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FORUM FERMEdéfinitivement. merci pour les souvenirs !

l'amour fleurit et flétrit, il est comme une fleur qui passe et trépasse avec le temps.
l'amour ne dure qu'un instant, qu'un moment ; c'est ce qu'on dit, qu'il est éphémère, comme la vie, comme la pluie.
et pourtant, malgré ce moment si court durant lequel on aime, cela peut suffire à tuer ; et ça vous rend malade, d'aimer sans être aimé en retour, et ça vous tue le coeur et l'âme - littéralement.
vous avez envie de vous échapper, d'arrêter ça, et c'est votre poitrine qui se gonfle, vos poumons qui s'emplissent ; et vous toussez, encore et encore.
et ce sont des pétales de fleurs qui tombent lourdement sur le sol pâle.
auckland. juillet 2023, hiver.
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21.07.23réouvertue du forum, recensement, et petit évent (www)
04.01.23fermeture temporaire du forum, ceci dit, on revient vite !
10.08.22nous soufflons nos bougies à plein poumons et souhaitons un bon anniversaire à bloom et qui dit anniversaire dit nouveautés (www)
01.08.22tous des stars grâce à insta(r)gram (www)
27.06.22les choses se compliquent et les rumeurs voient le bout de leur nez (www)
13.06.22nouvelle màj dit nouvelles informations à retrouver juste ici
14.02.22on profite de la joie, de l'amour et de la nourriture gratuite pour la saint valentin (www)
26.01.22tom cruise en sueur, le forum réouvre pour sa V3 avec son lot de news à retrouver ici.
27.10.21tou beau tout chaud, prêt à braver la chaleur de l'été, voici les nouvelles juste ici
10.08.21bloom ouvre ses portes ❤
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kenzie webb » I'm drowning it's raining all day

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Mar 25 Juil - 20:00
kenzie webb
on avait fini notre jeunesse, on aurait pu en dévorer les restes même au beau milieu d'une averse
 
vingt-sept ans (comme un grand).
welligton (sans souvenir, à vomir).
néo-zélandais (drapeau gravé).
néo-zélandais, peut-être autre chose (colonisé).
pansexuel (sans accroche).
célibataire (détestable).
riche (à en crever).
sportif retraité (suicidé) ; coach (à crier).
shooting stars (liberté).
achillée millefeuille
Ce qu'il préfère chez lui, physiquement ou non ?
le roux de tes cheveux (comme le feu) ; les piercings (sans douleur).
Son moment de la journée préféré ?
le matin quand tout semble aller bien (mensonge), à peine réveillé, quand la réalité n'a pas encore frappé.
Est-ce qu'il a une passion dont il ne parle pas ?
les chats, qu'il n'a pas, qu'il n'aura jamais, incapable de s'occuper de lui-même.
Plutôt du genre à s'endormir directement ou à se faire trois films dans sa tête avant ?
les somnifères font rapidement effet, pas le temps de penser.
Comment est son écriture ?
petite, pattes de mouches illisibles.
Gaucher, droitier, ambidextre ?
droitier (comme tout le monde).
Quelque chose qu'il ne supporte pas ?
la lumière vive, celle qui éblouie, fait plisser les yeux. Avoir le hoquet aussi, c'est dérangeant, ça.
Est-ce que sa vie actuelle lui plaît ?
à subir sans cesse ce qui lui a été destiné.

caractère
iTu ne veux plus te battre - tu en as marre. Tu as laissé les démons te manger, te ronger, t'aspirer,
tu te noies dans tes propres soucis,
ceux que tu crées,
ceux dont tu n'arrives pas à te défaire.
C'est trop difficile ; trop compliqué. Tu as oublié comment te battre, toi, oh oui,
toi,
qui était si déterminé, qui ne manquait pas de volonté c'est comme si tout s'était envolé. C'est parce que l'échec te fait peur, c'est parce qu'il ne te motive pas, c'est parce que tu n'acceptes que la réussite et quand le monde s'écroule autour de toi, tu le suis, dans ta bonté d'âme, tu l'accompagnes dans sa chute, sacrifié pour les autres, pour ce qui t'entoure.

Le monde, qui s'écroule, tu le vois, tu l'observes, tu le regardes, changer, se transformer, t'oublier peu à peu, et tu ne dis rien, silencieux, tu l'imagines souvent meilleur,
tu n'oses pas,
tu n'oses pas crier ce dont tu rêves,
les rêves que tu perds,
qui s'effacent,
où tu te perds,
où tu t'effaces,
un peu trop souvent,
allô la lune
(sans réponse).

