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FORUM FERMEdéfinitivement. merci pour les souvenirs !

l'amour fleurit et flétrit, il est comme une fleur qui passe et trépasse avec le temps.
l'amour ne dure qu'un instant, qu'un moment ; c'est ce qu'on dit, qu'il est éphémère, comme la vie, comme la pluie.
et pourtant, malgré ce moment si court durant lequel on aime, cela peut suffire à tuer ; et ça vous rend malade, d'aimer sans être aimé en retour, et ça vous tue le coeur et l'âme - littéralement.
vous avez envie de vous échapper, d'arrêter ça, et c'est votre poitrine qui se gonfle, vos poumons qui s'emplissent ; et vous toussez, encore et encore.
et ce sont des pétales de fleurs qui tombent lourdement sur le sol pâle.
auckland. juillet 2023, hiver.
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21.07.23réouvertue du forum, recensement, et petit évent (www)
04.01.23fermeture temporaire du forum, ceci dit, on revient vite !
10.08.22nous soufflons nos bougies à plein poumons et souhaitons un bon anniversaire à bloom et qui dit anniversaire dit nouveautés (www)
01.08.22tous des stars grâce à insta(r)gram (www)
27.06.22les choses se compliquent et les rumeurs voient le bout de leur nez (www)
13.06.22nouvelle màj dit nouvelles informations à retrouver juste ici
14.02.22on profite de la joie, de l'amour et de la nourriture gratuite pour la saint valentin (www)
26.01.22tom cruise en sueur, le forum réouvre pour sa V3 avec son lot de news à retrouver ici.
27.10.21tou beau tout chaud, prêt à braver la chaleur de l'été, voici les nouvelles juste ici
10.08.21bloom ouvre ses portes ❤
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judicaël » et dans mes airs je te tue en prose

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Lun 24 Juil - 22:27
judicaël winiger
car j'aime te faire couler de l'encre à t'en faire chanter
 
vingt-neuf ans, arrêt définitif des bougies soufflées
né sous le soleil étouffant d'un village dans le sud de la france.
Canadien, sur les papiers.
Sans trop d'idées, un peu de partout, tu n'as jamais demandé.
plutôt sexuel qu'orienté.
hanté par les souvenirs, hanté par un corps.
aisé, ce n'est plus vraiment la course.
à tes heures perdues te voilà violoniste dans l'orchestre du coin, quand ils ont besoin. luthier à temps plein, le bois sous tes doigts.
sick and sad
spathiphyllum, ou fleurs de lune. des pétales blanches qui t'étouffent.
Ce qu'il préfère chez lui, physiquement ou non ?
la longueur de ses doigts osseux, son oreiller qui s'assourdit à cause du violon. autant d'amour que de haine.
Son moment de la journée préféré ?
les heures de l'après-midi, quand l'asphalte se gondole sous le soleil.
Est-ce qu'il a une passion dont il ne parle pas ?
les cimetières. intérêt particulier que de visiter des tombes, hanté par la mort de son passé.
Plutôt du genre à s'endormir directement ou à se faire trois films dans sa tête avant ?
les nuits sont blanches, les nuits sont claires. elles sont parfois sommeil direct, il n'y a pas vraiment d'entre-deux.
Comment est son écriture ?
gauche, maladroite, serrées, pattes de mouche.
Gaucher, droitier, ambidextre ?
droitier, droitier, oui. tu n'as pas vraiment eu le choix quand l'instrument s'est posé entre tes doigts, quand on a dit qu'il était hors de question que tu tiennes le violon à l'envers, sois pas embêtant comme ça.
Quelque chose qu'il ne supporte pas ?
le vombrissement des moteurs, ça fait mal aux oreilles, celle qui siffle constamment, qui n'entend plus vraiment.
Est-ce que sa vie actuelle lui plaît ?
non.

