⠀⠀stupide. « Et, euh, tu… » il semble réfléchir un instant. « Je veux dire, cette robe te va vraiment bien. Tu es, euh… tu… » Il se dit que, vraiment ⠀⠀⠀il doit se taper la honte. Et tu dois penser qu’il n’est rien d’autre qu’un gamin paumé qui ne sait même pas parler. C’est ce qu’il pense, en tout cas. « Pardon, tu préfères quels pronoms ? » Il aurait dû commencer par là.	Invité Invité



Mer 3 Nov - 2:49
Un sourire doux lorsque le jeune s'exprime puis le rosé opine doucement à ses dires, entièrement d'accord avec ces propos. Une nouvelle bouchée du cupcake ensuite bien qu'il semble davantage s'intéresser au jeune devant lui plutôt qu'à sa pâtisserie qui lentement disparaît d'entre ses doigts, une fois assuré qu'il n'y ait aucun souci avec l'ourlet de sa robe. Puis essuyant sagement ses mains sur une petite serviette, il la replie et la glisse dans la poubelle sous la table, non sans un regard curieux en direction du pauvre qui semble ravaler avec difficulté ses mots, confusion lisible dans ses traits et ses propos, comme si ces derniers se bousculaient dans sa gorge fragile pour au final ne plus savoir se former en une phrase claire. Lentement, Vénus se redresse et incline quelque peu la tête sur la droite, son sourire toujours posé sur son visage, une douceur presque maternelle tandis qu'il l'invite d'un regard à procéder. Un compliment. Un compliment, une hésitation ensuite. Est-il à ce point timide ? - Merci beaucoup ! Puis la question suivante vient étirer davantage ses commissures tandis qu'il ramène soigneusement sa chevelure bicolore sur l'une de ses épaules, ses bras se croisant ensuite sur son buste jusqu'à ce qu'une main ornée d'une bague fine se porte sous son menton. La posture pensive, il l'observe. - En général, les gens optent pour le masculin ou le neutre en ma compagnie. Quelques individus semblent toutefois confus et optent pour le féminin et c'est plus fort que moi, je joue le jeu. Un clin d'oeil puis l'ambigu vient cette fois abaisser son bras pour les laisser tous deux rouler contre ses flancs en une posture détendue, cherchant ainsi à se montrer accessible et dévoiler une certaine ouverture à l'approche et la conversation. Ces jeunes, il les connaissaient et ce dernier semblait particulièrement nerveux de par son simple parlé. - Au fait, enchanté, ne m'appelle Vénus et toi ? Navré, je suis persuadé de l'avoir déjà entendu ici mais j'ai parfois du mal avec les prénoms et je ne voudrais pas faire d'erreurs ! Il lève ensuite un index. - Mais aussi, quels pronoms ? Un renvoie de la balle. Peut-être inutile. Peut-être s'agissait-il seulement d'un garçon confus par la vue d'un homme vêtu d'une adorable petite robe d'été, d'une paire de collants et de petites bottines à talons. Mais peut-être était-il lui-même perturbé, ou simplement attiré ou-...Trop d'options. Le plus simple était de demander et pour ce qui était de Vénus ? Assez direct, sans se montrer désagréable. - Tu n'as pas à t'inquiéter, tu sais ? Je ne vais pas te manger tout rond. Ne sois pas si nerveux en ma compagnie s'il te plaît, je vais commencer à me sentir comme un bully...et ya déjà assez de mon idiot de petit frère qui chouine tout le temps que je le brutalise... Un rire court, cherchant à détendre l'atmosphère plus qu'à le troubler. Encore, il s'empare d'une pâtisserie. Plus petite.	Invité Invité



Dim 14 Nov - 16:42
