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FORUM FERMEdéfinitivement. merci pour les souvenirs !

l'amour fleurit et flétrit, il est comme une fleur qui passe et trépasse avec le temps.
l'amour ne dure qu'un instant, qu'un moment ; c'est ce qu'on dit, qu'il est éphémère, comme la vie, comme la pluie.
et pourtant, malgré ce moment si court durant lequel on aime, cela peut suffire à tuer ; et ça vous rend malade, d'aimer sans être aimé en retour, et ça vous tue le coeur et l'âme - littéralement.
vous avez envie de vous échapper, d'arrêter ça, et c'est votre poitrine qui se gonfle, vos poumons qui s'emplissent ; et vous toussez, encore et encore.
et ce sont des pétales de fleurs qui tombent lourdement sur le sol pâle.
auckland. juillet 2023, hiver.
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Jeu 30 Juin - 15:57
Slam & Leslie
alprazolam
radio
Rarement, Slam passe à l'improviste. Trop souvent occupé jusque trop tard. Trop souvent debout trop tôt. Mais pour une fois, il peut se le permettre. Ce n'est pas que ses horaires s'allègent, c'est qu'il semble enfin pouvoir compter sur un peu d'aide et de volontariat. Pas de bénévolat, non, mais ce n'est pas lui qui paie les employés et leurs heures supplémentaires, de toutes façons.
Et cela le trouble, un peu.

Pas le fait de ne pas payer les salaires, mais de pouvoir compter sur quelqu'un d'autre. Il y a quelque chose d'étrange là-dedans, quelque chose auquel il ne s'habitue pas. Alors, il veut voir s'il change. Si sa façon de comprendre les autres et d'agir avec eux et différentes. Se confirmer que tout va bien. Voir un bon ami.

Les écouteurs dans les oreilles, il attend l'annonce de la fin de l'émission, qui laissera place à une énième chanson. C'est plutôt pratique, de savoir qu'il s'agit d'un direct. Ainsi, pas besoin de prévenir avant de passer à l'improviste. Il envoie tout de même un message, des plus sobres. Je suis dehors. Juste là. Un tant soit peu vivant.

Il attend. Patiemment. L'émission n'est toujours pas fini. Poser des questions pour y répondre. Peu d'intérêt - si ce n'est de l'occupé. Il a presque envie de se moquer de son ami. Appeler et demander quelque chose de bête. Mais il ne veut pas l'embarrasser. Ni s'embarrasser lui-même. Pourtant, il contacte le fameux numéro. Il suffit d'envoyer un message à l'opérateur, pour être potentiellement lu sous un pseudonyme.
Personne ne saurait que c'est lui.

Sauf Leslie.

Parce que les choses sont ainsi faîtes. Question puérile.
Comment se faire respecter/obéir par sa subordonnée au travail ? Lala.
Comment se faire apprécier par sa subordonnée au travail.
Il ne le tourne pas comme cela.

Il ne pense même pas être lu. Cela fera peut-être sourire son ami, qui se moquera de lui; lui qui se laisse trop marcher sur les pieds. Il verra bien. Il n'a plus longtemps à attendre, de toutes façons. Appuyé contre le mur de l'enseigne, il patiente tranquillement.

Slam Goldwin
anesthésiste
Slam Goldwin
Messages : 69
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Sam 2 Juil - 10:14


alprazolam

Il y a des soirs où tu aimerais mieux ne pas travailler.
Il y a des soirs où tu aimerais faire comme tout le monde,
Regarder la télé, lire un livre, faire l'amour.
Mais là nuit est ton royaume, ton terrain de jeu et si tu n'es pas un justicier masqué, tu as toi-même quelques responsabilités. Peut-être que tu tiens quelques routiers éveillés, peut-être que les insomniaques se surprennent à rire à tes côtés. Tu existes pour tant de personne sans en avoir conscience, sans t'en rendre compte, la chose te paraît si étrange.

et ils écrivent des tas de choses que tu lis à voix haute, tu es parfois wedding planner, parfois psychothérapeute. tu joues le rôle d'une mère, d'un frère, d'un petit ami. toutes les situations te sont connues ; il n'y a aucune raison pour que soudainement tu déçoives les personnes qui font ta vie.

mais aujourd'hui, c'est un soir où tu serais bien resté chez toi.
ou presque.
soudainement, c'est un rire qui s'échappe.