caractère
ACTIF ((quand il sort le sort, quand il fait la fête, quand il ne se morfond pas)) ✿ AFFECTUEUX ((un manque permanent, tactile, les doigts qui trainent, les lèvres qui se perdent)) ✿ APAISANT ((une voix douce, qui soupire, un souffle seulement, à ne jamais hausser le ton, jamais crier)) ✿ ARTISTIQUE ((la peinture sur les doigts, le violon dans les oreilles, le besoin d'être occupé sans cesse)) ✿ AUDACIEUX ((à oser ce que les autres ne feraient pas, sans se cacher, dire ce qu'il pense)) ✿ BAVARD ((de ceux qui ne se taisent jamais, embarassé par le silence, le besoin d'en dire trop)) ✿ BEAU PARLEUR ((charmeur, joueur de flute, pour plaire)) ✿ BOUT-EN-TRAIN ((le rire au bout des lèvres, agir comme un enfant, prêt à tout pour oublier)) ✿ COMPRÉHENSIF ((conciliant, aidant, un peu trop je m'en foutiste)) ✿ CURIEUX ((à se poser mille question, à ne pas en dormir, à se perdre sur internet)) ✿ CRÉATIF ((à toujours dessiner, imaginer, penser)) ✿ DÉBAUCHÉ ((qui s'oublie la nuit, qui finit dans un lit, dans des draps inconnus)) ✿ DÉSORDONNÉ ((le bureau rempli d'instruments, la sciure sur le sol, les vêtements sur le lit défait)) ✿ DISTRAIT ((tête en l'air, à en oublier le temps, l'heure, les rendez-vous)) ✿ ÉCONOME ((appris de la pauvreté, à se questionner deux fois plutôt que d'acheter)) ✿ FÊTARD ((qui devrait ralentir, arrêter, à en vomir, à ne plus tenir debout)) ✿ FRANC ((la langue bien pendue, n'ayant peur de rien)) ✿ IMPULSIF ((sans réfléchir, agir d'abord, faire les choses)) ✿ INDÉPENDANT ((solitaire)) ✿ INSOLENT ((tient tête, le regard bien droit, les mots blessants)) ✿ MALADROIT ((les pieds qui s'emmêlent, les doigts toujours abîmés)) ✿ OPPORTUNISTE ((ne jamais dire non)) ✿ SÉVÈRE AVEC LUI-MÊME ((à se fouetter le dos, à se mettre des gifles)) ✿ SOURIANT ((étrange, derrière les cernes)) ✿ SUPERSTITIEUX ((à croire aux histoires de mamie)).


judicaël » et dans mes airs je te tue en prose 63ca3a0123403f634dff9fbdd3e7c6b36598e987


les promesses sans garanties au bord de ses lèvres charnues ; le regard mensonger, ambré, doré ; les cheveux courts, toujours proprement coupés, à peine dressés sur son crâne ; les lunettes qui glissent sur un nez aquilin ; le corps osseux, trop maigre probablement, tâché d'encre, un peu partout, qui rappelle les erreurs, qui sont des souvenirs, des punitions ; le sourire, souvent, contre des joues pâles ; les épaules qui font mal, un peu trop ; le dos qui se voûte sous le poids du monde ; et les étoiles atteintes sur la pointe des pieds, grand, trop grand, qui prend de la place.
histoire
On ne peut pas dire que tu as une histoire très mouvementée, ni même qu'elle est triste. On ne peut pas dire grand chose à vrai dire à propos de cette histoire qui semble être plate, un peu déjà-vu, quelque chose qu'on a pas forcément envie de lire mais qui finalement attire toujours l'oeil. T'es né comme un pauvre abruti en plein milieu du sud de la France, à l'arrière d'une voiture de location dont ta mère a tâché les sièges -et cela semblait tellement plus grave que d'avoir sortir un truc de son utérus. T'es né là-bas parce que tes parents avaient décidé de faire la tournée des grands vignobles ; ils ont dit que pour fêter leur mariage, ils n'avaient qu'à faire ce voyage. Ils n'avaient qu'à partir, quelque part, comme ça, avec une voiture mais ils n'avaient jamais prévu que tu pointes le bout de ton nez. Malheureusement pour eux et certainement à cause des heures de vol, te voilà né avec un mois d'avance. Ce n'était pas très grave, ont dit les médecins, tu vas bien et t'as l'air d'être un gosse normal. Pourtant, on va te garder plus d'une semaine parce qu'on sait jamais -vous voyez, il n'est pas né dans de bonnes conditions, on a besoin de s'en occuper, tes parents disent toujours que leur anglais était à pleurer de rire et souvent, ils essayent de le refaire sans vraiment réussi, ou alors ils le réussissent tellement bien que c'en est effrayant.