✿✿✿ Quelle catastrophe, n’est-ce pas ? Philip a envie de partir en courant et d’oublier à jamais cette discussion. La timidité lui broie la gorge et il pense si vite qu’il n’a pas le temps de construire une phrase cohérente mais il ⠀⠀⠀n’a vraiment pas envie de ruiner ça. Il voudrait apprendre à te connaître, à te ressembler, ⠀⠀⠀à puiser un peu de confiance en soi pour s’assumer pleinement. Mais ça lui semble être un si grand effort. Inaccessible pour lui, qui angoisse déjà rien qu’avec deux petites phrases desquelles n’en ressort rien de très brillant. Et tu sembles tellement patient. Philip ne mérite sûrement pas autant de ton temps. « Euh, Philip, je m’appelle Philip et… » et mes pronoms sont masculins mais il y a une ⠀⠀⠀hésitation. Une hésitation qui n’a pas vraiment sa place— mais au fond, peut-être que si. Peut-être que c’est une hésitation qui sous-entend plus qu’elle ne devrait. Pendant une seconde, Philip s’imagine s’accorder au féminin, porter des jolies robes comme toi,⠀⠀⠀ se sentir belle et mignonne et—.⠀⠀⠀ Et quand Philip imagine ça, il se voit toujours sourire sincèrement—————. Est-ce que c’est ça, se sentir bien dans sa peau ? Philip ne sait pas. Il ne veut pas vraiment l’assumer. Parce qu’il sent déjà le regard des autres sur lui et il veut simplement— éviter ça. « Masculins aussi, mes pronoms, » le sourire est un peu mal à l’aise, mais il est bien là. Mais le malaise ne passe pas inaperçu, bien sûr et Philip— a peur que tu sautes à la mauvaise conclusion et qu’il pense que c’est ton identité qui le rebute un peu ou bien autre chose d’horrible alors que ce n’est vraiment pas le cas. C’est juste qu’il est stupide, simplement. ⠀⠀⠀Ce n’est pas de ta faute ~~même si tu l’impressionnes un peu~~. « Ah oui pardon, c’est juste que je suis un peu timide, » un rire s’arrache de sa gorge, un peu plus facilement qu’il ne le pensait. « Je veux pas te mettre mal à l’aise non plus, euh, pardon si tu as pensé que je, j’étais euh… Enfin pardon si ça t’a gêné. » Il ne faut pas non plus se confondre en excuses ainsi, ce n’est rien. Mais Philip est toujours de trop, dans l’excès. Il change vite le sujet de conversation. « Mais j’ai vraiment l’impression qu’on s’est déjà vu ailleurs ? Genre, euh, pas ici dans l’association… tu me dis vraiment quelque chose. » Et Philip n’a pas une très bonne mémoire. Il préfère oublier ~~dans les ravages de l’alcool~~ pour ne plus avoir à se remémorer des souvenirs qui semblent toujours un peu douloureux.	Invité Invité



Mer 8 Déc - 4:05
Sans le quitter des yeux, Vénus l'observait, analytique et pourtant non menaçant. C'est d'un regard doux, d'un sourire rassurant qu'il l'écoutait avec une attention toute particulière, bien que ses doigts, eux, cherchent encore quelques pâtisseries à l'aveuglette. Car manger l'aidait lui-même à éviter le stress mais surtout, l'aidait à rester éveillé et à tenir ces soirées parfois mouvementées. Celle-ci, heureusement, s'avérait plutôt calme. Puis voilà le prénom. Philip. Il tâcherait de le retenir, cette fois, hochant lentement du chef en un remerciment silencieux jusqu'à le sentir bloquer sur quelque chose. Cette mention de pronom. Une hésitation, un bref instant de silence, puis ce sourire tordu, lorsqu'il lui fit part d'une réponse qui ne lui semblait pas toute droite sortie du coeur. Mais Vénus se contentait de l'observer, incertain. Une part de confusion troubla brièvement l'éclat de son regard mais pour autant, il ne perdit pas son sourire. - Pas du tout. Je suis très ouvert sur mon identité et mon orientation sexuelle. Fait-il en secouant lentement du chef puis lorsqu'il fut armé d'un dernier petit gâteau, il l'invita à le suivre à l'écart, sur l'un des petits canapés du fond, bien peu souvent occupés. Moches ? Oui. Confortables ? Aussi, oui. Il s'agissait de son petit refuge, là où peu s'installaient car la vue y était médiocre et que l'espace qui le