ici une citation
vingt quatre chapitres déjà lus, déjà vécus
auckland, ancré dans ta peau, ancré dans tes veines
néo-zélandais, à jamais
néo-zélandaises, pour pas changer
bisexuel, grâce au soleil
le coeur en émoi, en couple
pas à plaindre, les revenus modestes
auteur, des histoires pour enfants
soulmates, plutôt deux fois qu’une
ironie du destin, c’est le jasmin
Ce qu'il préfère chez lui, physiquement ou non ?
ces fausses lunettes qui ne quittent que trop rarement ton nez, qui te rajoute un je ne sais quoi de casual
Son moment de la journée préféré ?
les après-midi, quand t’as le temps de flâner, de te reposer, les après-midi où t’as encore la journée devant toi
Est-ce qu'il a une passion dont il ne parle pas ?
pas de passions pour toi jasmin, rien de secret en tout cas, l’amour pour tous, pour tout
Plutôt du genre à s'endormir directement ou à se faire trois films dans sa tête avant ?
le sommeil direct, les rêves remplis d’aventures plus folles que celles que tu contes dans tes livres, à en rendre jaloux les enfants
Comment est son écriture ?
délicate, toute en boucle, on la qualifierait de féminine presque, enfantine aussi, des fleurs pour ponctuer tes i.
Gaucher, droitier, ambidextre ?
gaucher, l’encre de tes stylos qui finit toujours sur tes mains
Quelque chose qu'il ne supporte pas ?
c’est bête, mais tu supportes pas les plats les plus simple, ceux qui ne sont pas assaisonnés, qu’il te faut au moins un peu de sel, un peu de poivre
Est-ce que sa vie actuelle lui plaît ?
la vie plus appréciée depuis que kenzie et mercy en font partie, depuis que t’as crée des liens qui sont maintenant gravés dans ton histoire
caractère
relations
épistolaires, des idées que tu couches sur papier, tes pensées qui fleurissent à mesure que l’encre coule + des
photos candides, prises sur l’instant, qui parent tes murs, te rappellent les moments passés, ceux que tu ne retrouves même plus dans tes souvenirs + des pièces que tu déplaces sur l’
échiquier sans vraiment savoir ce que tu fais + noir sur blanc, la bille de ton stylo qui glisse sur ton
carnet pour que tu n’oublies pas, pour avoir des repères, pour te souvenir, une fois encore
presque fantôme, du genre à se perdre dans la foule, à
se fondre dans la masse, un t-shirt blanc et des jeans usés + le style à flancher à la moindre épreuve, au moindre caprice, à
faire passer les autres avant quoique ce soit d’autre, avant toi même + une
voix trop portée par le vent, qui à tendance à assourdir, à agacer, on te demande de baisser d’un ton mais tu en es incapable + un coeur qui en cherche un autre, qui ne sait pas se contenter de peu, qui demande plus, qui cherche l’amour parfait + ta tête qui ne se fait pas à l’idée d’être adulte, tes yeux qui ne se posent que sur des programmes destinés à des êtres de dix ans de moins que toi, le générique de pokémon que tu connais par coeur + les
lunettes factices posées sur le bout de ton nez, les vitres parfois cassées + la
maladresse qui t’habite
verseau »
solaire » du genre à
te prendre la tête, pour un tout, pour un rien. les arguments confiants, le savoir fier.
entêté, jusqu’à en avoir le dernier mot, jusqu’à avoir raison. d’apparence rayonnante, chaleureux - parfois inapprochable.
ascendant » familier, pas très différent des autres, du genre à se confondre à la foule, les pas légers.
lunaire » trop
minutieux, à te concentrer sur les détails, à ne pas faire attention à l’ensemble des choses. la vie sans trop de surprises, un peu perfectionniste, les choses souvent prévues trop à l’avance - assez pour parfois oublier. l’indépendance au bout des bras, l’envie de prouver que t’as besoin de rien n’y personne. faux,
faux, petit menteur. tu cherches la stabilité, besoin viscéral de procuration, tu prends chez les autres ce dont tu manques parce que t’as beau essayer, tu te suffis jamais vraiment.
astral » les étoiles qui t’indiquent le chemin, te rendent
simple à comprendre. l’esprit un peu rebelle, d’après ton
soleil, quête d’idéal, pourtant, c’est ce que te susurre la
lune à l’oreille, vie pourtant désuète de conflits, tu les remercies.
mercure » pour ce côté
observateur, qui te rend toujours adéquat à la situation, la sensation d’être partout à ta place. c’est pour briser la routine, pour que t’en vois plus.
venus, elle, elle est là pour vouloir faire de toi un hors-là-loi, rejoint le
soleil sur le chemin de la rébellion - t’es pas un lion pourtant, même si scar disait que rebel et lion, ça fait rebellion. ça te rend
tolérant, tu gommes les différences, essayes de voir à travers les lignes. faut pas juger un livre par sa couverture, on dit, et t’appliques cet idiom avec dévotion. t’essaies de te rendre idéal, les qualités en apparences et les défauts en privé.
vénus » c’est tes mauvaises fréquentations.
mars » c’est ton côté colere. c’est tes regards noirs, ces paroles que tu regrettes, c’est les excuses qui remplissent les pages, qui se terminent en mots doux.
jupiter » c’est l’ironie du sort, c’est être doué dans des domaines qui t’intéressent pas, tu pourrais faire de grandes choses, si tu le voulais, jasmin, mais t’es encore meilleur dans ce que tu fais, verseau au grand coeur.
saturne » c’est les mots que tu ne dis pas, c’est ces idées qui restent dans ta tête. main dans la main avec ton
soleil, toujours, pour t’arrêter avant de dire les choses qui ne faut pas, les choses qui intéressent pas, loin de l’égoïsme, loin de l’égocentrisme - tu devrais pas hésiter pourtant, à l’être un peu plus, à baisser ces frontières érigées.
au final, c’est pas facile, d’être juste toi.
histoire
ton nom, renié,
tes origines, détestées,
enfance = amertume,
flash dans les yeux,
figure publique.
marionnette,
lié par des cordes,
les mots vides,
l’action sans intérêt,
obligé d’écouter,
papa, maman,
le gars derrière l’objectif,
raiponce dans sa tour,
prisonnier d’une vie que t’as pas demandé.
où est charmant,
où est ton prince,
sur son beau cheval blanc,
bloqué par l’enfance,
par ces mains boudinées,
manque d'habileté,
la fuite trop loin,
impossible.
choyé,
aimé,
d’une façon qui te dérange,
étreinte toxique,
la liberté qui t’obsède,
comme dans un film,
partir loin,
loin,
ne jamais revenir.
l’enfance,
pleine d’interdits,
la tête perdue dans les romans,
dans les histoires de cape et d’épée,
t’es gauche,
quand tu grandis,
pas trop dans la norme - inconnue,
puis t’y arrives,
à partir,
à changer,
à te fondre dans la masse,
à porter des grands pulls,
pour te cacher,
pour te mêler,
influencé,
par les autres,
par les paroles,
tu perds un peu ton identité,
pourtant tout le monde te connaît,
jasmin,
le gars des bouquins,
jasmin,
le gars qui t’aide à trouver ton chemin,
jasmin,
attends qu’on te tende la main.
recensement
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FICHE MAJ ; 26/07/23
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