mercy jackson
together we're rolling, over and over, we
✿ Nom : jackson
✿ Prénom : mercy
✿ Date & Lieu de naissance : 26 novembre
✿ Âge : vingt-huit ans
✿ Nationalité : néo-zélandaise
✿ Origines : néo-zélandaise
✿ Orientation sexuelle : pansexuelle
✿ Statut civil : célibataire
✿ Statut social : roule sur l’or yo (à moitié)
✿ Profession | Études : présentatrice d’une émission télévisée
✿ Groupe : shooting star
✿ Nom de la fleur :anémone pulsatile ; toxique et irritante, tout comme elle.
✿ Ce qu'il préfère chez lui, physiquement ou non ? : ses cheveux colorés ; qu’elle n’a de cesse changer, toujours dans tes tons bleus & verts
✿ Son moment de la journée préféré ? : quand elle passe à la télévision, évidemment ; en début de soirée
✿ Est-ce qu'il a une passion dont il ne parle pas ? : les romans à l’eau de rose qu’elle aime plus que tout
✿ Plutôt du genre à s'endormir directement ou à se faire trois films dans sa tête avant ? : un peu des deux, un peu de rien
✿ Comment est son écriture ? : illisible ; elle travaille pour la télévision, pas les journaux
✿ Gaucher, droitier, ambidextre ? : droitière ; ce n’est pas pour autant qu’elle écrit bien…
✿ Quelque chose qu'il ne supporte pas ? : qu’on la regarde de haut (c’est elle qui le fait, ça)
✿ Est-ce que sa vie actuelle lui plaît ? : elle est ravie ; elle veut juste plus d’argent…
two hearts in a fast lane
Une plume qui se pose sur l’eau et ce sont des ondulations qui se créent.
Mercy, c’est cette ondulation ; parfois discrète, parfois lourde ; une plume qui se transforme en pierre, une plume plus lourde encore que les silences.
Mercy elle parle ; toujours, tout le temps ; beaucoup trop.
Elle parle pour tout ; pour rien – elle raconte la vie et le beau temps ; sa vie, celle des autres, celle de la ville.
Elle raconte des histoires – des réelles et des fausses – des mystères qui n’en sont pas vraiment – elle fait trainer les choses, Mercy, elle laisse planer le doute, planer la curiosité ; celle qui veut tout savoir, celle qui a besoin d’être assoiffée pour n’être qu’encore plus rassasiée.
Mercy, c’est son travail, de parler ; c’est normal pour elle, de trouver des sujets sur tout et n’importe quoi ; c’est son travail, d’observer les gens, de noter les habitudes, les choses étranges ; de trainer sur les réseaux, d’avoir son propre réseau, aussi.
Pour les news, vous savez.
Pour se tenir informer.
Pour rester à la mode.
Poster des selfies ; se faire remarquer ; se montrer à la télévision et tout savoir sur tout.
Comme si elle était une déesse incarnée ; comme si elle était ce big brother dont on parle parfois dans des livres d’histoires.
(elle n’est rien – juste une petite présentatrice
une petite dame
qui est là
pour les gens qui ont des vies moroses.)
Ce n’est qu’une petite dame ; qui peut changer une vie.
Avec les rumeurs ; avec ce qu’elle dévoile ;
qu’une petite dame qui a parfois un peu trop d’impact sur certaines personnes
et qui en aide d’autre
sans le savoir
sans le vouloir.
Elle n’est qu’une petite dame qui se déteste parfois ; qui pense qu’elle mérite plus ; qu’elle vaut plus ; qu’elle ne vaut rien ; que c’est bien pour ça qu’elle est encore sur ce plateau, qu’elle est encore dans ce quartier ; loin de ses rêves.
Et elle ne sait pas ; si elle rêve.
Elle veut juste vivre ; atteindre l’inatteignable – ces choses dont tout le monde rêve.
Elle veut atteindre le rêve des autres car elle n’en a pas, elle, de rêve ; elle veut se fondre dans la masse ; se faire remarquer ; elle ne sait pas, ce qu’elle veut.
Alors elle se cherche ; se perd dans son émission, se perd dans ses paroles – dans sa voix.
Elle se perd dans les ouvrages anciens ; ceux d’une époque qui évolue, ceux dont papa et maman te parlait ; ceux dont papi te racontait les histoires quand tu étais petite.
Elle se perd, Mercy ; dans ce qu’elle veut être et ce qu’elle est ; elle se perd, dans ses identités qu’elle prend sans jamais savoir qui elle est vraiment.
L’impertinence
La douceur
La jalousie
L’amour
La liberté
La flegme
Mercy, un jour. Mercy, un autre jour.
Mercy. Entière, parfois, rarement.
toutes les deux semaines elle refait ses racines vertes ★ il lui arrive de faire du bleu sinon, parfois, quand l’envie lui prend ★ elle fait clairement le bonheur des coiffeur ★ les ongles, toute sa vie, si vous saviez ★ elle n’est jamais satisfaite de la déco de son appartement ★ elle s’évertue à suivre la mode pour ne pas tomber dans l’oubli ★ le luxe, elle le mange au petit déjeuner (dans ses rêves) ★ elle se trouve trop fine, sans forme ; complexée, parfois, même si elle ne le montre pas ★ passion secrète pour la romance, la vraie, avec un grand R ★ beaucoup trop de paires de lunettes inutiles si vous voulez mon avis ★ un véritable don pour l’imitation de personnalité (ou même de cliché)
son émission de télévision est sur les évènements de la journée qu’elle relate de manière incrédule et avec une pointe d’acidité dans ses propos. Le plus souvent, elle est à l’origine des derniers potins en date, des rumeurs qui circulent et qui font jaser les filles (& les femmes). Sa popularité n’a jamais cessé de monter depuis que les gens pensent qu’elle porte ce « rôle » de pimbêche ; il n’en est rien, elle est elle-même. Parfois, elle participe à des pubs pour du maquillage ou du parfum quand leur esthétique s’y prête et que l’on la demande.
we had big dreams in blue
Mercy Jackson.