divisait du reste de cette grande salle semblait s'étirer sur des kilomètres. - J'avoue avoir un peu mal au crâne, tu veux bien qu'on discute ici ? Puis sans attendre, le voilà qui s'échoua en lissant les pans de sa robe, ses iris mordorés relevés vers le visage fin du jeune homme. S'il refusait de s'installer, il était libre de fuir, toutefois, le médecin s'empressa d'ajouter quelques bribes. - Pour tout te dire, je suis médecin, peut-être que l'on s'est croisé à mon travail, s'il y a eu une récente urgence médicale. Il préférait ne pas particulièrement relancer le sujet de l'identité, toujours peu confiant quant à son analyse. Peut-être le jeune homme était-il réellement timide, au final. - J'y travaille depuis quelques années déjà, en urgence, puis j'aide certains collègues chirurgiens lorsqu'ils nécessitesnt des mains habiles supplémentaires. Sinon... Portant le dos d'un index contre sa lippe, son regard se perdit un instant sur un point invisible, fixe, près du plancher, près des chaussures de Philip. Sa mémoire lui jouait des tours, comme son manque de sommeil l'empêchait encore de réfléchir clairement. L'avait-il croisé à l'hôpital ? À l'extérieur, dans un petit café ? Ou peut-être s'agissait-il du gamin qui voulait à tout prix caresser ses chiens, alors que la jeune fille qui l'accompagnait, elle, voulait lui caresser les cheveux...Non. Pas lui. Il était blond, celui-là. Ou l'était-il...? - Un...parc à chien...?	Invité Invité



Sam 18 Déc - 13:40
✿✿✿ Pourquoi est-ce que ça semble si compliqué de t’adresser la parole ? Pourquoi est-ce que ça semble être une épreuve insurmontable ? Pourquoi ⠀⠀⠀à chaque fois ⠀⠀⠀les mots se bousculent et se coincent dans la gorge et puis la honte lui broie les poumons et il se dit toujours mais je suis vraiment naze. Pourquoi est-ce que ça finit toujours comme ça, alors que tu fais tout pour le mettre à l’aise ? Philip se dit qu’il a sincèrement— un gros problème et que c’est encore (toujours) de sa faute. Discuter ne devrait pas être aussi compliqué. Mais tu le rassures et Philip sourit tout de même, la malaise d’être encore de trop toujours là entre les côtes mais s’il se concentre assez, il arrivera à l’ignorer. Il te suit, sans un mot, juste un hochement de tête, presque tenté— de s’enfuir en prétextant qu’il ne te dérangera pas plus longtemps si tu as mal à la tête mais il veut en savoir plus sur toi ⠀⠀⠀comme si tu avais en toi toutes les réponses à ses questions. Les secrets de la confiance en soi. Comment faire pour ne plus avoir peur du regard des autres. Mais il ne sait pas comment aborder les sujets. Est-ce que ce serait trop indiscret de te demander comment tu t’es découvert ? Est-ce que c’est un sujet sensible ? Est-ce que ce sont des barrières à ne pas franchir ? Philip n’ose pas vraiment—. « Non, je n’ai pas été à l’hôpital récemment… » Il essaie de faire marcher sa mémoire, assis là sur ce canapé, un peu trop raide pour avoir l’air relaxé, les épaules bien droites et le dos qui touche à peine le dossier. Ça semble être là, tout près, sur le bout de la langue. Un mot dont on n’arrive pas à se souvenir. Un souvenir si lointain qu’il ne semble pas nous appartenir. « Tu as dit que tu avais un petit frère… il s’appelle comment ? Peut-être que je le connais. » Une tentative désespérée, probablement. Philip n’y croit pas vraiment mais il ⠀⠀⠀se concentre vraiment, ⠀⠀⠀pour éviter à son esprit de divaguer trop.	Invité Invité



Jeu 6 Jan - 17:53
