j. jupiter jamieson » one last try ; i don't wanna live in yesterday

un petit bout de cheveux teints en roses qui dépasse ; un petit bout d’un arc en ciel étrange que l’on rencontre après la pluie, après la neige – quand le soleil est au plus haut et que l’on relève les yeux. C’est une peau bronzée et des yeux d’or qui reflètent la lumière de la vie, qui reflètent son rire, sa joie ; c’est un sourire qui ne quitte pas son visage et c’est comme si tout était plus facile. Moins lourd à porter ; plus facile à assurer, vous supposez.
Jupiter, il est comme l’étoile dans le ciel que l’on ne peut pas atteindre – sauf que lui, vous le touchez. Vous le sentez, sous votre paume ; c’est ce cœur qui bat, c’est cette voix qui vous enchante, qui le rend, qui vous rend, si vivant. Car il est éblouissant – sa vie est étincelante et vous devez vous cacher les yeux, un petit peu. C’est trop de bonheur, c’est trop de… tout. Jupiter est beaucoup de chose, et c’est dans l’excès.
Trop heureux. Trop blagueur. Trop souriant. Trop excité. Trop curieux. Trop extraverti. Trop tactile. Trop adorable. Trop envahissant. Trop théâtrale. Trop aimant. Trop.
Et on le remarque de loin, avec ses cheveux, avec ces cicatrices en dessous des yeux – une longue histoire, qu’il vous dira. L’histoire de sa vie, presque ; mais il n’en est rien, non. En deux phrases, en réalité, c’est plié – mais il aime en faire des tonnes, il aime étaler les histoires et impressionner la galerie (c’est son travail, après tout, me direz-vous), il aime vous mettre dedans et vous faire patienter, vous faire vous demander quelle est la suite ; il aime quand vous êtes dans le flou et qu’il a toutes les réponses. La sensation de pouvoir grisante qu’il ressent ; oh. Il aime ça et peut être très énervant quand ça lui prend – il faut savoir le gérer.
Jupiter, c’est ce genre d’adulte que l’on pense encore enfant dans sa tête ; tant il ne semble pas réaliser les malheurs de la vie, tant il ne semble pas comprendre le poids de la vie de tous les jours. En réalité, il le sait, tout ça – il les connaît et vit à sa manière avec, essayant de déjouer leur but premier et les transformer en quelque chose qui pourrait être agréable. (Autant vous dire que l’échec est plus présent que jamais.) Alors, parfois, lorsque son visage prend une teinte bien plus mature, lorsque ses yeux se fixent sur un point et que sa concentration semble émaner de son corps ; vous ne comprenez pas. Finalement, est-ce que Jupiter est réellement ce qu’il prétend être ?
« Tu savais que quand deux poissons s’énervent, le thon monte ? Le thon. Le poisson. »
Et il éclate de rire, tout seul.
Non, c’est définitivement bien lui, et ce n’est définitivement pas un adulte responsable.

Les commentaires filent et défilent sous tes doigts alors que les mots que tu lis sont tantôt agréable, tantôt agressif. Envers toi, envers les propos que tu as pu avoir ; les anecdotes que tu as raconté.
« La vie n’est pas aussi facile », dis l’un d’eux.
Peut-être que c’est vrai, oui. La vie n’est pas un long fleuve tranquille, pour certains. Même pour toi, ça ne l’a pas tant été que ça.
Mais tu ne peux pas te plaindre. Tu n’en as pas le droit.
Parce que tu vis de ta passion, parce que ta famille se porte bien, parce que ta famille est aimante, t’acceptes comme tu es. Parce que tu as un grand frère qui t’aime ; que tu adores par-dessus-tout. Avec qui tu as fait les 400 coups alors même qu’il est plus vieux et donc plus responsable que toi. Qui aurait cru qu’un jour, le même gars avec qui tu faisais des prouts dans la salle de classe pour mettre la honte au nouveau professeur deviendrait médecin ? Sérieusement. Ou un truc dans le médical, en tout cas.
Tu avais eu de la chance, oui. Mais tu avais assez bossé pour ça ; même si tu avais abandonné tes études en cours de route, après que ta chaîne marche finalement assez pour vivre. Même si tu as fini par fermer le chapitre qu’était l’université, que ça a mis du temps pour que tes parents ne soient plus en colère contre toi ; tu ne pouvais pas te plaindre alors que des gens mourraient de faim, alors que les animaux s’étouffaient à cause de votre plastique, alors que la planète crevait petit à petit.
Tu ne pouvais pas, non. Et pourtant. Un peu de piquant manquait, dans cette vie où tu avais réussi ce que tu voulais.
A faire rire les gens ; à les rendre un peu plus heureux ; à leur faire oublier leurs problèmes. C’était tout ce que tu demandais à réussir à faire. Des blagues, des idioties à la caméra qui se transformaient en sourires, en joie. Même si parfois les commentaires étaient durs à lire, même si certains te prenaient réellement pour un idiot.
Ce n’est pas grave – avec chaque nouvelle vidéo tu atteignais ton but.
Faire oublier la souffrance de tous les jours, ne serait-ce qu’un peu.
Parce que tu le sais, que ce n’est pas facile, la vie. Surtout avec ce nouveau virus qui se propage, et dont on parle partout. Tu en avais fait les frais, déjà, une fois. Au lycée ; il y a de cela quelques années, déjà.
La sensation de vomir autre chose que ce qu’il y a dans l’estomac – ce sentiment que cela vient de nos poumons, que ce n’est pas liquide. Les pétales qui raclent contre la gorge avant de finalement sortir ; et puis, parfois, la fleur entière. Et il faut arrêter ça avant que ça soit trop tard, avant que ça ne prenne toute ta respiration ; avant que tu n’en meures.
Tu en as connu, des gens, comme ça. Qui sont morts, la fleur entre les lèvres, les racines dans le cœur. Et ils se sont réveillés ; et l’amour n’était plus.
Ton cœur s’est gelé. De peur, de douleur, de peine. Pour eux, les malchanceux qui n’avaient pu arrêter leur amour à temps et qui en était mort.
Tu ne voulais pas que ça t’arrive – ni à toi ni à tes amis. Ni à personne.
Les romantiques, eux, trouvaient cela beau – mourir par amour. Voilà la signification même de ce qu’est ‘aimer’. Pour toi, ce n’est rien de plus qu’une malédiction ; dans une vie où l’amour peut se trouver n’importe où n’importe comment sans jamais être réciproque, voilà qu’une maladie venait y mettre son grain de sel.
Et tous les jours, des gens en mourraient. D’autres guérissaient – mais c’était partout dans les médias. La nouvelle maladie tueuse ; la nouvelle peste.
Est-ce que c’était ça, le piquant qui te manquait ? Aimer de nouveau. Avoir son cœur qui palpite, être dans l’expectative. Et la peur qui te rongerait, à savoir si tu devais te préparer à de jamais plus ressentir d’amour – plus pour tes amis, plus pour ta famille. Tu ne ressentirais plus rien ; pour personne. A jamais.
Tu n’en veux pas, si c’est lui qui manque à ta vie. Tu n’en veux pas, de cet amour tueur ; non, jamais.
Tu veux continuer à vivre comme tu l’as toujours fait – tranquillement, facilement, un sourire à la caméra, des blagues avec Vénus, un film en soirée avec Leina, un stream part ci par là avec des jeux vidéos ; la vie qui défile et qui ne change pas. Une vie simple mais joyeuse.
Une vie que tu peux encore aimer.