« Voilà une question intéressante ! » t'es-tu exclamé, comme si c'était la première fois, « on nous demande juste ici : comment se faire respecter et, ou ?, obéir par sa subordonné au travail ? et c'est signé Lala... » tu fais celui qui ne comprend pas, mais tu sais très bien de qui il s'agit. comme une code secret, comme une poignée de main d'enfant, lala qui te fait comprendre que parmi les quelques auditeurs, il est là aussi. ça t'amuse. « Et bien mon cher lala. peut-être faut-il être agréable, sourire, être » tu t'amuses de lui, rien qu'un peu. « peut-être que pour qu'elle te respecte... il faut être une personne. respectable ! ». un conseil qui te ressemble, vraiment. « taper du poing sur la table ne sert souvent à rien ! la douceur, la discussion, surtout la discussion. la communication. c'est la clef d'une bonne relation, surtout au travail ! mais pas que... Alors mon cher Lala, j'espère avoir répondu à ta question... » qui n'était que plus étrange encore, connaissant l'homme.

Une réponse menant à une autre, tu as probablement terminé plus tard que tu ne le devais, encore, comme toujours. et tu as descendu quatre par quatre les marches du studio, emmitouflé dans une doudoune qui prenait trop de place. tu détestais ça. un vulgaire SMS, arrve répondu à ton camarade de ce soir, qui voulait probablement dire que tu arrivais, et te voilà en bas.

rires.
« Lala ! » interpellé comme s'il ne t'avait pas vu débouler. « qu'est-ce que tu fais là ? » comme si tu ne l'avais jamais vu. « C'est important ? » que tu dis alors, parce que ça pourrait l'être, peut-être qu'il comptait sur toi, l'autre, petit coup de coude dans son bras, clin d'œil, « ou alors c'est à propos de ta subordonnée ? » et te voilà amusé.
burning, burning, burning bright



Leslie Hawkins
animateur radio
Leslie Hawkins
Messages : 54
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Dim 3 Juil - 16:18
Slam & Leslie
alprazolam
radio

Leslie se moque ouvertement de lui, à sa propre oreille. Slam sait fort bien qu'il a compris de qui provenait ce message. De ce surnom ridicule qu'il lui rend bien. Lili. Dans cette taquinerie sonore, il entend les conseils, mais ne sait tout simplement pas les appliquer. Après tout, encore faudrait-il que Gwendoline accepte de l'écouter. De lui parler. Voir, ne serait-ce que s'assoir en sa présence. Il ne sait pas véritablement quel en serait l'intérêt, mais au moins, cela se produirait. Et Lili pourrait en rire. Ce serait tellement différent, de ces deux derniers ans.
Une ouverture, petite porte pour s'en sortir.

La porte s'ouvre, quant à elle, en grand. Lorsqu'il entend son prénom, il arrache les écouteurs de ses oreilles, les lèvres qui s'étirent dans un faible pincement. Son ami à cette façon d'entrer dans l'espace, de se faire voir. Ce quelque chose qu'il respecte toujours, qu'il est incapable d'imiter. Une vraie pointe d'humanité.

Lili, te voici ! Je terminais plus tôt ce soir, alors je me suis dit que j'allais passer te voir ... Sauf si, bien sûr, tu es attendu ailleurs.

Un refus de s'imposer. Mais c'est vrai qu'il aimerait bien passer du temps avec lui. Le temps d'un verre, peut-être, un repas, ou même un simple trajet. Un moment arraché à la volée. Il en aurait bien besoin.