Un index tapotant sa lippe, c'est perdu dans ses pensées que le rose s'attarde sur une vieille tache souillant le plancher. Coloris noirâtre ici présent depuis bien longtemps déjà, une relique du passé. Puis plissant le minois, il relève ses mordorés sur le visage du jeune. Pourquoi lui semblait-il si renfermé, encore ? Ils étaient pourtant à l'abri des regards, seuls contre le monde et Cameron s'efforçait de le rendre confortable de sourires, de gestes délicats et d'échanges courtois. Qu'avait-il donc à cacher ? Était-il blessé ? Pire, était-il en danger ? Un regard autour puis une inspiration, expiration. Rapidement, le médecin lui glisse quelques mots sous le ton de la confidence. - Si tu es en danger, cligne deux fois des yeux ! Puis soudain vient le sujet de son frère. Une possibilité à laquelle il n'avait bêtement pas songé. Peut-être étaient-ils bons amis et l'avait-il simplement oublié, comme tous les autres. Rien de bien méchant. Seulement, lorsqu'on voit un trillion de têtes par jour... - Oh euh...mon frère...Jupiter. Il s'appelle Jupiter. Avec un tel prénom, difficile de se tromper de type. Puis pour accentuer le tout, il soulève un index. - Il a une chaine Youtube et j'ai participé à quelques vidéos. Threejay...? Un truc comme ça, je crois. Un tas de débilités, en vrai ! Mais il est vraiment sympathique et- Et encore, il s'emporte, préférant finalement se taire en se mâchant la lèvre du bout des dents. Si le jeune ne l'avait pas croisé via le net, alors là, il n'en avait aucune espèce d'idée. Peut-être était-ce aussi une technique de drague ? La fameuse technique du "Ah ? J'étais persuadé que tu étais acteur ~" Car on lui avait déjà fait. À deux reprises. Et c'est suite à une improvisation pathétique qu'il leur avait fait comprendre qu'il était loin d'être ce qu'ils disaient de lui et ainsi, détruisait gentiment leur flirt. Était-il en train de flirter...? Autant dire qu'il devenait à son tour nerveux. - S'il ne s'agit as de ça, vraiment navré mais je crois que c'est peut-être simplement quelqu'un qui me ressemble.	Invité Invité



Sam 15 Jan - 16:06
✿✿✿ Est-ce qu’il a l’air tant angoissé que ça ? Est-ce qu’il a l’air si nerveux ? Est-ce pour cela que tu lui demandes s’il est en danger ? Parce qu’il a la tête de quelqu’un qui serait réellement en danger ? Mais ne t’inquiète pas, Vénus, tu sais, le seul qui lui fait du mal actuellement c’est lui-même. Il n’y a aucun danger. Il l’invente dans sa tête, à chaque instant, le danger. Dès qu’il croise le regard des inconnus dans les transports en commun ou ceux de ses camarades de classe. Dès qu’il se retrouve seul dans les rues la nuit. Dès qu’il est un peu trop paranoïaque, seul dans son appartement et qu’il y a des bruits étranges. Mais en vérité, tout va bien. Il n’y a pas de danger immédiat. Il espère qu’il n’y en aura jamais. C’est bien ici, le seul endroit où il ne se pense pas en danger. « Non, euh… » (il s’efforce presque à ne pas cligner des yeux pendant de trop longues secondes pour éviter que tu ne comprennes de travers un signal qu’il ne souhaitait pas te transmettre). Mais pourtant, maintenant ça fait tilt parce que ⠀⠀⠀Jupiter, ça lui dit quelque chose et un prénom si rare, ça ne s’oublie pas. Philip se retient même une remarque parce que— Vénus et Jupiter, c’est plutôt amusant au fond mais ça ne doit pas être la première fois qu’on te le dit. Alors c’est comme si la tension tombait, d’un coup. « Oh si, je connais Jupiter ! Enfin, un peu, pas beaucoup, vraiment pas tant que ça en fait mais je t’ai peut-être déjà croisé chez lui ? Ou quelque chose comme ça… » Ça semble un peu lointain dans les souvenirs, sûrement parce que Philip ⠀⠀⠀a toujours un peu peur de rencontrer des personnes nouvelles et qu’il a dû baisser la tête en te voyant, du coup ton visage ne s’est pas