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FORUM FERMEdéfinitivement. merci pour les souvenirs !

l'amour fleurit et flétrit, il est comme une fleur qui passe et trépasse avec le temps.
l'amour ne dure qu'un instant, qu'un moment ; c'est ce qu'on dit, qu'il est éphémère, comme la vie, comme la pluie.
et pourtant, malgré ce moment si court durant lequel on aime, cela peut suffire à tuer ; et ça vous rend malade, d'aimer sans être aimé en retour, et ça vous tue le coeur et l'âme - littéralement.
vous avez envie de vous échapper, d'arrêter ça, et c'est votre poitrine qui se gonfle, vos poumons qui s'emplissent ; et vous toussez, encore et encore.
et ce sont des pétales de fleurs qui tombent lourdement sur le sol pâle.
auckland. juillet 2023, hiver.
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Gigi » (Ah) What can I say?

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Ven 9 Sep - 21:20


Et quand la nuit tombe, sonne l'heure
Je revois Jackson dans Thriller
Et Jack l'Éventreur, les serial killers
Et Carrie et Chucky et tout me fait peur
Et Freddy Krueger, Hannibal Lecter
Et Carrie et Misery et tout me fait peur

Gigi n’a pas l’envie de mettre bas, d’avoir en elle la connaissance d’un mini moi. Déjà, elle ne pourrait probablement pas se permettre d’enfanter, tout comme elle est assez irresponsable pour ne pas avoir à s’occuper d’elle même : sinon ce n’est pas ici qu’elle aurait terminé la soirée. Quelques frissons dans la nuque devant l’amas de responsabilités, devant toutes les sommes qu’elles devraient assumer, devant ses parents qui probablement la jugeraient. Oh non, elle ne veut pas voir son corps changer, elle ne veut pas découvrir ce qu’elle considérerait rater ses plus belles années. Alors, Gigi veut se sauver, éviter les drames et les bizarres accoutumées.
- Ah non mais je veux pas d’enfants, c’est mort… Tu m’imagines avec un bébé dans les bras…
Gigi grimace, entre les foyers des draps se prélasse. Elle écoute les propos de Maxence qui déclare qu’il ne s’est rien passé. L’acte en lui même ne l’aurait pas étonnée, l’acte en lui même ne l’aurait pas choquée, mais si elle avait vu l’entièreté de ce qu’il se cache sous ce masque, elle aurait préféré s’en rappeler. - Tu trouves ? Pourquoi tu dis ça ? La gueule encore évaporée par la fatigue l’empêche de songer, son estomac lui fait trop mal pour que la logique ne daigne atteindre ses pensées, quitte à se trahir, quitte à blesser avec la réalité qu’elle vient de réduire en fumée. Le garçon finit par s’enfuir encore une fois, mais cette fois elle s’en souviendra. Elle ne remarque pas la gêne, elle ne songe à  rien, en se redressant au bord du lit avec ses mains. Elle regarde son smartphone, déchargé, épuisé, éreinté. Il est comme sa détentrice, flingué.

Dans la pièce elle cherche un chargeur, de quoi se rebrancher à la réalité, à quelques souvenirs. Elle trouve plus loin sa doudoune dans laquelle elle fouille pour trouver son sac à main. Dedans, il y a des précautions, puis trois fois rien : des écouteurs, des lingettes, du maquillage, des paillettes étalées et le tant espéré chargeur qui risque bien de la sauver. La jeune fille aux cheveux noirs charbon cherche une prise et commence à brancher le téléphone pour le déposer sur le mobilier, en attente de la petite led qui vient à peine de se colorer. Dans chacun de ses mouvements, elle sent la fatigue, son corps et sa gorge refusent de coopérer alors que son doigt presse le bouton ON. Gigi commence à ouvrir les applications, derrière les photos de leurs futiles célébrations, re-découvre les couleurs des néons de la maison.
Son cerveau n’a pas encore tout lessivé.
Pourtant il y a des brides qu’elle a déjà oublié, qu’elle n’est pas sûre d’avoir vécu.
Ce n’est censé être que du déjà vu.

Quand Maxence revient, Gigi est toujours assise à regarder l’écran. Elle le voit revenir, presque galant à ramener le petit déjeuné. S’il n’avait pas couché ensemble, elle aurait quand même pu le croire à ses petites attentions, la bonté n’est pas une seule condition. - Ah bon ? J’ai dit ça moi ?

