B L O O M into me
Forum définitivement fermé. Merci pour cette belle aventure. <3
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FORUM FERMEdéfinitivement. merci pour les souvenirs !

l'amour fleurit et flétrit, il est comme une fleur qui passe et trépasse avec le temps.
l'amour ne dure qu'un instant, qu'un moment ; c'est ce qu'on dit, qu'il est éphémère, comme la vie, comme la pluie.
et pourtant, malgré ce moment si court durant lequel on aime, cela peut suffire à tuer ; et ça vous rend malade, d'aimer sans être aimé en retour, et ça vous tue le coeur et l'âme - littéralement.
vous avez envie de vous échapper, d'arrêter ça, et c'est votre poitrine qui se gonfle, vos poumons qui s'emplissent ; et vous toussez, encore et encore.
et ce sont des pétales de fleurs qui tombent lourdement sur le sol pâle.
auckland. juillet 2023, hiver.
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21.07.23réouvertue du forum, recensement, et petit évent (www)
04.01.23fermeture temporaire du forum, ceci dit, on revient vite !
10.08.22nous soufflons nos bougies à plein poumons et souhaitons un bon anniversaire à bloom et qui dit anniversaire dit nouveautés (www)
01.08.22tous des stars grâce à insta(r)gram (www)
27.06.22les choses se compliquent et les rumeurs voient le bout de leur nez (www)
13.06.22nouvelle màj dit nouvelles informations à retrouver juste ici
14.02.22on profite de la joie, de l'amour et de la nourriture gratuite pour la saint valentin (www)
26.01.22tom cruise en sueur, le forum réouvre pour sa V3 avec son lot de news à retrouver ici.
27.10.21tou beau tout chaud, prêt à braver la chaleur de l'été, voici les nouvelles juste ici
10.08.21bloom ouvre ses portes ❤
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Table 1 - Leina'ala Kalili & Astrid Ångström

 :: Salle des fêtes :: [EVENT 02/2022] St Valentin Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
Dim 27 Fév - 21:33


tell me don't

song (+) ootd — belle,
à couper le souffle.
princesse devant ton miroir, à coiffer tes boucles. noeuds dans les cheveux pour tenir des couettes trop hautes, elles fouettent tout de même tes épaules. tout se mêle et s'emmêle.
des lèvres pailletées que tu fais sonner, claquer, prête à embrasser.
un dernier regard dans le miroir, un tour sur toi-même, fière de ton apparence, prête à séduire, prête à briser des coeurs.
belle à en mourir.

l'amour n'existe pas, la saint valentin te fait rire.
excitation palpable quand tu tournoies dans l'appartement pour te montrer à tes colocataires. une idée stupide que de participer à cette chose, et pourtant, vous aviez tous été choisis. une folie. des rires. comment tu me trouves ? prête à séduire jupiter, pour rire, c'est toujours pour rire de toute de manière, avec lui. tes bras autour de naoki, il n'aime pas trop ça, mais les efforts passent par la fenêtre, tu as l'impression d'en faire sans que ce ne soit vraiment le cas.
étrange.

tu es parties la première, le pas décidé. tu avais traîné à nouveau charlie dans l'une des friperies en ville pour trouver quelque chose. le papier entre les doigts, la description faite de la personne ne t'inspirait d'abord guère, et puis, il te semblait avoir vu quelque chose qui te laisser penser à elle.
la personne.
il prend un petit peu de place dans ton sac,
matérialiste, tu espères que cela lui fera plaisir,
tu espères quelque chose en retour,
des efforts.
ce n'est pas compliqué de te comprendre.
qu'avais-tu écris sur ce papier, déjà ? tu ne t'en souviens pas vraiment.

tu chantonnes sur ton chemin, un cadeau, les amoureux, les oiseaux, comme si c'était important.
tout est vain, tout est futile,
ton coeur vide,
qui bat contre ta poitrine,
bruit sourd du néant,
du rien,
que tu fais semblant de ne pas entendre.

table numéro une.
ton regard amande qui scrute, scrute, scrute les tables.
une femme.
blonde.
une femme.
tu sens ton coeur qui s'arrête.
l'univers qui te joue un tour, probablement.
il se moque de toi.
une femme et tu semblerais presque paniquée.
mais ta mécanique est cassé, leina, brisée, fissurée, elle ne fonctionnera plus jamais.
c'est une femme, comme les autres.