Percy Jackson.
À une lettre près, elle aurait pu porter le nom de ce héros d'une histoire qui verra le jour après elle.
À une lettre près, son destin aurait pu être autrement ; plus sage, plus gentille, plus…
Plus que ce que ses parents auraient voulu. Wellington, enfance flamboyanteLes rires et les joies restent présentes malgré la difficulté de la vie ; papa maman qui travaillent, l’école qui t’occupe, papi mamie que tu vas voir les week-end, parce que papa maman sont fatigués, eux-aussi, de leur dure semaine.
Mercy, tu es un peu timide ; tu te réfugies dans les histoires, dans celles qui existaient bien avant ta naissance, bien avant cette époque, même ; tu te réfugies dans les histoires, celles des écrivains, celles qui ont bercées tant d’âmes avant la tienne.
Et tu t’imagines ; héroïne de ce nouveau livre, où ton identité s’y rapproche tant.
Le héros de tant d'enfant, qu’ils te répétaient.
Leur petite étoile, que toi, tu étais.
Auckland, raz de marée de sentimentHéroïne on te disait, héroïne tu es devenue.
Comme un big bang naissant, les années ont pu te voir grandir, devenir une femme ; plus forte, plus sûre ; plus fière.
Tu essaies de faire honneur à ton nom – même si tu as appris qu’il ne s’agissait que de chance, que ton grand-père et ton père portaient le nom Jackson, c'est quand même toi qui est venue au monde en premier, et pas ce Percy du livre dont on te parle tant (et que tu aimes tant).
Alors tu vis ; la tête haute, la poitrine gonflée – ton physique plus ou moins avantageux, tu sais que certaines têtes se tournent sur ton passage. Et tu veux que l’on te remarque, encore et toujours ; tu veux que les gens sachent à qui ils ont à faire.
Alors les cheveux sont teints et déteints ; encore et toujours – couleur qui rougie, couleur plus vert encore que la nature ; qui s’associe à tes yeux et finalement tu la gardes – ta signature, ton état d’être.
Celui dont on ne peut pas détourner les yeux.
On te traite de reine, parfois – la jalousie te traite de diva, mais les vrais savent ce que tu vaux.
Promis à un avenir sous les projecteurs, tu veux que le monde te reconnaisse pour ce que tu es ; une femme qui ne changera peut-être pas le monde, mais qui essaiera, en tout cas.
Queen street, rue à ton nomTu retournes parfois chez tes parents, qui ont finalement réussi à gagner assez d’argent pour s’offrir une vie meilleure dans des quartions plus huppés de Wellington.
Meilleure que ce qu’ils pouvaient t’offrir, en tout cas.
Ce n’est pas qu’ils t’accueillent les bras ouvert – ce que tu es devenue ne leur plait pas.
Quelqu’un de trop fier, trop arrogant, parfois ; ils ne t’acceptent pas.
Ils ne t’acceptent plus. (t’ont-ils seulement accepté un jour, d’ailleurs ; te jetant dans les bras de tes grands-parents quand tout était trop lourd pour eux)
Et toi tu vis ; tu ris ; tu t’enrichis.
La popularité grandit et les citoyens ne cessent de tourner leurs yeux vers toi ; toujours un peu plus, encore plus.
Tu en veux toujours plus ; que l’on t’admire ; que l’on te jalouse ; que l’on te pense reine.
Car tu en es une, de reine.
Si certains t’adorent ; d’autres te craignent.
Et tu ne réalises pas forcément – l’impact. Celui sur leur vie ; sur leur relation.
Tu ne réalises pas (ou tu le nies ; comment pourrais-tu apporter le mal, après tout, ce n’est pas de ta faute) ; alors tu continues.
Ton travail, toute ta vie – l’œuvre de tes jours, de tes nuits.
Et les rumeurs vont bon train, et même si on dit que la confiance règne, c’est de toi, que l’on devrait se méfier.
Car c’est toi, Mercy, qui règne.
- Résumé:
★ née à Wellington, mais a déménagé à Auckland vers ses 11 ans
★ elle a principalement vécu avec ses grands-parents après le déménagement
★ trop mise en tête qu’elle est faite pour devenir une héroïne, elle va grandir en se prenant pour une diva, croyant qu’elle vaut mieux que les autres
★ décidera de partager sa fierté et son envie de se faire connaître au monde ; deviendra présentatrice télé
★ elle tombera de haut, parfois, sa fierté se heurtant au passage des autres mais elle n’en montrera rien, jamais
★ son objectif est toujours resté le même : devenir connue et riche, vivre dans le quartier le plus famous
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COEUR A PRENDRE
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DERRIÈRE L'ÉCRAN
harlow c fini je pouvais pas ça datait trop déso ifubdjhsb (un jour peut-être il reviendra.....)
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