Gigi se marre en laissant coulisser son téléphone puis le dépose à côté doucement, toujours en chargement.

- Je vais quand même essayer. J’ai faim… Je crois. Même si mon estomac n’a pas l’air d’attaque à avaler quoi que ce soit.

Puis elle écoute l’histoire de Maxence sur la soirée. C’est possible qu’elle ait voulu voir sa chambre par curiosité, mais Gigi a besoin d’un peu plus d’information pour que son cerveau soit sustenté. Entre ses mains, elle prend une brioche qu’elle commence à mâcher, ça lui donnerait presque encore l’envie de vomir, mais le goût sucré régale ses papilles qui viennent dans sa bouche pâteuse de se réveiller.

- On a dit quoi ? J’ai rien dit de bizarre hein ?… Si c’est le cas, tu me dois un secret en contrepartie. C’est le jeu, Max.

Gigi rigole, Gigi se moque en vérité de ses propres secrets. Elle se penche, s’approche de lui pour récupérer la tasse qui arpente son quartier.

- Merciiii pour le café.  Tu devrais manger une brioche, c’est bon. Même si j’ai encore un peu la nausée… Et toi, ça va ? J'espère que je ne suis pas toute seule avec la gueule de bois. C'est pas drôle si tu partages pas mon état.

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Rhode Ang
pharmacienne / dealeuse
Rhode Ang
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Sam 10 Sep - 1:23
(Ah) What can I say?
I smile at the fact that I'm better now
Going where I'm supposed to be
L’horreur de la parentalité est partagée, même s’il se sait dans la position préférable dans l’équation. Son corps est passé par assez de changement brutaux pour ne pas envier les affres de la grossesse à qui que ce soit: tout ce que les leçons de biologies lui ont appris a suffit à lui faire comprendre que pour que le miracle de la vie se produise, il faut passer par un film de Cronenberg. Et c’est sans compter l’après. Les 25 ans de responsabilité pour un petit être qui sera modelé par le moindre fuck-up, marqué par la vie d’une façon que personne ne peut prédire s’il ne tire par déjà les mauvaises cartes à la naissance. L’abstinence a son bon en gardant loin, loin le risque de finir jeune parent: lui qui goûte à peine à sa jeunesse, il ne peut s’imaginer finir face à un nouveau mur.

Donc pour une fois, il peut remercier sa gueule d’être le meilleur contraceptif du monde.

Même si ce fait semble échapper à Gigi. Trop vaseuse pour y songer ou étonnamment ouverte, il n’a pas vraiment su le dire, a préféré enterrer la question dans son absence pour ne pas avoir à  s’humilier en appuyant sur l’auto-dérision qui lui a échappé dans la panique.
Pour éviter un autre débordement, il économise ses mots, se contente de hocher la tête quand il le faut en versant le sucre et le lait dans son café, assez pour rendre l’amertume supportable et le refroidir, parce qu’il ne veut pas se brûler le palais en buvant du café bouillant avec la pauvre paille en plastique qu’il a déterré du fin fond des placards.

Sa paille en silicone lui manque.

“Non, pas du tout, on a juste parlé de bêtises d’ado, entre autre… On était au bout de nos vies, alors ça a pas duré longtemps.” Les détails sont rendus légèrement flous par l’alcool, les sensations bien plus vives que les mots. Il se souvient vaguement avoir appris ce qu’elle faisait quand elle était encore à l’uni et qu’elle cherchait une coloc, de s’être un peu épanché sur ses propres regrets ce qui le mortifie un peu mais pourrait être pire. L’intimité de la nuit a donné à leur conversation des airs plus secrets qu’elle ne l’était réellement, même si elle fut bien plus fructueuse que tous leurs précédents échanges combinés.