elle doit aimer, elle.
elle doit amoureuse, elle.
elle doit pas souffrir, elle.
elle.
elle.
elle.
elle.
elle.

tu fais comme si de rien était, sourire sur tes lèvres, un peu trop exubérante, tes talons claquent contre le sol, tu fais du bruit, les regards se portent sur toi. comme d'habitude. ça te fait plaisir. « heeeey !! joyeuse saint valentin !!! c'est super drôle qu'on soit ensemble, j'suis contente que ce soit toi et pas un homme qui pue. » approche fracassante quand tu t'installes à la table numéro une.
tu ne détestes pas les hommes, pas vraiment. « enfin, ils puent pas tous, mais t'as compris. » ils te dégoûtent un peu, parfois. « t'es trop belle, en tout cas. » tu serais peut-être tombée amoureuse, dans d'autres circonstances,
peut-être.
« j'vais tomber sous ton charme. » et tu rigoles.
éclatant,
cassant,
ton coeur en morceaux.
and i was so young when i behaved, twenty five yet now i find i've grown into a tall child and i don't wanna go home yet


Leina'ala Kalili
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Leina'ala Kalili
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Lun 28 Fév - 0:29


too much in my system
famine, famine

 
. astrid    ϟ  leina'ala .


table une.
Astrid répète le numéro comme si elle allait oublier, alors qu'on peut difficilement faire plus simple, comme chiffre.
Elle pourrait le perdre aisément, pourtant, parmi le flots de pensées qui l'accompagne ce soir encore.

Elle est restée plantée devant la porte d'entrée de la salle des fêtes, à détailler la salle, les décorations, les invités qui, comme elle, comme Artiome, ont glissé leur bout de papier dans une boîte un peu stupide, en ont reçu un en retour.
Elle est pas douée pour les cadeaux, Astrid, elle ne sait pas vraiment pourquoi.
Parce que c'est comme ça, peut-être, c'est tout.
Elle s'est appliquée pourtant, elle y a mis tout son cœur, dans le coffret rempli de babioles, de bijoux qu'elle a déniché dans le bazar de sa boutique ou qu'elle a confectionné quand le sommeil ne venait pas, de petits cristaux roses et brillants, de parfums, d'huiles et d'autres choses qu'elle avait déjà oublié, tant elle en avait mis.
Elle n'est pas douée pour les cadeaux, Astrid, mais les travaux manuels, elle connaît, alors la boîte est jolie, bien emballée, c'est déjà ça.

Astrid aurait préféré passer la soirée avec Artiome, elle doit bien l'avouer, elle avait été déçue.
Elle s'était fait jolie, autant qu'elle avait pu, et ça n'allait même pas vraiment servir.
Elle n'avait pas pensé à un speed-dating, loin de là. Elle angoissait un peu, Astrid, de se retrouver toute seule avec quelqu'un qu'elle ne connaissait pas.

Astrid marmonne, tandis qu'elle se dirige vers la place qu'on lui a attribué,
table une, comme pour ne pas oublier,
elle cherche du regard, la table, Artiome, pour avoir un semblant de repère
table une, comme pour ne pas se perdre,
les pieds se dandinent lorsqu'ils s'arrêtent face à la table pour l'instant vide de tout partenaire.

C'est une fille qui partage la table une avec Astrid
une fille trop imposante pour la toute petite Astrid,
trop extravagante, trop tout, si bien qu'elle ne se sent plus vraiment à l'aise, Astrid, qu'elle a l'impression qu'il n'y a plus de place pour elle, dans la salle.
jalousie, peut-être,
celle de l'adolescente qu'elle était qui aurait bien voulu, elle aussi, briller comme elle brille, cette fille, être aussi bien apprêtée qu'elle l'est, aussi rayonnante, aussi tape-à-l'oeil
jalousie, peut-être,
celle de l'adulte qu'Astrid est aujourd'hui, qui aimerait bien qu'on la regarde, des fois.

Astrid la détaille longuement, sourit un peu plus, plus par politesse que par réel envie, parce qu'elle se sent toujours un peu suffoquer.

Ils sont tous un peu puants, faut l'avouer... Je crois qu'ils se lavent pas tous les mains...