Le temps qui passe sans que tu ne réalises,
(tu ne veux pas y penser),
et pourtant, elles sont là, elles se bousculent,
les pensées,
elles tanguent et chavirent sur ce flot inconstant,
les pensées,
qui te font réfléchir peut-être un peu trop,
des questions auxquelles tu n'auras jamais de réponses ; pourquoi ? sans cesse sur tes lèvres. Des questions dont tout le monde se plaint, parce que tu es chiant, parce qu'ils n'ont pas besoin qu'on leur rappelle le poids de l'existence et pourtant il pèse sur tes épaules, lourd, l'existence que tu questionnes sans cesse, l'angoisse permanente de se rendre compte que tu es bien réel, que les choses qui se passent le sont aussi, oui,
que l'air est palpable,
que tu es , que tu laisses des traces.

La panique, la panique générale,
la panique que tu partages,
autant que les pleurs,
les émotions en excès qui se dessinent sur ton visage,
que tu n'arrives pas à contrôle,
la rage qui te prend les tripes,
qui te tord de l'intérieur,
un trop plein, souvent,
de ce que tu ressens,
les émotions que tu ne comprends pas,
et ton humeur qui suit, souvent,
inconstance parfaite,
funambule
(tu tombes)
(tombes)
(tombes)
infernal.

Et ce monde qui te fait peur, tu le fuis,
tu cours dans le sens opposé,
tu cours dans tes pensées,
tu te tais,
mutisme choisi,
tu te réconfortes,
avec des choses qui te plaisent, parfois,
qui te plaisent qu'un instant,
parce que tu changes vite,
enfant prodige tout te semble facile, les doigts qui glissent sur les cordes d'une guitare, d'un piano, les calpins remplis d'esquisses que tu n'as jamais fini, tout t'ennuie si vite que tu changes ou peut-être est-ce la peur de choisir, la peur de t'enfermer dans quelque chose, la peur de te limiter,
l'envie d'en découvrir plus,
toujours plus,
avide de ce savoir que tu englouties.

dévoré par le monde,
par tes pensées,
par ton monde,
(dévoré).

(+++)

les cheveux roux naturels que tu aimes teindre d'un rouge de feu ; peu entretenus, coupés par toi-même devant le miroir des piercings le long des oreilles, la souffrance appréciée d'une aiguille qui traverse ton cartilage, l'envie d'en faire toujours plus l'air criard, l'air méchant, mais le silence souvent sur tes lèvres scellée, le regard qui toise, qui fait peur parfois la canne qui t'accompagne souvent, quand le temps est mauvais, quand tu ne te sens pas, quand tu veux faire l'intéressant parfois passion secrète pour la peinture, l'aquarelle, qui se dilue dans l'eau, pour les couleurs pastelles que tu noies encore et encore sous ton pinceau (sous tes larmes) des romans que tu dévores, une bibliothèque plus grande qu'on ne l'imaginerait, l'envie de d'évader sûrement les affaires que tu perds sans cesse, les doubles que l'on retrouve dans ton appartement parce que ce n'était pas vraiment perdu le sport que tu faisais à outrance, une passion qui reste, qui fait mal, que tu ne peux t'empêcher de suivre et la douleur lancinante de ta jambe les milkshakes à la fraise, comme les enfants, un peu trop sucré, qui te font parfois vomir un appartement fleuri, souvent, pour l'odeur, pour la couleur.
histoire
PAS LA PEINE DE FAIRE
COMME SI C'ETAIT LA GUERRE

TW TCA + IDEES SUICIDAIRES

le bruit de la glace qui file sous tes pieds,
qui s'effrite,
la vitesse qui fouette ton visage,
le vent peu plaisant,
le froid contre tes lèvres,
la vue trouble entre les lunettes,
le coeur doux, le coeur qui avance,
le temps que l'on te crie dans une oreille,
vite, encore plus vite, toujours plus vite,
ce n'est jamais assez,
dépêche toi,
gagne.
L'épaule qui te tire, les genoux qui te disent d'arrêter,
mais la glace qui file, qui s'effrite, qui crie sous chacun de tes pas.

le noir, soudain,
la douleur,
le cri,
celui qui s'échappe d'entre tes lèvres,
l'horreur,
le temps qui s'arrête,
celui qui t'inquiétait tant,
celui que tu entendais tiquer sans cesse,
tu ne te souviens plus réellement,
le sang,
rouge,
rouge sur la glace blanche,
blanche,
oui,
le sang qui se répond, qui coule,
ta jambe,
tu aurais dû arrêter,
c'est ce qu'ils disaient,
la première fois était assez,
mais toi,
toi tu n'écoutes pas,
tu n'en fais qu'à ta tête,
et tu pleures,
tu pleures sous la douleur,
tu pleures,
parce que tu as perdu,
parce que tu as déçu,
parce que tu souffres,
parce que le temps reprends - et toi, tu es bloqué.

que j'frais bien d'arrêter, brûleront mon auréole


trop jeune pour vivre ça,
trop jeune pour arrêter,
trop jeune,
trop,
jeune,
le temps qui te rattrape, peut-être que tu n'étais pas si jeune,
peut-être que tu avais échoué,
peut-être,
peut-être.
la jambe qui ne fonctionne plus vraiment,
c'est rien qu'il disaient,
ça arrive souvent,
ta chair lacérée,
il n'a pas fait exprès,  
tu comprends, c'est toi aussi, pourquoi es-tu tombé ? si tu avais bien fait les choses, ça ne serait pas arrivé,
c'est toi le problème, tu le sais, tu ne le sais que trop bien.