il s’appelle James Jupiter parce que sa mère a une passion pour l’espace (y a qu’à voir son frère qui s’appelle Vénus), mais son père a choisi son premier prénom parce que sa mère avait eu le droit de choisir le premier de ton grand frère ✿ il a décidé d’utiliser beaucoup plus Jupiter parce qu’il préfère, c’est moins connu que James ✿ son pseudo youtube vient du fait que toutes ces initiales sont des J et il trouvait ça drôle ✿ il a eu une enfance vraiment heureuse et tranquille ✿ il adore piquer les chaussettes à son frère et faire des ‘paires’ composés des siennes et de celles de son frère ✿ son frère vient souvent lui rendre visite et ils en profitent souvent pour faire des vidéos réactions ou tenter des choses ensembles ✿ Leina est sa colocataire et amie et il aime par-dessus tout, c’est des potos de cheveux roses ✿  il adore embêter Leina sur tout et n’importe quoi mais elle le lui rend bien ✿ il est souvent (beaucoup trop) excité sur des trucs lambda ✿ il a une passion plantes grasses qu’il assume ✿ sa passion ticket de cinéma il assume beaucoup moins ✿ son péché mignon sont les pains perdus, ceux qui sont croquants à l’extérieur et fondant à l’intérieur ✿ il adore le rose (well, DUH) ✿ avant ça il a essayé d’autres colorations mais c’était vraiment moche (genre le jaune… brrr que d’y penser il a envie de pleurer) ✿ il est quasiment toujours lui-même et quand il a une baisse de moral on le voit assez vite (ces yeux ne brillent pas autant, il ne fait pas autant de geste quand il parle) ✿ son premier amour a été très dur car la maladie était déjà propagée ✿ maintenant il a peur d’aimer, mais ça ne l’empêche pas d’adorer faire de nouvelles rencontres ✿ il se donne toujours l’air d’être un parfait abruti et le clown de service alors qu’il est tellement plus que ça ✿ il se met rarement en colère, mais quand c’est le cas il vaut mieux pour vous que vous soyez loin ✿ il n’est violent dans ses gestes, mais beaucoup plus dans ses mots ✿ même s’il sait très bien se battre quand il y en a besoin ✿ il a pris des cours de boxes quand il était plus jeune ✿ à part ça c’est une frêle fleur dont il faut sentir le parfum pour en apprécier sa splendeur.

Merci de remplir ce champ uniquement si vous avez envie d'être mis dans la liste des coeurs pour être contacté pendant les intrigues, les lancers de dés ou par les autres membres pour des futurs liens, tout en gardant à l'esprit que votre coeur, donc, peut changer à tout instant grâce à la science :

Code:

COEUR A PRENDRE/COEUR PRIS/COEUR DETRUIT
» <b>situation amoureuse</b> ✿ <a href="https://bloomintome.forumactif.com/u4">Pseudo</a>

pouet ici citrun hihihi je sais absolument pas quoi dire alors je vais avouer que mon pkm préféré c ectoplasma et bulbizarre, voilà