Très vite, tes parents ont cru voir en toi un prodige mais ce n'était pas vraiment ça ; disons que tu t'en sortais et que tu faisais de ton mieux mais t'as toujours un peu ramé au fond. Ils avaient pas l'air de le comprendre, pour eux quand on est bon quelque part, on est bon partout mais ce n'est pas comme ça que ça marche à vrai dire. Tu avais quelques facilités dans les matières scientifiques, mais ça c'est parce que tu traines dans les bouquins de papa depuis que t'es gosse, ça aide. C'est un peu son travail, d'enseigner ce genre de choses alors finalement, t'as intégré quelques notions à l'avance, puis à les écouter parler aussi, ça aide. Le reste était plus compliqué. T'as toujours apprécié parler, t'as toujours apprécié lire mais tu n'as jamais été très bon non plus et là est le problème. Tu ne peux exceller quelque part si tu n'as pas envie de faire des efforts et tu n'avais pas envie. Pourtant t'as pris sur toi-même, t'as dit qu'il fallait faire quelque chose, tu t'es dit que merde tu ne pouvais pas les ignorer et les laisser dans la panade, mais ce fut peine perdue. Le seul endroit où tu semblais t'en sortir quelque peu c'était à tes cours de violon. Elle aussi, elle avait de grandes attentes pour toi. Tu deviendras une star disait-elle alors que frottant tes cordes, tu avais l'impression que les sons étaient plus ignobles les uns que les autres. Apparemment pas. Puis le violon, c'est la seule chose que tu as vraiment continué, au final, c'est la seule chose que tu te trimballes encore partout comme un vrai idiot sans cervelle. On te dit que c'est fragile mais toi t'aimes bien le sortir au milieu de la rue et te mettre à jouer, contre une pièce ou une oreille, tu n'en as pas grand chose à faire tant qu'on fait attention à toi et tant que quelqu'un veut bien te complimenter. Tu ne sais pas si t'es à la recherche de gloire ou juste de reconnaissance, mais tu recherches quelque chose et ces inconnus savent te le donner.

Ils ont décidé de t'offrir une petite soeur, un jour. C'est comme ça qu'ils ont foutu les choses et et c'est comme ça qu'ils te l'ont dit mais pour toi ce n'était pas vraiment un cadeau et ce n'était pas grand chose à vrai dire. T'avais déjà commencer à tourner mal à cette époque. Petit racaille de bac à sable, tu faisais des conneries sur conneries et personne ne semblait vouloir te dire un truc. Tes parents semblaient débordé, t'avais tout juste onze ans et on pensait que ce n'était que le début d'une crise d'adolescent normal alors ils ont décrété que tu te sentais seul ; il te fallait un peu de compagnie et quoi de mieux qu'une petite soeur ? D'ailleurs, c'était ridicule, parce qu'ils ne pouvaient pas choisir à l'avance alors comment savaient-ils que ça allait être une petite soeur ? Ca n'en était même pas une. Ils furent très certainement déçus et tu avais envie de leur dire que c'était normal ; on réfléchit deux secondes avant de se faire un gosse. Maintenant, regardez le pauvre nourrisson qui avant même d'être né devait répondre à des attentes. Il porte tout de même un joli prénom, le Camille. C'est beau, c'est français et à ce qu'il paraît c'est féminin mais aussi masculin ; une joie pour tes parents qui feront de cet enfant tu ne sais trop quoi. T'as pas envie de savoir à vrai dire.  