Haussement d'épaules, rire incertain,
Astrid pose le paquet cadeau sur la table, s'y installe face à sa compagne de ce soir, qu'elle continue de détailler.
Elle a l'air gentille,
elle a l'air sincère,
pourtant Astrid se détaille un instant, parce qu'elle paraît tellement fade à côté d'elle
elle y croit pas vraiment, parce que ça sonne un peu faux.

Oh, c'est gentil. T'es super jolie, toi aussi.. T'as des beaux cheveux.


Mains qui se glissent entre ses cuisses, épaules qui rentrent un peu, comme pour se faire un peu plus petite, moins visible, se faire moins happer par le trop.
Elle essaie, pourtant, d'être un peu plus assurée. Elle redresse le dos, se penche par dessus la table pour croiser les bras dessus, sourit à nouveau, les pieds qui continuent de se taper sous la table.

Je m'appelle Astrid ! Toi t'as une tête à avoir un nom genre... Je sais pas trop... Je sais pas pourquoi j'ai dit ça.
Callisto Wisteria
actrice & mannequin
Callisto Wisteria
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Lun 28 Fév - 1:40


tell me don't

song (+) ootd — elle est d'accord avec toi.
elle ne l'a pas vraiment dit.
mais ils sont tous un peu puant.
elle dit qu'ils ne se lavent pas tous les mains.
tu grimaces ; l'idée même d'une main vaseuse te donne la nausée.

la chance est avec toi aujourd'hui ; c'est ce que tu dis. la chance que tu vas piétiner. et jupiter sera jaloux, oui, de te voir assis en face d'une belle blonde.
et tu ne sais même pas si jupiter aime les blondes.
peut-être.
toi, tu les aimais bien, en tout cas.
les cheveux qui sent le soleil, les marguerites,
les sourires, les joues rosées.
oui, tu les aimais bien.

et maintenant tu voudrais les écraser.

un paquet sur la table, tu regardes le tien, bancal, mal fait, un peu pressé, pas vraiment de dernière minute, mais simplement maladroit,
comme toi,
à ton image.
un papier qui brille, prêt à être déchiré, et la forme informe de cette chose tout en anamorphose.
un attrape-soleil ; tu l'aurais bien mis chez vous, mais les murs sont trop pris, le soleil ne rentre même pas vraiment dans cet endroit miteux.

un attrape-soleil,
pour son sourire,
pour son éclat,
pour elle.

pour quelqu'un d'autre peut-être ; un peu mystique, un peu magique, extasiée devant les arc-en-ciel et les paillettes, un cadeau plutôt pour toi que pour elle, peut-être.
tu ne sais pas, tu n'as jamais été très bonne.
as-tu simplement envie de faire plaisir ?
de plaire ?
quelle idiotie, ici.

compliments sur tes cheveux,
un sourire,
tu sais.

et tu fais la curieuse, tu la regardes, du l'écoutes,
c'est qu'elle ne parle pas fort, la blonde,
Astrid qu'elle dit,
acide,
que ça sonne, dans les oreilles,
sur la langue.

« C'est joli, Astrid, comme toi ! » amer, comme toi, et tu rigoles, encore.
leina qui rit trop, qui fait trop de bruit,
qui se laisse aller, leina.
« une tête à m'appeler comment ? madeleine ? » tu ne sais pas pourquoi celui-là, en premier. « le tien est original... jamais entendu. » et t'es idiote, leina, un peu bête. « tu n'es pas d'ici ? » toi nn plus, et tu oublies, leina, tu oublies de t'appeler, de te nommer.
comme si tu n'existais pas,
toujours pas.

« Leina'ala » nom chantant, fausse note, mauvais accord. « Mais personne l'utilise jamais, donc je m'appelle plutôt Leina. C'est moins original, mais tout aussi cool. » trancher tes origines, oublier peu à peu, qui tu es,
d'où tu viens,
ce que tu fais.

