nous partirons au ski. Un jour.
30 ans
né à Wellington
néo-zélandais
Nouvelle-Zélande
Bisexuel
marié
aisé
Chercheur en labo pharmaceutique
Sick & sad
hortensia
Ce qu'il préfère chez lui, physiquement ou non ?
Sans doute ses mains. Des mains tout à fait capable, avec de longs doigts. C'est sans doute ce qu'il préfère, parce qu'il se trouve trop grand, a les yeux trop clairs, ce qui l'oblige à faire attention au soleil, le teint trop pâle. Décidément, ses mains sont parfaites.
Son moment de la journée préféré ?
La nuit, lorsque tous sont couchés. Et alors vagabonder dans les rues devient agréable, satisfaisant.
réponse ici
Est-ce qu'il a une passion dont il ne parle pas ?
Faire du scrapbooking (il ne l'avouera jamais). Il aime bien disséquer des animaux également (dans un cadre scientifique, il n'en éprouve pas de plaisir malsain)
Plutôt du genre à s'endormir directement ou à se faire trois films dans sa tête avant ?
Plutôt du genre à s'endormir sur ses dossiers, parfois même pas chez lui.
Comment est son écriture ?
Penchée et brouillonne. Il écrit vite.
Gaucher, droitier, ambidextre ?
Droitier
Quelque chose qu'il ne supporte pas ?
Beaucoup de choses, sans doute causées par son état de fatigue général. Il peut facilement se mettre en colère à cause de cela, ça va des arêtes des poissons dans un bon restaurant à rater ses mayonnaises.
Est-ce que sa vie actuelle lui plaît ?
Non. Il se sait débordé mais il a des priorités et est conscient qu'il doit mener sa mission jusqu'au bout.
caractère
Oswald est stressé. Il ne peut pas s'empêcher de vérifier dix fois s'il a bien fermé sa porte, il a des croyances un peu obsessionnelle que certains décriront comme à la limite du ridicule : il évite de passer sous des échelles, se répète plusieurs fois certaines formules avant de faire certaines actions. Il ne prend pas le temps de se poser, le concept lui est totalement inconnu. Seul compte le rendement et la vitesse du travail, il est tout à fait hors de question de ralentir la cadence voire l'arrêter totalement.
(sans doute se rendrait-il compte s'il le faisait du chagrin qui l'accapare, sans doute le fait-il consciemment)
Oswald est prêt à tout pour trouver le remède et il veut que ce soit lui. Si on lui disait que la solution viendrait du pancréas des enfants, il serait prêt à le faire, il est déterminé et buté.
Il joue, il l'a décidé, lorsque tout cela sera fini, il vivra. Là, il pourra enfin faire ce qu'il a envie, respirer à l'air libre et rire à nouveau.
Un jour. (et ce lointain jour reste comme une lueur d'espoir dans son esprit occupé)
histoire
Et puis elle était morte.
Son corps si froid. Son souffle parti.
Je me souvenais pourtant des années passées, de nos mains dans la mains, de nos sourires et de nos yeux heureux. Bien avant que nous ne soyons mariés, il y avait quelque chose. Des sentiments.
(ils étaient puissants)
Je me souvenais de ses cheveux qui flottaient sous le vent. De son air à râler lorsqu'ils étaient décoiffés. Elle se trompait parfois de mot, je la corrigeais d'un air savant. Elle était si vivante.
Nous n'avions pas mis longtemps pour nous avouer nos sentiments. Elle était celle que je voulais toucher, un être parfait et omniscient. Chaque moment de sa présence me rappelait un souvenir, chaque moment de son absence, une torture indicible.
Alors, je me souvenais ;
La première fois que nous étions revenu dans ce luxueux appartement que j'avais acheté pour fonder notre famille.
Ces armoires toujours pleines de tes vêtements, les cernes dans le miroir, mes lèvres sèches, le lit qui avait ton odeur, les erreurs de langage.
J'ai mis longtemps à arrêter de parler de « nous » pour évoquer ce que nous ferions, la vie que nous mènerions. J'ai mis longtemps à sortir, à renifler l'air du dehors. Dans le tiroir de la commode, il y avait ton téléphone portable : et un par un, j'avais relu tous tes messages comme s'ils pouvaient te redonner la vie.
Je ne souhaitais pas repenser à l'accident qui t'avais fauché, mais force était de penser que je m'en étais sorti comme un charme, toi, tu en étais morte ; tu me rendais presque jaloux.
Je ne sais pas comment j'ai survécu les années suivantes. Je sais juste que c'est avec peine. J'ai voulu conserver ton odeur, elle s'est évaporé. J'ai voulu croire les mots des autres, ceux sur les faire-parts « elle sera toujours avec toi », « toujours dans ton coeur » ; conneries, je me suis mis en colère.
Sans doute est-ce à cause de cela que je me suis enfermé dans le travail, pour ne pas penser à toi, pour ne pas regarder nuit et jour cette si belle photographie de toi (tu sais, celle où tu tenais l'hortensia). Alors, j'ai travaillé, encore et encore. À l'époque, cette étrange maladie venait d'apparaître, elle n'était pas encore très connue mais mon laboratoire avait été pressenti sur les recherches.
Je savais toujours ce qu'il m'arriva lorsque, la première fois, je crachais un hortensia.
Ironie tragique, sa fleur, sans doute ce dernier détail ne me conduisit qu'à m'enfermer plus dans le travail. Je trouverais une solution, un remède.
recensement
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» <b>OSWALD S. ENNIS</b> + NOUVELLE-ZÉLANDE ✿ <a href="https://bloomintome.forumactif.com/u121">Oswald Ennis</a>
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» <b>coeur détruit</b> ✿ <a href="https://bloomintome.forumactif.com/u121">Oswald S. Ennis</a>
derrière l'écran
Coucou <3 j'ai enfin fini ma fiche, votre forum me faisait de l'oeil depuis un moment maintenant ! Ce petit predef était fort sympa, j'espère qu'il vous conviendra ! <3