L’estomac chamboulé n’est pas certain d’apprécier le lactose, mais le creux commençait à se faire sentir alors il ne le refuse pas entièrement. De toute manière, il devra s’en satisfaire, car sans alcool, ni obscurité, la perspective de manger devant la noiraude suffit à lui couper l’appétit. L’invitation est poliment déclinée en secouant la tête. “J’vais pas mentir, j’ai aussi un peu abusé hier soir…” Le mal de tête n’est pas insupportable, probablement juste perceptible à cause des sangles serrées autour de sa tête, mais le reste de son corps semble être passé sous un bulldozer. “Je sais pas comment tu fais. J’devais avoir bu même pas un quart de ce que t’as eu et j’ai déjà l’impression de crever.” Au moins, le malaise se dissipe un peu, lui laisse participer à la conversation même si le regard est toujours plus intéressé par le contenu de sa tasse que les yeux en face. "C’est pas un peu pénible, à force ?” Lui attend toujours de se prendre la cuite qui le fera finir dans sa position, trop conscient de ses limites pour les éclater alors que ce serait si simple grâce à ses médicaments. Peut-être qu'il sait que c'est déjà assez idiot d'ignorer la notice et de les mélanger sans encore risquer le coma éthylique.

Maxence-Horace Zwyssig
étudiant
Maxence-Horace Zwyssig
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Mer 14 Sep - 10:25


Et quand la nuit tombe, sonne l'heure
Je revois Jackson dans Thriller
Et Jack l'Éventreur, les serial killers
Et Carrie et Chucky et tout me fait peur
Et Freddy Krueger, Hannibal Lecter
Et Carrie et Misery et tout me fait peur

- J’ai raté ça... Enfin, je l’ai pas râté tu vois. Mais d’une certaine manière, oui. Tu me re-re raconteras hein ? Mais pas maintenant, je sens que je retiendrai rien… Gigi rigole, se moque d’elle même, dans ses réflexions bohème. Biaisée par la nostalgie comme certains poèmes. Ses lèvres éclosent en sourire comme les chrysanthème, mais de souvenir elle est affamée, elle jeûne, c’est un peu son carême. Puis elle déforme encore un peu plus son visage, elle est partagée entre la moquerie et la pitié, comme ce matin à leur image. - C’est pas toujours le cas ?… Et elle se marre encore une fois. Éclats par éclats. Sa voix sort un peu enrouée, elle a besoin de se reposer, elle a besoin de dormir pour une éternité. Puis elle continue de mâcher, de manger. Elle réussit même à finir la brioche tout en étant écœurée. Sa faim est écourtée. Il n’y a plus que le malaise de l’estomac, qui fait en sorte de faire resserrer contre son abdomen ses deux bras.

- Sérieux ? La prochaine fois, viens boire avec m-moi… Quelques difficultés à articuler la fin de la phrase, parce que la fatigue la porte. Les restes de l’alcool ont formé une drôle de cohorte, qui frappe, qui cogne les tempes, la gorge et dans le système digestif relié au gosier. - Je crois que c’est l’entraînement. A force de boire, tu sens moins les effets de toute façon, puis le corps finit par… S’habituer. J’ai pas envie de dire que. C’est la routine. Mais… Si en fait.

Est ce que c’est pénible à force ? Gigi ne sait pas vraiment quoi répondre en réalité. Face à la question, elle laisse un blanc, les sourcils légèrement froncés. Elle n’a pas l’envie de goûter à la contrariété, pas après un lendemain de soirée, pas dans un état larvesque qui tend à l’handicapée pour la journée. Elle n’a pas l’envie d’apprivoiser les remords ou la fatalités. Alors Gigi fait ce qu’elle a toujours su faire pour se négliger : elle commence à boire quelques gorgées, puis s’approche lentement du garçon. Elle le visage ankylosé, le corps au ralenti, et n’arrive pas à distinguer à quel point c’est étrange là-dessous, elle n’arrive pas à savoir à quel point c’est… Difforme. Elle se demande si c’est juste pour cacher, ou si c’est vraiment une part pour remplacer un bout de visage qu’on lui a retiré. C’est la première fois qu’elle le voit la journée, c’est la première fois qu’elle voit le masqué alors que le soleil est levé. C’est la première fois qu’elle prend conscience de sa curiosité.

- Tu poses trop de questions. Maxence. C’est jamais pénible. Pour te le prouver, la prochaine fois, c’est moi qui t’invite à une soirée… Donne moi tes disponibilités.

Pour Maxence, c’est l’enfer qui va commencer. Se grave la joie sur le visage de Gigi, impassible pourtant en aparté. La fête jamais ne va s’arrêter.

