Forum définitivement fermé. Merci pour cette belle aventure. <3
B L O O M into me
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FORUM FERMEdéfinitivement. merci pour les souvenirs !
l'amour fleurit et flétrit, il est comme une fleur qui passe et trépasse avec le temps. l'amour ne dure qu'un instant, qu'un moment ; c'est ce qu'on dit, qu'il est éphémère, comme la vie, comme la pluie. et pourtant, malgré ce moment si court durant lequel on aime, cela peut suffire à tuer ; et ça vous rend malade, d'aimer sans être aimé en retour, et ça vous tue le coeur et l'âme - littéralement. vous avez envie de vous échapper, d'arrêter ça, et c'est votre poitrine qui se gonfle, vos poumons qui s'emplissent ; et vous toussez, encore et encore. et ce sont des pétales de fleurs qui tombent lourdement sur le sol pâle. auckland. juillet 2023, hiver. Lire la suite
21.07.23réouvertue du forum, recensement, et petit évent (www)04.01.23fermeture temporaire du forum, ceci dit, on revient vite !10.08.22nous soufflons nos bougies à plein poumons et souhaitons un bon anniversaire à bloom et qui dit anniversaire dit nouveautés (www)01.08.22tous des stars grâce à insta(r)gram (www)27.06.22les choses se compliquent et les rumeurs voient le bout de leur nez (www)13.06.22nouvelle màj dit nouvelles informations à retrouver juste ici14.02.22on profite de la joie, de l'amour et de la nourriture gratuite pour la saint valentin (www)26.01.22tom cruise en sueur, le forum réouvre pour sa V3 avec son lot de news à retrouver ici.27.10.21tou beau tout chaud, prêt à braver la chaleur de l'été, voici les nouvelles juste ici10.08.21bloom ouvre ses portes ❤
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They just keep doing nothing, too intoxicated to be scared.
IT HAD TO FALL ON ME !
People say it’s crazy what’s the loss to me, curse at me brutally, you'll lose to me
Les cours étaient fini, tu n'avais qu'une hâte c'était de rentrer chez toi et câliner ta peluche sur le canapé échoué comme un phoque. Pourtant tu devais faire une croix sur ce programme-là. Tu avais quelque chose d'autre de prévue, quelque chose que tu aurais aimé largement te passé, voire même lui poser un lapin. Cependant, vu que c'était pour les cours, un devoir, tu n'avais pas le choix. Puisque clairement, tu aurais déjà annulé le rendez-vous. Car tu savais déjà que ce moment pour toi, allait être plus une souffrance. Devoir éviter d'être collé à lui, éviter tout contact physique, pour éviter de cracher, limite tes poumons. Le point positif c'est que si jamais vous travaillez bien, tu ne passeras pas des heures avec lui. Enfin c'est ce que tu espérais au fond de toi. Que ça ne dure pas trois heures.
Depuis que tes sentiments pour lui étaient nés, être auprès de lui état maintenant difficile. Tout ça à cause de cette foutue maladie. Jusque-là tu avais réussi un peu prêt à cacher tout ça en allant généralement aux toilettes lorsque ça devenait trop fort. Tu avais prétexté un rhume des foins, mais étant actuellement on était loin de l'été et cette excuse n'était plus vraiment valable. Tu allais devoir trouver autre chose pour ne pas être grillé. Ne sachant pas si c'était réciproque voir même qu'il est un intérêt pour toi, tu ne préféras rien dire. Et puis tu étais loin d'être comme ces meufs qui dévoilent à leur Crush leurs sentiments, toi tu gardais tout pour toi, que ce soit sentiments, comme lorsque tu vas mal. Tu as été élever comme ça, ton passé fait que tu n'as jamais été le genre de personne à te confier, à dévoiler des choses sur toi. Tu étais surtout quelqu'un d'effacer. À part lorsque tu cuisines où c'était là qu'on te voyait.
Tu soupiras et te rendis à reculons vers la salle de cuisine, là où tu passas le plus clair de ton temps quand tu n'étais pas en cours. Tu pris ton temps, n'ayant rien à faire limite d'arriver en retard. C'est donc main dans les poches, sac dans ton dos que tu franchis la porte de la salle avant de regarder autour de toi. Personne, enfin du moins tu ne voyais aucun corps vivant dans ton champ de vision. Tu entras et posas ton sac sur une table avant de venir sortir un tablier. Comme tu n'étais pas en cours tu n'avais pas à mettre la tenue. Tenue que tu n'aimais pas vraiment. Même pour la cuisine, tu voulais être dans des vêtements où tu étais à l'aise. Tu en avais besoin pour pouvoir faire de grands mouvements. C'est pourquoi là, tu enfilas juste un tablier autour de ta taille avant de venir poser ton cul sur un tabouret attendant ton partenaire de devoir, ton Crush, celui qui te fait tousser comme un malade.