vraiment imprimé dans sa tête mais au moins— au moins, il sait maintenant, que ce n’était pas qu’une sensation. Qu’il avait eu raison quand il pensait te connaître. Même si connaître est un trop grand mot, en réalité. « Je ne savais pas qu’il avait une chaîne YouTube… » qu’il murmure, Philip, sans pour autant avoir envie d’en savoir plus parce que, c’est un peu la vie privée, non ? Son regard se perd dans le vide, pour être honnête il ne t’écoute plus pendant un instant. Comme s’il cherchait à regrouper ses mots pour former une phrase cohérente, parce que c’est vrai, à la base il venait te voir pour tout autre chose et finalement, il n’a pas eu le courage de te poser les questions qu’il souhaitait poser. Parce que Philip est toujours en train de se dire ⠀⠀⠀que c’est sans doute indiscret ⠀⠀⠀ou que tu ne souhaites pas en parler, mais plus tôt, tu disais que tu étais ouvert sur ça alors alors alors alors Philip ne perd rien, n’est-ce pas ? Et si ça peut l’aider, à trouver qui il est réellement et à supporter son reflet dans le miroir, alors pourquoi pas ? « Euh… qu’est-ce que tu penses du, euh, du regard des gens ? » C’est maladroit et ce ne sont pas les mots qu’il souhaitait réellement prononcer mais cette question, elle cache le plus grand de ses troubles ; celui de penser que tout le monde se moquera de lui ou le reniera, ⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀s’il souhaite être la personne qu’il veut être, un jour.	Invité Invité



Mer 26 Jan - 3:31
Une question soudaine qui pourtant, ne semble pas particulièrement le surprendre. Car il l'avait vécu, ce moment de doute, cette idée que le monde en avait après lui et voulait sa peau pour ses différences. Et il sourit, l'invitant à s'approcher davantage. C'est débordant de confiance qu'il lui fait dès lors part de sa réponse, doigts jouant dans ses filins roses, manucure de même couleur frottant par instants une joue glabre. - Je me délecte du positif et j'ignore le négatif. Car il y aura malheureusement toujours une personne pour critiquer mais le plus important, c'est ces gens qui comprenment, te font part de leur appréciation pour ce que tu es. Il porte enfin l'index au buste du plus jeune, venant effectuer une courte pression sur ce point en lequel pulsait cet organe vital. - Et plus tu as confiance en toi, en ce que tu es, plus les gens te voient comme une personne fière et belle. Car lorsqu'on sourit, s'affirme et que l'on ose, c'est là, qu'on brille et que l'on paraît toujours au mieux, pour soi, pour les autres ensuite. Et les doutes semblent enfin s'envoler sur cette situation. Le jeune cherchait désespérément de l'aide, oui, mais pas pour une situation dangereuse. Pas de tueur en série planqué dans la salle de bain attendant son départ pour foncer. Une lutte contre sa propre personne, peut-être. Car lui seul était son ennemie, à cet instant. Vénus glisse les doigts sur sa robe, retraçant sa taille de ses deux mains ensuite en se dandinant. -Tu vois, lorsque j'ai confectionné ma première robe et l'aiet portée devant mes parents, ils sont restés surpris. Il ne s'agissait pas de dégout mais de curiosité, car ils voulaient comprendre, car ils voulaient m'aider. Il faut que les gens comprennent que peu importe le genre, le sexe, l'accoutrement, une personne mérite d'être ce qu'elle veut être et de se sentir heureuse dans son corps. Peut-être s'était-il un peu trop lancé et pourtant, il ne cessait de discuter, de lui expliquer et d'approfondir toujours plus le sujet. Dans le pire des cas, il s'était trompé et se retrouverait tel un clown devant des gamins trop âgés pour ses blagues. - Alors Philip...j'aimerais que tu me dises absolument tout ce qui te passe par la tête suite à tout ça, d'accord ? Maintenant. Allez. Fais-moi confiance, tout cela restera entre nous. Et le voilà qui tape dans ses mains, un sourire rassurant, presque maternel étampé sur son visage.	Invité Invité