- Sauf si tu as autre chose à proposer. C’est quoi ton petit péché ?
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Rhode Ang
pharmacienne / dealeuse
Rhode Ang
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Jeu 15 Sep - 13:55
(Ah) What can I say?
I smile at the fact that I'm better now
Going where I'm supposed to be
Quelle étrange spectacle que de voir les coulisses après la représentation, lui qui est si habitué à ramasser Gigi aux tréfonds de la nuit, être encore à ses côtés au petit matin a quelque chose de complètement alien. La fatigue est différente, les mots ne sont plus empâtés, la conscience, si un peu vaseuse, est plus présente.

C’est comme rencontrer une tout autre personne tout en étant hanté de déjà-vu. Ils ont beau s’être fréquentés bon nombre de fois, ce matin, c’est comme si c’était la toute première, avec ce malaise flottant et les rires nerveux qui essaient de remplir l’espace entre deux remarques. “Si je bois avec toi, on va jamais rentrer.” Ou qui sait, quelqu’un d’autre les chaperonneront peut-être; mais Max n’est pas certain de vouloir sauter à pied joint dans l’inconscient, même avec Gigi comme guide. Surtout que si, avec son expérience, la noiraude a l’air aussi malade, il n’est pas certain de survivre à ce qui lui tord les boyaux en ce moment.

Ça l’inquiète, un peu, la nonchalance avec laquelle elle aborde cette habitude, mais il garde les moralisations pour lui. Au fond, ils se connaissent à peine, ce n’est pas à lui de lui faire remarquer que cela flirt dangereusement avec l’alcoolisme; que si Gigi la party girl est rigolote, elle est probablement en train de brûler la chandelle par les deux bouts. Est-ce que c’est irresponsable, de se taire ? Est-ce qu’elle ne va pas finir par s’étioler si personne n'intervient ?

Plutôt que de dire quelque chose, ses dents malmènent la paille déjà pliée par sa prothèse. La fin de matinée n’est pas un moment propice pour ce genre de dilemmes moraux. Et puis, il aura peut-être le temps d’apprendre à la connaître, essayer naïvement de faire la différence quand cela n’outrepassera pas ses droits en tant que quasi-inconnu.

Mais c’est elle qui se rapproche; physiquement. La roue de sa chaise se prend dans le pied de la table, l’empêche de reculer, le dos s’enfonçant contre le dossier alors que le visage se rapproche du sien, un unique œil bleu s’écarquillant de surprise, l’autre barbotant toujours dans le verre. Le souffle reste coincé dans la gorge, comme si la moindre inspiration lui coûterait la vie. Sa langue se débat une seconde avec la paille, les mains crispées sur la tasse ne pensant pas une seconde à lui donner un coup de main. Le sourire en face de lui a quelque chose de carnassier qui l’empêche de trouver les mots, sied à merveille à cette promesse tacite d’une gueule de bois qui rivalisera avec toutes les anesthésies générales de sa vie.

La question, elle, remet une couche d’hésitation, le plonge dans une réflexion plus existentielle que nécessaire. Son petit péché, c’est de dire oui à tout le monde, tout le temps -mais ce n’est pas ça qu’elle demande, alors aucune réponse pertinente ne lui vient à l’esprit. “Non, ça me va- à moins que tu aies envie de te faire peur.” Lui, il supporte mieux les excursions flippantes que les conversations face à face, visiblement, mais il sait aussi que ce n’est pas au goût de tout le monde de se foutre les jetons. Même si hey, mélangé avec de l’alcool, ça pourrait faire des étincelles. “Heu…Disons, un vendredi ou un samedi ? Je peux te filer mon numéro si c’est plus simple.”

Il saisit l’excuse à deux mains pour se pencher sur le côté et récupérer le pauvre téléphone tombé un peu plus tôt, la tasse de café refroidissant abandonnée sur le bureau. “Mais si tu veux faire un truc plus calme, un jour, c’est cool aussi…” L’écran lui donne un peu de courage, une excuse pour ne pas soutenir le regard de la noiraude. Oui, ça pourrait être chouette, de ne pas finir la tête à l’envers pour une fois, garder de vrais souvenirs plutôt que de devoir se faire récapituler les événements de la veille.

Et si elle ne veut pas, il s’en voudra peut-être un peu moins de s’être tu.

Maxence-Horace Zwyssig
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Maxence-Horace Zwyssig
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