Pendant que tu attendais la venue d'Ephemer, tu allas sur ton téléphone pour parcourir Instagram et d'autres réseaux sociaux pour faire passer le temps. Enregistrant de temps en temps des recettes qui te donne envie ou que tu veux refaire. De quoi alimenter ton propre compte insti'. Celui où tu ne mets que tes recettes, où tu caches qui tu es. D'ailleurs, tu pris le temps de venir répondre à quelques commentaires et remercier les gens. Tu étais clairement plus sympa sur les réseaux qu'en vraie.
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I can't afford to love someone who isn't dying by mistake...
Une journée Encore sans espoir Des sentiments Presque Inoubliables Tu ne cesses de te poser des questions Sur toi-même Comme une certaine évidence Tu ne cherches plus à y croire Juste D'oublier
Tes habitudes s'envolent Prennent de la place Aussi grande Que tes émotions
Regarde Il regarde Il te regarde Au loin T'enfiles un tablier Ses mains tremblent Une petite grimace Peur Ta salive s'entremêle Ephemer S'avance lentement vers toi Pose ses mains sur le rebord d'une des tables Puis Ne te quitte plus du regard
Heureusement Il ne remarque pas ta présence Tes pas ont été si Doux Que tu en profites Pour te faufiler derrière lui « Je peux avoir ton instagram petite star ? » Une certaine proximité Où tes mains se posent sur ses épaules Un petit sourire en coin j u s t e Quelques secondes Suffissent Pour que tu ressentes Des palpitations
Ça t'étouffe « Aujourd'hui je te laisse prendre les devants, tu peux donc choisir la recette que tu souhaites réaliser »
D'un geste vif Ta main attrape un tablier Ephemer L'enfile Continuant à t'observer Au même moment Ses pouces Cachent subtilement Sa marque
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Tu étais tellement à fond sur ton téléphone, que tu n'avais même pas remarqué qu'Ephemer était déjà là, à te fixer telle une proie. En même temps lorsque tu étais dans ta bulle, beaucoup de choses sont généralement effacé de ton champ de vision. Que ce soit des objets, des personnes, comme des sons. Tu ne voyais plus que la chose pour laquelle ton attention prenait toute la place dans ton cerveau. Ce n'est que lorsque tu entendis sa voix, cette voix qui arrivait à te faire chavirer en un rien de temps. Qui te fils rougissait d'un seul coup. Tu sentais aussi bien son souffle sur ta peau, son parfum. Tu faisais tout pour garder ton calme, pour être comme à ton habitude, froids.
Tu avais levé ta tête avant de venir le regarder dans les yeux, espérant n'être plus aussi rouge qu'avant. Prenant le temps de verrouiller ton téléphone pour cacher l’existence de son compte instagram anonyme. Ce compte que pas mal de personnes suit s'en savoir que c'était toi qui te trouver derrière cette image.
Ta gorge commença à te gratter, tu sentais les pétales qui peu à peu remonter le long de ta gorge. Rien que le contact de sa peau contre toi, provoquer la maladie. C'est pourquoi sans demander son avis ou quoi, tu avais pris ses mains les enlever, venant même le repousser. N'aimant pas du tout la proximité entre vos deux corps. Tu t'étais éloigné de lui pour pouvoir reprendre ton souffle. Pour essayer de passer cette toux que tu ne voulais pas sortir. Tu ne voulais pas qu'il te crame.
Tu avais levé la main vers lui, signe que tu ne voulais pas qu'il s'approche de toi et tu lui tournas le dos. Tu te rendis vers la fenêtre avant de venir l'ouvrir pour respirer l'air frais et froid. Et étant caché tu pouvais discrètement cracher les pétales et les laisser tomber le long du bâtiment. Tu t'étais retourné pour être face à lui avant d'essuyer ta bouche. Tu le regardes un sourcil lever, intrigué que celui-ci veuille ton instagram.
« Pourquoi tu veux mon insta ? À quoi ça te servirait de me suivre . »
Tu ne pouvais le quitter du regard, suivant chacun de ses mouvements, ne voulant pas que celui-ci vienne de nouveau se coller contre toi. Tu reviens vers lui enfin plus précisément vers la table. Tu te mets à réfléchir, cherchant une recette à faire car en vrai tu comptais sur lui. Tu ne t'attendais pas à ce que celui-ci te laisse choisir la recette.