Ven 4 Fév - 19:42
✿✿✿ Est-il vraiment incapable de tenir une conversation normalement ? À croire que c’est si compliqué que ça. Philip s’embrouille, bute sur les mots, bafouille et n’ose pas aller directement au but sans tourner autour du pot. Il en a honte, tu sais. Il a tellement honte de ne pas savoir parler. Il n’y a rien qui va, chez lui. C’est incroyable comment il n’y a rien qui va. Et il en est conscient, bien trop. Beaucoup, beaucoup trop. C’est normal d’avoir des défauts et les problèmes d’expression orale se soignent mais Philip semble coincé dans sa fatalité, ⠀⠀⠀à s’estimer pas assez bien pour être bien. C’est stupide. Il ne te regarde pas alors qu’il t’écoute. Les yeux braqués sur ses mains moites. Mais Vénus— comment on fait lorsque l’on n’a pas confiance en soi ? Comment on fait lorsque la personne que l’on déteste le plus au monde, c’est soi-même ? Comment on fait pour s’aimer rien qu’un tout petit peu ? ~~Peut-être faut-il commencer par s’assumer.~~ Il allait te répondre mais finalement, tu le devances et— il est un peu pris par surprise parce que Philip, tu sais, il réfléchit toujours (beaucoup trop) à ses mots avant de parler, il faut tout démêler là-dedans pour espérer sortir une phrase cohérente, il faut ⠀⠀⠀filtrer toute sa haine et sa tristesse, ⠀⠀⠀passer un sourire sur les lèvres et faire semblant. Mais tu es si honnête avec lui. Alors il n’a pas le droit de faire ça, n’est-ce pas ? Et puis— tous ses efforts pour oser venir te voir et te parler, tout ça, ⠀⠀⠀réduits à néant juste parce qu’il se cache, encore juste parce qu’il fuit à nouveau ? Il faut avoir confiance en soi. Il faut avoir confiance en soi. Il faut avoir confiance en soi. Philip peut bien faire semblant, rien que pour cinq minutes. « Euh, eh bien… déjà j’admire ton courage, enfin je dis ça mais ce n’est pas vraiment du courage au fond, ou, ou bien peut-être que si ? Mais bref, je veux juste dire que, même si on ne se connaît pas vraiment, je, je suis content que tu aies trouvé qui tu étais… » Regarde comme les paroles sont pleines de nœuds. Mais Philip— veut avoir confiance en soi. Alors il prend une inspiration. « Moi, je, j’y arrive pas. À trouver le courage d’être… moi, » (il place instinctivement sa main contre son cœur, comme pour dire, le moi caché là). « Je pense trop au regard des autres et au jugement, et je sais que tout le monde juge et que je ne pourrais jamais empêcher les autres d’avoir un avis négatif sur moi, peu importe qui je suis, mais, mais ça me bloque… » (Et maman, qu’est-ce qu’elle dirait ?) « C’est… c’est pour ça que, que je… je t’admire un peu… » Et du coup, Philip ? ⠀⠀⠀⠀⠀⠀~~Philip.~~ « En fait, je, je me cherche encore mais je n’ose pas essayer quoi que ce soit qui pourrait m'aider peut-être à me sentir mieux dans ma peau parce que je n’ai pas ce courage, » il baisse les yeux, ne sait pas vraiment comment terminer ce fil de pensées, ni même comment l’exprimer alors, ⠀⠀⠀alors ⠀⠀⠀alors ⠀⠀⠀alors parfois il suffit juste de ⠀⠀⠀ne ⠀⠀⠀pas ⠀⠀⠀réfléchir. « Je crois que je ne suis pas un garçon. » Mais ~~elle~~ n’arrive pas à accepter le regard des autres pour naître enfin.	Invité Invité



Mer 9 Fév - 20:34