les bip incessants de l'hôpital,
ta jambe que tu ne veux plus rien,
dans ton dos,
c'est grave,
caché pour donner de l'espoir,
pour te faire croire,
et tu pries tout ce que tu peux prier,
pour que l'on t'aide - tu n'y crois pas vraiment,
peut-être que tu n'avais pas envie non plus
(aller mieux).

le genoux en vrac, il ne fonctionne plus vraiment, mal,
il fonctionne mais plus comme avant,
il faudra faire attention,
les rêves,
ceux que tu avais plein la tête,
qui se brisent,
doucement,
un à un,
qui se perdent,
tu n'es plus rien,
tu ne peux plus marcher,
plus vraiment,
tu tangues comme un navire prêt à s'échouer,
tu ne pleures pas,
pas devant les autres,
tu pleures,
les prières auxquelles tu ne croyais pas,
que l'on te sauve (tu ne le veux pas), que l'on t'aide,
tu fais comme si ;
ça va,
ça va aller,
oui,
vraiment,
ça va.


ça n'allait pas ;
on avait soufflé sur ton château de cartes.

et fermons grand les yeux, et dansons sur la mer


c'est la télé qui ne te laisse pas en paix,
comment vivez-vous cela ?,
tu ne le vis pas,
ce n'est pas toi,
tu dis que tu as toujours été heureux,
tu as toujours fait ce que papa et maman voulait,
tu as eu une enfance comme les autres, vous savez,
un enfance heureuse d'un enfant passionné,
(meurtri),
d'un enfant que l'on pousse au bout des choses,
qui suit ses rêves,
alors c'est difficile,
alors tu vas t'en remettre,
c'est ce qu'ils espèrent aussi,
quand est-ce que l'on vous reverra ?
tu ne sais pas, tu aimerais donner une réponse,
(jamais),
tu voudrais leur dire que c'est difficile,
que tu souffres,
mais tu n'as pas le droit,
et tu t'accroches à rien
tu t'accroches à ces morceaux de rêves,
brisés,
que tu n'arrives pas à ramasser,
que tu n'arrives pas à recoller.

tu as toujours été heureux,
oui,
tu crois,
tu peux le dire,
pourtant,
tu vomis,
tu vomis les cachets que tu avales,
tu vomis,
tu vomis pour ne pas aller mieux,
tu vomis pour espérer ne jamais guérir.
tu ne veux pas y retourner,
jamais.
tu ne veux pas manger ce que l'on te donne,
tu ne mangeais déjà pas beaucoup de toute manière,
tout te dégoûte.

tu vomis,
sans cesse,
pour le plaisir de te dire que tu as une excuse,
parce que tu es malade n'est-ce pas ?
parce que tu ne reviendras pas,
parce que tu ne fais pas d'efforts,
mais tu as une excuse,
une vraie,
tu ne vas pas bien,
tu te laisses mourir.

mais nom de dieu que la pluie cesse


la vie,
qui continue,
le temps,
qui passe,
qui ne te fait plus vraiment peur.
tout ce que tu as maintenant,
c'est comme un cadeau,
comme un extra,
profite, craché à ton visage.
tu as essayé de mourir,
deux fois,
comme ça,
pour le plaisir,
parce que tu n'avais plus de but,
tu crois,
parce que tout te semblait perdu,
surtout toi.
tu as essayé sans réussir, parce que tu ne réussi jamais rien,
n'est-ce pas ?

papa et maman ne veulent plus de toi,
en fait,
tu n'as plus rien,
il te restait un peu,
mais pas assez,
tu ne comprends pas vraiment,
mais tu fais comme si.

ta jambe te lance,
souvent,
la cicatrice qui lacère ta peau te donne la nausée,
souvent.
(rappel de l'échec).

la canne claque contre le sol,
tu fais pitié,
mais toi tu rigolerais,
tu es un peu fou, Kenzie,
un peu.

tu cries, souvent,
sur les autres,
qui font ce que tu ne peux plus faire,
ils ne sont pas beaucoup,
mais ils sont là,
à te regarder,
à te mépriser,
parce que toi tu ne peux plus,
oui,
parce que tu es tombé,
sans jamais te relever.

recensement


Code:
» <b>HARAI KUKO + HYPNOSIS MIC</b> ✿ <a href="https://bloomintome.forumactif.com/u85">Kenzie Webb</a>

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Code:
» <b>coeur à prendre ✿ <b>célibataire</b> ✿ <a href="https://bloomintome.forumactif.com/u85">Kenzie Webb</a>
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Kenzie Webb
coach sportif
Kenzie Webb
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