« Astrid ? » acide,
amer,
(jalousie),
« toi aussi, tu pensais gagner un voyage ? » langue qui se délie, comme si tu la connaissais depuis toujours, comme si elle était ta meilleure amie, « on est passé dans la supérette avec mes colocs et on a pas trop compris, on a vite fait lu, et on s'est dit que si on gagnait un voyage, ça serait cool. mais apparemment, c'était une giga... » arnaque, tu fais signe de la main. « c'était pas ce qu'on pensait. mais au moins, je passe la saint valentin avec une belle meuf. »

au moins,
et pas seule.
sans penser un instant qu'un valentin l'attendait,
juste ici,
tout prêt.
(jalousie)
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Leina'ala Kalili
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Leina'ala Kalili
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Ven 4 Mar - 6:41


too much in my system
famine, famine

 
. astrid    ϟ  leina'ala .


table une.
L'ambiance est bizarre, un peu impossible à cerner.
Et Astrid, comme elle n'a pas toujours la tête vraiment claire, elle est dans l'impossibilité de deviner ce qui la dérange, ce qui la rend un peu mal à l'aise.
Elle sourit, et la jeune femme sourit, pourtant c'est étrange, quelque part.

C'est étrange parce qu'Astrid a l'impression qu'elle se moque.
C'est étrange parce qu'Astrid n'entend que du sarcasme, mais ça, elle n'en est pas certaine, elle qui est si parano.
Alors elle sourit toujours, elle écoute, elle regarde, elle jauge, elle essaie de comprendre, pourquoi elle a autant l'air de se payer sa tête.

C'est plutôt commun, Astrid.
Elle en a rencontré plusieurs déjà.
Des Leina'ala, beaucoup moins. Jamais même.
Et là, Astrid elle ne doute plus vraiment - elle se paie sa gueule. Passive agressive, du genre à cracher son venin sous un sourire, peut-être.
Astrid rit tout de même, mais tous les feux sont au rouge. Les voix s'agitent, lui chuchotent qu'elle se fout vraiment de ta gueule, Astrid, tu vas pas te laisser faire, et tendre l'autre joue, même ?

Elle réfléchit, Astrid, très fort. Elle en vient à la conclusion que c'est bête. Qu'elle a l'air gentille, Leina'ala, que de là d'où elle vient, c'est peut-être au moins courant, comme prénom, qu'Astrid. Que le sourire est sincère, que les compliments le sont aussi.
T'es bien naïve, Astrid.

J'aurais pensé à Aurore, ça doit être tout le rose.

Haussement d'épaules, un peu désinvolte. Sourire un peu caché, parce qu'elle reste mal à l'aise. Qu'elle a beau détendre les épaules, se laisser glisser un peu sur sa chaise, elle est toujours un peu sur le qui-vive, à épier les gestes, les expressions, prêter trop d'attentions aux mots qu'elle utilise.

Je suis russe... Ça pullule, les Astrid, pourtant... Pas les Leina'ala, j'imagine. T'es la première.

Yeux un peu ronds, sourire un peu bête.
Doigts qui continuent de se tordre, de s'accrocher les uns aux autres.
Elle sait pas vraiment, Astrid, ce qui lui a pris de venir à un événement où il y aurait beaucoup trop de monde pour que son esprit fonctionne correctement.
Et si elle avait su qu'elle allait passer la soirée à se demander si la jeune femme face à elle se foutait ouvertement d'elle, Astrid se serait peut-être abstenue de venir, elle aurait peut-être écouté Artiome, pour une fois.

Ça la fait sourire, le voyage, jusqu'aux oreilles. Ça la fait rire, même, et son cerveau désespère, parce qu'Astrid on dévie son attention trop facilement, on la manipule trop aisément, même si ça ne dure qu'un temps.
Elle y pense plus vraiment, au fait que Leina'ala lui paraissait un peu acerbe.
Elle se penche en avant, les bras croisés sous son buste, le sourire qui dévoile les dents, les yeux qui rient.

Oh moi aussi ! Genre tout pareil ! J'ai dit la même chose à mon copain, il me croyait pas. Moi ça me paraissait vachement logique un voyage ou une croisière. Pas un secret santa, ça j'avoue, j'ai du mal à comprendre...

Astrid hausse les sourcils, se recule pour s'appuyer contre sa chaise, un peu plus détendue.
Point commun un peu bête, anecdote qui balaie un peu son anxiété.
Que Leina'ala elle est sympa, elle lui parle comme à une copine.
Normalité dont Astrid n'a pas l'habitude, qui la surexcite et qui la fait sourire trop fort.

On pourra aller danser si tu veux ! J'ai un polaroid, on pourra faire des photos, aussi.. Le coin avec les ballons, là-bas, il est joli..
Callisto Wisteria
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Callisto Wisteria
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