Un sourire sincère, toujours, le rosé lissant quelques mèches colorées en écoutant attentivement ce que lui disait le jeune homme. Stressé, toujours, mais Vénus restait calme, patient, lui laissant là l'occasion de tranquillement sortir de sa carapace et découvrir qu'à ses côtés, il ne risquait rien. - Merci, c'est gentil. Lui répond-il simplement avant de l'observer encore, patient. Cette fois, il ne parle pas. Au tour de Philip, de s'exprimer et Vénus comptait bien lui mettre un petit coup de pied aux fesses s'il n'osait pas. Car il était là pour l'aider, pas le dévorer tout cru. Puis le voilà qui vide son sac, dévoile son coeur. Des inquiétudes qui font du sens, qui lui étaient passées aussi par la tête il y a de cela quelques années. Car lui aussi, au départ, était effrayé. Et l'espace d'un instant, il crut se revoir plus jeune, en cette personne prisonnière de ses peurs. Cette jeune femme avait besoin d'aide, de vivre ce qu'elle désirait vivre et ce, en traversant diverses épreuves au risque de tomber, pour simplement ensuite se relever. Ainsi était faite la vie, malheureusement. Au bout des aveux, le médecin s'incline légèrement vers l'avant pour reposer une main délicate sur l'épaule voisine, un geste destiné à l'apaiser plus qu'à l'écraser, lorsqu'il lui fait part de son avis : - Ce que tu viens de faire là est déjà très courageux, tu sais ? Rien que ça, c'est une étape énorme, que tu viens de franchir. En parler à quelqu'un. Un parfait inconnu, qui plus est. Mais peut-être était-ce plus simple ? Lui en avait surtout discuté avec son frère cadet, en réalité. - J'ai quelque chose à te proposer. Aimerais-tu que l'on échange nos numéros de téléphone ? J'aimerais pouvoir t'inviter à la maison, lorsque tu en auras envie, afin de discuter de tout cela en privé. Naturellement, tu peux refuser, on se connaît très peu après tout. Je suis peut-être un tueur en série. Très bonne blague Cameron, de quoi la mettre en confiance pour sûr. Il rigole avant de se frotter une joue, embarrassé. - En vrai, par cette invitation, je te proposais surtout d'essayer divers vêtements catégorisés de plus féminins, peut-être du maquillage, tes ongles, coiffures, bref, ce que l'on associe généralement au genre féminin. Bien qu'à mon sens, les gens portent bien ce qu'ils veulent m'enfin. Il chasse l'air d'une main, préférant éviter simplement d'aborder ce sujet si sensible qu'était ces boîtes dans lesquelles les gens étaient rangées. Peut-être que de te plonger dans cet univers par le physique, pour commencer, t'aiderais à y voir plus clair ? Une étape à la fois et comme je confectionne des tenues plus féminines à mon gabarit, sans poitrine...Qu'en penses-tu ? Tu pourras amener un ami ou une amie, si vraiment tu t'inquiètes. C'est compréhensible.	Invité Invité



Ven 18 Fév - 15:35
✿✿✿ Et alors, qu’est-ce que ça fait, maintenant que c’est sorti ? Maintenant qu’il y a des mots sur les sentiments ? Le cœur est lourd, il l’est toujours, un peu moins maintenant peut-être. Même si tu lui as dit de ne pas réfléchir, de prononcer les premiers mots qui lui passent par la tête, Philip a tout de même l’impression d’avoir franchit une ligne, ⠀⠀⠀comme s’il en avait trop dit (encore). Mais si les mots sont sortis, c’est qu’ils le devaient. C’est que c’était là depuis trop longtemps et qu’enfin, ils voient la lumière. Qu’enfin, il y a un peu d’espoir, un peu de rêve, quelques étoiles qui attendent bien sagement de pouvoir briller encore plus fort. C’est un premier pas. Philip ne sait pas s’il est prêt à faire les autres. Il sent la chaleur de ta main sous ses vêtements. Retient un rire parce que— finalement, tu sais, il ne se trouve pas si courageux que ça. C’est même plutôt l’inverse. S’il était courageux, il ne serait pas en train de tout déballer à un inconnu, tout