Tu avais trouvé celle-ci rapidement. Il y avait quelque chose que tu rêvais de faire depuis un moment. Un petit quelque chose pour lui. Sauf que ça te cramerait direct. C'était le bordel dans ta tête. Mais ta bouche parla en premier sans te laisser réfléchir un peu plus.
« Hum, des chocolats ? Tu sais comme ceux que font les filles pour leurs crushs. Mais plus artistique, plus sophistiquer, pas des trucs en forme de cœur. Pas de chocolats banals. Je veux de la fantaisie. Tu penses que c'est possible ? »
Tu avais posé ton coude sur la table et tu regardas Ephemer dans les yeux. Tu savais qu'il était doué et que de travail à ses côtés allait te servir, même si c'était difficile pour toi, pour ton corps d'être à ses côtés. Mais tu voulais tellement être le meilleur, que tu étais prêt à mettre ta vie en danger pour réussir. Tu allais devoir prendre sur toi et suivre la recette à la lettre, comme un élève normal et non comme un mec en crush sur son prof.
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Surprenant Ce garçon ne remarque même pas ta présence Tellement Absorbé Par son téléphone Tu te poses Juste derrière lui Tes mains qui se posent En douceur Sur ses épaules Ton souffle contre sa nuque Tu jettes Un coup d'œil à son écran Ephemer Remarque immédiatement Un compte instragram Un large sourire Il te demande alors de le lui donner
Quel charmeur Son regard dans le tien Rouge comme une tomate Hélas Ce dernier te repousse Tel un déchet Ça ne te surprend même plus « Bah alors je te donne chaud petit Jun ? »
Finis-tu par prononcer
Ses gestes sont plutôt mignons Il ne souhaite plus Que tu te rapproches de lui Une petite moue triste Tu reposes tes mains sur tes hanches Un regard intense en sa direction La suite de ses mots Te font clairement rire Il a quelque chose à cacher
Juste de quelques pas Ephemer se rapproche de toi « Hum quelle question stupide ... » Un léger rire « Du peu que j'ai pu voir de ton compte, il m'a l'air intéressant. Pourquoi est-ce que je ne pourrais donc pas te suivre ? »
Il te suit Mélancoliquement du regard Un petit sourire « Qu'est-ce qu'il y a ? Suis-je donc trop beau pour que tu ne puisses plus regarder ailleurs ? »
Prenant alors un tablier Tu l'enfiles Puis te concentres enfin Sur ton boulot Ephemer t'avait proposé de choisir à toi seul une recette Quelque chose Que tu souhaitais réaliser Tes oreilles sifflent Lorsqu'il entend ce que tu as choisi Des chocolats
Ton visage valse vers lui Très neutre Tu Tu Tu
Ouah « Tu veux en offrir à ton crush ? » Ephemer n'a pas réfléchi Ces mots sont sortis à une vitesse Incroyable Toutefois Il se redresse Tente de devenir un poil sérieux Puis S'approche de toi « Avec moi tout est possible Jun mais déjà t'as une idée des parfums que tu veux ? Fraise, vanille, amande ou le classique tout chocolat ? »
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Tu étais toujours entrain de le fixer avant de venir soupirer. Limites tu voulais même poser ta main sur ton visage? Il ne perdait pas le nord lui, cependant il n'avait pas tort... Après tout, il avait tout pour plaire, il était donc normal, que toi qui crush littéralement sur lui, serais chaud pour le moindre truc. Toi et tes pensées qui devenaient impures rien qu'a l'idée de l'embrasser, voire plus. D'ailleurs ce qui t'étonnait certainement, c'était le fait que tu l'avais toujours vu seul. Tu ne l'avais jamais vu avec une fille accrocher à son bras. Et ce n'était pas certainement ça qui manquait... Il y en avait quelqu'une qui étaient à fond sur lui. Ça piaillait dans ta classe pendant les heures de pause. Tellement, qu'à force ça te donner envie de vomir. Tu peux être amoureux, mais d'être aussi moelleux, nié, c'était totalement absurde. Tu finis par venir lui lancer un torchon sur la figure pour l'embêter.
« Ça va les chevilles . Tu veux que je te dise oui pour flatter ton ego . Soit sérieux... Je suis là pour apprendre et bosser, pas pour jouer les couples ou je ne sais quoi...»