Et non, ce message était juste pour te faire passer le temps ... tu te doutes bien que je n'ai pas véritablement ce problème.

Mais il doit savoir, Leslie, que le brun ment. Qu'il dit cela parce qu'il a pris cette habitude de se séparer des relations au travail, voir les relations en général. Qu'il fait en sorte que les interactions avec les autres ne le dérange pas. Que ce genre de choses n'est pas un soucis, qu'il passe par dessus. Oui, il devrait savoir tout cela, Leslie, que si cela n'avait pas d'importance, il n'en aurait pas parlé. Qu'il serait juste là, à entamer la conversation avec cette phrase qu'il dit tout le temps.

Comment vas-tu, depuis la dernière fois ?

A chaque fois. Comme une excuse pour ne pas se voir assez. Comme une excuse de ne plus être l'aussi bon ami qu'il était.

Slam Goldwin
anesthésiste
Slam Goldwin
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Mar 19 Juil - 21:27


alprazolam

Au milieu de ses longues journées sans fin, il avait pris le temps de venir te voir ; et toi, ça t'avait fait sourire, ça t'avait fait plaisir, « et même si j'étais attendu ailleurs, et bien, qu'ils attendent ! » parce qu'il y a peu de choses qui passent avant slam, parce que slam passe devant bien des choses. il faudrait peut-être revoir tes priorités, mon grand, mais tu prétends savoir ce que tu fais ; tu fais semblant d'être au courant, d'être un adulte et quand tu le vois, lui, tout beau, tout propre sur lui, alors peut-être que tu es un peu jaloux, peut-être que tu pourrais être un peu plus adulte,
peut-être.

une moue juvénile sur ton visage, alors qu'il prétend que ce n'était pas important, que ce n'était qu'une blague, « tu t'essayes à l'humour ? » avais-tu alors glissé, un peu taquin, toujours un peu joueur, toujours prêt à l'embêter, ce pauvre slam qui ne t'a rien demandé - ou peut-être l'a-t-il cherché, peut-être aime-t-il être ton souffre douleur, parfois, peut-être,
peut-être...

« on fait aller, lala, on fait aller... » tu prends un air dramatique, tu attrapes son bras pour le lier au tien, comme si tu perdais la vie, comme s'il devait te soutenir, « le poids de la vie... trop lourd... » tu articules, difficilement, c'est peut-être le froid qui gèle tes lèvres ou ton jeu d'acteur qui est bien moyen, « je ne tieeeens plus, plus pour longtemps en tout cas... » et ton rire créer un nuage de fumée, et tu le lâches, lala, tu le lâches, parce qu'il doit en avoir assez, déjà.

« et toi, lala ? » comme ça, haussement d'épaule, « restons pas planté là, 'fait trop froid, t'as mangé ? on va boire un verra ? » parce que pour une fois, la nuit était encore jeune, vous aviez le temps,
de faire des folies,
des confessions,
« je veux tout savoir, les choses qu'ils se passent au travail, tu sais... » et tu n'insistes pas,
mais il a bien compris,
la subordonnée.
burning, burning, burning bright


Leslie Hawkins
animateur radio
Leslie Hawkins
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Jeu 21 Juil - 15:19
Slam & Leslie
alprazolam
radio
Lili laisse un goût acide et sucré, un peu citronné. Ses propos et ses gestes collent si bien à son aspect. Il est vivant, présent, les pieds qui l'accrochent si bien dans cette réalité. Et pourtant, Lili reste ici, au près de lui, comme deux âmes en peine. Qui se cherchent, s'attirent, se bousculent, s'étouffent, mais respirent. Quelque chose d'étrange. D'inexpliquée. Inexplicable.