simplement. Ta proposition le prend un peu par surprise. « Oh, euh, oui bien sûr, » il sourit un instant face à ta blague (si c’est vraiment une blague), avant de sortir son téléphone. Il te montre son numéro alors qu’il t’écoute. Un instant silencieux, les mots se bousculent à ses lèvres, sans savoir vraiment ce qu’il devrait te dire. Te remercier, déjà. Mais ensuite ? Au fond— il se demande surtout pourquoi tu ferais tout ça pour ~~lui~~ elle alors que, comme tu l’as dit, finalement vous êtes des inconnus. Mais est-ce si rare que ça, des inconnus qui veulent s’entraider ? « D’accord, je veux bien… je ne sais pas si je suis vraiment prêt pour ça mais je veux bien essayer quand même. » (Il pense à Lolly lorsque tu parles d’amener une amie. Mais il ne lui a toujours pas avoué la vérité et il ne veut pas l’embêter avec ça, elle fait déjà tant pour lui…) C’est par étapes qu’il faut procéder parce que ça l’angoisse tellement, tu sais. Parce que si Philip trouve enfin qui il est mais qu’il ne se sent pas capable d’être cette personne alors— est-ce que ce serait pire ? Ou est-ce mieux de rester dans l’ignorance, dans le malaise d’être dans ce corps-là ? Il ne sait pas. Mais s’il n’essaie pas, alors jamais il ne saura. Il baisse un instant la tête. « Je ne sais pas quoi dire, ça me touche énormément et j’ai l’impression d’abuser de ta gentillesse. Je ne saurais pas quoi faire pour te remercier, j’aurais l’impression d’avoir une dette envers toi. Est-ce que je peux te rendre service d’une manière ou d’une autre ? » Il commence à se prendre la tête, déjà. Alors que peut-être— il devrait penser à lui-même, pour une fois.	Invité Invité



Jeu 10 Mar - 17:37
D'un geste, Vénus se redresse et se recoiffe un peu avant d'offrir un sourire au plus jeune, visiblement satisfait de sa réponse. Rangeant son cellulaire, il pivota de nouveau face au jeune pour tapoter sa propre lippe d'un index, pensif. Lui devoir quelque chose ? Non, rien, car Vénus était comme ça. Car Vénus était quelqu'un qui appréciait de venir en aide aux autres, les aider à traverser des étapes difficiles, qu'il s'agisse de moments critiques dans la santé ou la psyché. C'est pour ça, qu'il était médecin. C'est pour ça, qu'il parlait dans ce type d'association et c'est pour ça qu'il avait décidé de briser cette glace qui enveloppait la silhouette frêle de cette jeune personne plongée dans ses tourments et ses hésitations, ses questions. Alors, il secoua la tête en signe de négation. - Je le fais car j'en ai envie. Je ne veux rien en retour, ou alors que tu communiques avec moi, lorsque tu ressens le besoin de parler de tout ça. Oui, voilà ce que je veux, en fait ! Cela te convient ? Un clin d'oeil, un sourire puis il jeta un regard en direction des autres, plus loin, deux de ses collègues en cet environnement semblant chercher quelque chose...ou plutôt quelqu'un. Ah oui, il devait parler, encore. Mais s'était quelque peu engagé ailleurs pour le coup. Lissant sa robe, il se pencha une nouvelle fois vers Philip, reposant une paume sur son crâne pour lui ébouriffer les cheveux d'un élan fraternel. - Je vais devoir bouger mais n'hésite pas à m'appeler ou m'envoyer un message d'accord ? Ravi d'avoir discuté avec toi...et on se voit bientôt. Un pas vers l'arrière puis c'est d'un petit signe de la main qu'il disparut dans la foule, retrouvant tranquillement le duo qui l'attendait depuis quelques minutes déjà. Et du coin de l'oeil, il regarda vers le fond de cette grande pièce, espérant simplement que la jeune fleur accepte son aide afin d'éclore enfin.	Invité Invité




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