Don’t look for me, I’m just a story you’ve been told.
23 ans.
Belleterre, Québec.
Canadienne + Néo-Zélandaise.
Québécoises.
Pansexuelle.
Célibataire.
Précaire à moyen.
Artiste peintre, barista à temps partiel, diseuse de bonne aventure à temps perdu, escroc parce que prédire l'avenir, personne peut le faire.
Sick & sad.
Pivoine.
Ce qu'il préfère chez lui, physiquement ou non ?
Ses yeux et les quelques tatouages de petites fleurs sauvages marquant la peau de ses bras.
Son moment de la journée préféré ?
Le crépuscule, où les sentiments inspirants se manifestent et les couleurs du ciel offrent la plus belle des palettes.
Est-ce qu'il a une passion dont il ne parle pas ?
Elle adore chanter. N’est pas professionnelle, mais chante bien.
Plutôt du genre à s'endormir directement ou à se faire trois films dans sa tête avant ?
Cinq songes éveillés et trois heures plus tard, Callie sombrera peut-être dans le sommeil. Mais il arrive que la fatigue soit trop intense, que sa conscience se perde dans les vapes dès que la tête touche l'oreiller.
Comment est son écriture ?
Imagée, poétique. Car l'âme artistique exige qu'on ne fasse rien dans la simplicité.
Gaucher, droitier, ambidextre ?
Ambidextre.
Quelque chose qu'il ne supporte pas ?
Les masques, ceux qu’hypocrites comme cachotiers revêtent lorsque la situation le demande, même si elle avoue qu’elle le fait aussi parfois.
Est-ce que sa vie actuelle lui plaît ?
Callie aimerait bien sa vie, si ce n’était pas de ces fleurs qu’elle crache, qui l’étouffent, lui rappellent constamment sa misère et son malheur.
caractère
Calysta n’a rien d’extraordinaire.
Elle est juste
elle. Elle qui n’est rien de plus qu’une jeune femme au tempéramment posé, elle qui ne sourit plus autant qu’avant, elle qui ne devient petit à petit rien que l’ombre de ce qu’elle était. Elle qui voyait la vie en couleur, ne voit désormais plus que la tristesse des valeurs de gris. Une telle vision du monde ne sied guère à une artiste et, pourtant, voilà qu’elle défie involontairement cette conception qu’on s’en fait. Peut-être est-ce une bonne chose – elle ne le voit malheureusement pas comme ça.
Car Callie était une personne heureuse, avant que cette marque ne fasse son apparition sur son poignet.
Callie était heureuse, avant, lorsque ces maudits pétales ne tombaient pas de ses lèvres à la moindre légère quinte de toux.
Calysta, autrefois jeune femme solaire et radieuse, maintenant l’image personnifiée d’une artiste en détresse. Stéréotype d’une époque longtemps révolue, celui de l’artiste amoureux de sa muse – celui qui en tombe amoureux au bout de longues heures à dessiner ou peindre, observer de près chaque trait du visage, chaque courbe du corps, la moindre imperfection si parfaite sous le regard qui s’en inspire, à discuter lorsque les poses se font longues et qu’on croit le temps passer trop lentement. Calysta à l’image de ces grands artistes d’antan, adulés de tous mais jamais
aimés de ceux qu’ils convoitent – Calysta à l’image de ceux que l’on ne veut pas être, en voie de mourir étouffée, au bout d’un amour qui ne sera certainement jamais réciproque.
Pourtant, la voilà qui revêt de ces masques qu’elle déteste tant, en bonne hypocrite qu’elle est – préfère cacher ce qu’elle ressent, par souci de n’inquiéter personne. Les pétales qui l’asphyxient, cascadent de ses lèvres ne sont rien d’alarmant, qu’elle laisse croire. Elle les cache derrière ces sourires au paraître joyeux, ce regard qui brille d’un bonheur feint, les crache dans un mouchoir dont elle se débarrassera discrètement par la suite. Pour les autres, il s’agit là d’une preuve qu’elle est toujours capable d’aimer – pour la Science, il s’agit d’une occasion de tester leurs nouveaux cachets – pour
elle, il s’agit d’un rappel constant qu’elle ne sera certainement jamais aimée comme elle peut aimer sa muse.
Calysta, douce Calysta, toi qui t’étouffe sur ces pivoines rosées, toi qui peint ces tableaux avec un coup de pinceau digne des grands maîtres, toi qui t’inspire du monde qui t’entoure mais qui revient toujours vers cette seule personne lorsque les pensées et l’inspiration vagabondent. Toi qui te rapproche peu à peu d’une mort certaine à force d’intérioriser ce que tu ressens, qui te dit solaire alors que tu n’es comparable qu’à une ampoule. Toi qui pleures la nuit venue, le canevas devant toi te présentant une image claire de cette âme que tu aimes à t’en rendre malade.
Tu rêves du jour où tes fleurs t’auront tuée.
- 1m63.
- 63 kg, carrure très fine.
- Teint très pâle, presque translucide.
- Très longue chevelure blond fraise, aux pointes ombrées violettes. Constamment coiffée en queue de cheval portée haute.
- Yeux bleu-violet.
- Porte souvent des vêtements style décontracté, parfois tachés de peinture.
- A les bras tatoués de petites fleurs sauvages. Ce sont des tatouages assez discrets.
- Porte quelques bijoux qu’elle a hérités de sa mère.
- Trimballe constamment un petit sac à dos, lequel contient son sketchbook, ainsi qu’une tablette graphique à écran.
histoire
ici c'est son petit caractère, que tu peux faire sous n'importe quelle forme ; une liste, des facts, ou entièrement rédigé. Cela est à ta propre convenance tant que nous voyons comment est ton petit bout de chou ! + une petite description rapide, ou composé d'une petite liste, pour le physique.
recensement
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» <b>Kokomi</b> + Genshin Impact ✿ <a href="www">Calysta M. Langelier</a>
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» <b>pris</b> ✿ <a href="www">Calysta M. Langelier</a>
derrière l'écran
Alors, moi c’est Soja, je fais du RP depuis près de 13 ans maintenant, je suis tombée sur votre beau forum via les partos d’Haklyone (+ une ancienne membre me l'a fortement recommandé) et le concept m’a paru trop sympa. Ça fait un temps que j’ai envie de rejoindre l’aventure, et j’ai enfin craqué mdrrr. Au plaisir de vous croiser inrp <3