Slam l'envie. Lui qui semble si heureux. Mais ce n'est guère un comportement d'ami, alors il lui sourit, presque à deux doigts de rire face à la douce moquerie. Un soubresaut dans les côtes. Lili agit si naturellement, sans craintes. Et la vieille carcasse a presque envie de tendre les mains, de rattraper l'autre corps qui fait sembler de sombrer dans l'ailleurs. Il sait, pourtant, que c'est faux, mais il a presque envie de se prendre au jeu. Le temps d'un instant. Quelques secondes.
Il ne s'y autorise pas.

On fait aller, comme d'habitude.

Il offre les faits comme ils le sont à ses yeux. Il vit encore, bien qu'on l'observe mort. Alors les choses vont plutôt bien. Assez bien pour accepter l'invitation, pour tourner autour du pot, mais surtout du verre.

Pourquoi pas un verre, surtout si cela te soulage du poids de la vie.

Pointe de taquinerie. Il s'essaie à l'humour, par petit pigment de couleurs par-ci par-là. Et il espère. Oui, Slam espère que les quelques rires qu'il pourra peut-être tiré, par-ci, par-là, changeront le sujet.
Il en doute.

Lili n'est jamais dupe.
Et déjà, Lala le sait.

Tu connais un endroit sympa dans les alentours ?

Pour ne pas rester plus longtemps dans le froid. Eviter du possible verglas. Il serait dommage de glisser et de se casser un nez.

D'ailleurs, la première tournée est pour moi.

Il aurait pu dire qu'il payait le verre, mais il sait, Slam, qu'un verre en entraîne un autre. Il sait qui le regrettera le lendemain. Mais il ne crache pas, non, il ne crache jamais sur le temps qu'il passe en divine compagnie. Un ami comme celui-ci ... Il y pense, sourit encore. Plus doux qu'à l'ordinaire. Des moments de faiblesses où le masque tombe un peu. Toujours sous le même regard.

Slam Goldwin
anesthésiste
Slam Goldwin
Messages : 69
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Jeu 21 Juil - 19:03


alprazolam

Un verre s'il te soulage du poids le vie ; le verre te soulagerait probablement de tout, délierait les langues,
rien qu'un peu,
à vous faire rire comme des enfants,
comme des adolescents,
réimmiscent.
Et si tu le prends à la rigolade, si t'as le sourire facile, il sait,
que ce n'était pas si faux,
que ton petit jeu d'acteur se révèle parfois plus vrai,
que c'est dur, souvent,
que ça fait mal - la plupart du temps. Mais tu restes grand, tu restes fort, torse bombé, parce que tu n'as pas le temps de t'apitoyer, toi, pas le temps de pleurer, jamais.

bras dessus, bras dessous,
accroché l'un à l'autre,
comme ça,
à se méfier,
du temps qui passe.

« Mon cher Lala, je connais bien évidemment tous les endroits branchés de cette vile, pour qui tu me prends ? » parce que s'il comptait sur sa paire, il était certain qu'ils n'iraient pas loin.
Une main dans son dos, comme une claque légère pour qu'il ne perde pas l'équilibre, pour ne pas lui décoller les poumons, « c'est pour ça que je t'aime ! » dis trop fort, comme toujours, « quoi qu'il faut faire attention avec ces mots, en ce moment... » et l'idée même te fait grimacer légèrement.

Des flocons sur le bout du nez et quelques glissades averties plus tard,
le Graal atteint ; ton corps réchauffé par les discussions alentours, par tes doigts sur un verre fraichement payé. « La prochaine fois, tu devrais v'nir faire une interview à la radio... » gorgée, glou glou, aspirée ; « à cette heure-ci tout le monde s'en fiche un peu... j'sais pas, tu pourrais parler du danger de la chirurgie esthétique ! j'ai vu une vidéo de cette meuf dont l'implant dans la fesse, ou je sais pas trop quoi là, avait bougé, ça avait l'air H - O - R - R - I - B - L - E.  » et ça te fait rire,
le malheur des autres,
attention,
« ou peut-être que tu pourrais même venir avec, tu sais... » gorgée, pour du courage - dont tu n'as pas vraiment besoin, « une subordonnée, un truc comme ça, hm ? » sourcils qui se haussent ; qu'il va en avoir marre de toi, slam, qu'il va te dire de te taire, un jour ; mais pour l'instant, tu tires sur la corde.
burning, burning, burning bright