En vrai, tu étais complètement surprotecteur. Tu ne voulais pas lâcher ton frère d'une semelle et tu ne voulais pas que quelqu'un te le prenne. Tu es certains de t'en être occupé plus que tes parents mais tu ne leur reprocheras jamais. Ce n'est pas comme si tu ne l'avais pas choisi et ce n'est pas comme si tu ne l'avais pas décidé ; tu voulais qu'il voit en toi quelqu'un de bien, tu voulais qu'il voit en toi un modèle parce que bon Dieu, enfin quelqu'un qui pouvait te regarder avec les yeux qui brillent. C'est parce qu'à ce moment-là, tu n'étais que déception pour tes parents. Un pauvre gosse perdu et débraillé dont l'ombre se dessinait quelque part devant lui. Tu n'étais plus vraiment le gosse que tout le monde aimait et que tout le monde traitait de prodige ; racaille, sous-catégorie ou tu ne sais quoi d'autre, t'étais devenu leur hantise. Tu te dis qu'au fond, s'ils ne t'avaient pas foutu la pression comme ça, peut-être que tu n'aurais pas changé et peut-être que tu n'aurais pas voulu te démarquer et peut-être que tu n'aurais pas voulu devenir quelqu'un d'autre. Alors ton petit-frère était le seul à te regarder avec ses grands yeux qui pétillent, ceux de l'amour, fraternel ou non qu'en avais-tu à faire ? Il était là et c'est tout ce qui comptait. Tu semblais avoir besoin de lui plus qu'il n'avait besoin de toi. Il était celui qui t'encourageait, celui qui t'écoutait, celui qui te disait, chaque fois que tu changeais de coupe de cheveux, que tu étais beau, très beau même et ton premier tatouage n'était qu'une œuvre d'art et ton premier piercing était plutôt rigolo puis même qu'il disait qu'il voulait s'habiller comme toi plus tard -au grand damne de tes parents qui faisaient tout pour faire de cet enfant un prodige à son tour et toi, tu l'encourageais. Tu l'encourageais, plein de regrets, pour tes parents que tu avais trahis mais pour lui aussi que tu forçais à s'enfermer dans une vie qui ne le rendrait pas forcément heureux ; mais tu ne voulais pas qu'il vive comme toi et tu ne voulais pas qu'il traîne de bars en bars, de bras en bras et tu ne voulais pas qu'il résume sa vie à rien, sans attache. T'avais pas envie de le voir livré à lui-même et t'avais pas envie qu'il se ramasse comme toi t'as fait, parce que lui, il n'aurait certainement pas la force de se relever ; toi t'en boites encore.

T'avais dix-neuf ans quand ils t'ont dit qu'il était en train de crever, qu'il était dans une impasse, que la voiture l'ayant fauchée ne s'était même pas arrêtée et que quelqu'un l'avait trouvé sur le bord de la route à moitié décédé. Ils essayent de le sauver mais c'est dur et s'ils y arrivent, ils ne garantissent pas son état. C'est un peu de ta faute, si c'est arrivé. Tu lui as dit de venir te rejoindre. C'est toujours une histoire comme ça de toute manière. Il a du courir, ne pas faire attention, tu le connais, il est plutôt tête en l'air. Tu n'aurais pas dû lui dire de se presser et tu n'aurais pas dû lui dire que c'était urgent -il n'y avait rien d'urgent à vrai dire, tu lui avais simplement préparé son plat préféré pour le féliciter de ses résultats. Tu voulais fêter ça avec lui mais c'est à toi qu'on fait la fête maintenant. Tu étais désespéré, au bord des larmes, t'étais carrément au bout du rouleau. Ils l'ont sauvé, oui, mais il ne s'est pas réveillé et se réveillera-t-il un jour ? C'est une question que tu te poses encore alors qu'il repose au fond d'un pauvre cercueil. C'est un jour que tu avais ta main dans la sienne, un jour où tu pleurais toutes les larmes de ton corps, un jour où tu te rendais coupable de tout et où tu demandais pardon encore et encore que tu as souhaité, très fort, tu as souhaité qu'il survive, qu'on arrête de dire que c'est de ta faute, qu'il montre à tout le monde qu'il est fort mais peut-être était-ce un vœux bien trop égoïste pour qu'il soit réalisé ; il ne s'est jamais réveillé.