Leslie Hawkins
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Lun 15 Aoû - 15:30
Slam & Leslie
alprazolam
radio

Lili jamais ne perd, et encore moins son temps. Aussitôt proposé qu'aussitôt les verres trouvés. C'est mieux ainsi, que de rester dans le froid de l'hiver. Slam lui fait entièrement confiance, sur l'endroit et le choix. Il l'écoute, d'abord silencieux, à se plaindre d'une vidéo sans sens. Il pourrait être honnête, lui dire qu'il ne s'agit pas de son domaine, mais Lili le sait déjà et il ne dit guère cela sérieusement. Non, il préfère mettre en avant la suite. Parce qu'il fallait forcément qu'il comprenne ce que lui-même n'avait probablement pas compris.

Et cela le fait sourire.
En coin,
discrétement
mais surtout
sûrement.

Voyons Lili, tu sais très bien que ton audience chuterait entièrement. Qu'importe le sujet. C'est un peu comme si tu venais opérer à l'hôpital ... je suis sûre que le taux de survie chuterait aussi.

Une moquerie. Froide dans son sens, et pourtant prononcé comme si de rien n'était. Comme si c'était juste une blague, comme celle d'un pingouin ou d'un petit pois. Travailler en proximité avec les mourants et vivants n'est pas toujours une bonne chose; on en oublie parfois la limite du raisonnable.
Du politiquement correcte.

Une gorgée.

Puis une deuxième, tout de suite après.

Il tourne trois fois ses mots dans sa tête. Rapidement. Pour ne pas se faire devancer. Et cela sort presque mauvais. Presque amer, à moins que cela ne soit du regret.

Elle ne fera sûrement pas long feu, tu sais.

Comme les autres. Sauf que les autres savent obéir et se taire. Et que les autres travaillent mal. Ce qui n'est pas le cas de Bowers. Alors oui, il regrette peut-être déjà son futur départ. Si elle part.
Elle partira, il en est sûr.
S'il ne se montre pas plus vivant.

La troisième gorgée, comme s'il allait tout descendre.
Envie sourde,
muette,
de se ravager.

Slam Goldwin
anesthésiste
Slam Goldwin
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Mer 24 Aoû - 22:02


alprazolam

tu as un rire. peut-être que tu étais un médecin caché ! tu t'offusques faussement à ses propos, parce qu'il n'a pas tort, parce que tu ne t'essaierais pas au bistouri. mais bon. il pourrait bien te faire plaisir, à venir quelques instants pour papoter de tout et de rien ((de la surbordonnée)). "tu pourrais venir raconter les passions folles de l'hôpital. tu sais, comme grey's anatomy. je suis sûr que il y a des choses à raconter..." des choses dont slam ne serait pas forcément au courant tu le sais, mais pourquoi ne pas inventer ? au final, personne ne pourra le contredire. ou peut-être que si. et ils viendront te voir. tu tiens un bon filon, maintenant.

l'alcool coule à flot, "à la tienne, lala" que tu as dit en suivant ses gorgées, en t'essuyant la bouche du dos de la main, un rire aux lèvres quand tu l'entends dire. "ça veut dire quoi, ça ? on dirait que tu vas l'assassiner lala, ça fait peur.." moue effrayée sur ton visage qui se dessine avant de reprendre une gorgée, "elle fera pas long feu à l'hôpital ? elle te plaît ?" un peu plus de détails à lui soutirer, invitation à boire pour délier la langue.
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Leslie Hawkins
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