Tu as perdu tout contact avec ta famille, tu as été maudis, tu as perdu la seule personne qui comptait pour toi et tu n'étais qu'un débauché de plus dans les rues de la grande ville. Tu t'es dit que tu vivrais pour lui, qu'importe ce qu'il t'arrive.
Tu ne sais pas vraiment comment tu as fini en nouvelle-zélande. une proposition, un nouveau départ, une place pour jouer du violon, encore et encore, et tu n'as pas pu refuser. tu avais besoin d'aider, besoin d'espace.
besoin de vivre.

c'est une mission difficile, maintenant que les fleurs ont pris possession de tes poumons. c'est une mission difficile, maintenant que tu t'étouffe à chacun de tes mots. c'est compliqué de faire pleuvoir des fleurs sur tes cordes, elles ne jouent pas une mélodie très jolie.
tu as essayé pourtant de l'oublier, lui. de vivre une autre vie.
de tomber amoureux (sans succès), de t'installer (sans succès), d'aller d'un lit à un autre, ça, ça ne t'a jamais été très difficile, mais tout avait le goût amer des larmes et des souvenirs, de l'abandon.
c'est de ta faute, c'est ce qu'ils te criaient tous sans vraiment te parler. c'est de ta faute tout ça, et tu le sais, pertinemment, mais tu fais celui qui l'ignore et tu vis, accroché au passé, accroché aux pétales qui n'ont de cesse de pleuvoir.

tu n'étais plus que l'ombre de toi-même quand il a vu le jour. un enfant, comme ça, sorti de nulle part. tu ne le vois jamais, tu ne peux pas, tu n'as pas envie, tu fais comme s'il n'existait pas. une erreur diras-tu mais il est simplement la preuve d'un essai, celui de l'oubli, celui d'une nouvelle vie.
un enfant pour palier ton manque, pour te rassurer.
un enfant pansement, tu es horrible. alors il ne te voit pas, rarement, peut-être parfois avec ton violon.
il porte le nom de ton frère, seule chose que tu lui a laissé, comme laisser à nouveau ce fantôme derrière toi.
et personne ne le saura, même toi, parfois, tu l'oublies.
personne ne le saura, n'est-ce pas ?

parce que toi, parce que papa, il va mourir.
il crache des fleurs, plus encore qu'avant.
il va mourir, tu vas mourir.
c'est tout ce que tu mérites.

recensement


Code:
» <b>KEI TSUKISHIMA + HAIKYUU!!</b> ✿ <a href="https://bloomintome.forumactif.com/u25">Judicaël Winiger</a>

Merci de remplir ce champ uniquement si vous avez envie d'être mis dans la liste des coeurs pour être contacté pendant les intrigues, les lancers de dés ou par les autres membres pour des futurs liens, tout en gardant à l'esprit que votre coeur, donc, peut changer à tout instant grâce à la science :

Code:
coeur pris » <b>amoureux</b> ✿ <a href="https://bloomintome.forumactif.com/u25">Judicaël Winiger</a>
derrière l'écran
je ne sais pas à qui je mentais quand je disais que c'était le dernier compte, à moi-même sûrement.
Judicaël Winiger
luthier
Judicaël Winiger
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