À peine tu avais relevé ta tête que tu le voyais s'approcher de toi petit à petit. Et instinctivement tu reculas. Tu ne voulais vraiment pas qu'il te touche de nouveau. Tu ne voulais pas encore tousser, c'était déjà un peu une torture qu'il soit seul avec toi. Que tu éprouves des sentiments envers lui qui soient à sens unique. Tu savais bien que depuis quelques mois maintenant, cette maladie avait grandi en toi. Tu t'étais mis un tousser un peu plus, à subir encore plus les symptômes. Que tu allais sûrement finir par mourir. Après tout, comme si tu l'intéressais. Comme si quelqu'un s'intéressait à toi...
Tu fixas ton téléphone avant de faire mine de réfléchir. Tu aurais dit clairement non, au vu du compte en question, mais avec sa phrase. C'était dur pour toi de choisir quoi faire. Car si, il avait vu que ce compte était tenu par toi et la répète tu ne sais pas ce qu'il pourrait t'arriver. Donc n'ayant plus vraiment le choix, voulant garder ton anonymat, tu allais lui donner, par contre, il y aura évidemment des conditions. Tu reviens vers lui avant de venir lui montrer le compte pour qu'il puisse rentrer le nom dans son téléphone. Sauf que tu posas ton doigt sur ledit nom en question avant de venir le regarder dans les yeux.
« Ok, mais il y aura des conditions ! Déjà tu gardes pour toi, le fait que ça soit moi qui le tiens ! Je suis anonyme et je veux le rester. De deux si tu veux mettre un commentaire, c'est pareil pas de Jun ou quoi... Limite mets-tu si tu veux mais aucun nom ou pseudo voir même surnom. »
Si, il était d'accord avec tout ça, tu retiras alors ton doigt du téléphone sinon tu le rangeras dans ta poche, ne donnant jamais ton compte à Ephemer. Tu soupiras encore, il en rate pas une. Tu t'approchas un peu plus de lui assez proche pour ne pas être collé à lui, mais assez pour venir lui mettre une petite pichenette sur son nez.
« Arrête de joue les beaux gosses là... Bon sang... »
Car oui même si tu faisais passer ça pour de l'énervement, tes mots étaient aussi sincère. Il était un beau à tes yeux, voire même trop. En plus d'être talentueux. Comment ne pas craquer sur lui. Tu étais maintenant concentré à regarder des idées de chocolat pour lui montrer quelques exemples avant de venir tourner au rouge avec sa phrase. Tu restas la tête pencher en avant, bien à fixer ton téléphone. Ne voulant pas qu'Ephemer sache qu'il avait tapé dans le mile. Tu rigolas, mais nerveusement.
« Ne dis pas de connerie. J'ai aucun crush, l'amour c'est pour les faibles. Je préfère me concentrer sur le boulot que sur des choses si... Si à chier. Quand je vois ce que ça donne l'amour, ce n'est pas pour moi. »
Une fois ton calme reprit, tu regardas Ephemer dans les yeux, un sourire aux lèvres.
« Je fais ça, pour rendre services aux personnes qui ne savent pas cuisiner et qui eux veuillent donner des chocolats à leur crush. Dans l'histoire moi, j'y gagne de l'expérience dans ça grâce à toi en plus de gagner un peu d'argent. C'est bénef pour tout le monde. »
Sauf pour Ephemer. Enfin pour le moment. Tu posas ton téléphone sur la table montrant quelques images assez sympas de divers chocolats qui te plaisaient. Pour une fois, tu laissas Ephemer s'approcher de toi sans te reculer. Tu le laissas regarder ton téléphone tranquillement avant de venir le pousser un peu. Il en avait pas un peu marre de s'envoyer des fleurs celui-là. Au fond de toi, des fois ça te faisait rire, même si tu ne montrais rien sur ton visage.
« Fais gaffe, je vais te prendre au mot un jour ! Hum sinon niveaux parfums... Je ne sais pas trop... Je t'avoue qu'à part le salé, niveau sucré ce n'est pas mon point fort. Je te fais confiance . Par exemple quel genre de parfum toi tu aimes . Peut-être que ça pourrait aider et savoir sur quoi on peut partir, tu en penses quoi . »
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Un petit sourire
Ton charme Un semblant de vérité Tes yeux qui tournent en boucle Ta respiration qui devient Si étincelante Tu souhaites lui dire les choses Telles qu'elles le sont Mais Ta peur est si immense Que tu te caches derrière ce spectacle Un léger soupir Tes mains se posent en douceur sur tes hanches « Quoi ? Tu ne veux pas être en couple avec un si beau gosse comme moi ? Je suis si déçu ... »
Un petit rire qui s'échappe
Ce garçon Est sûrement déjà amoureux de quelqu'un
Il se recule de toi Telle la peste Une grimace s'affiche directement sur ton visage « Arrête de t'éloigner de moi, j'ai l'impression que je te fais peur et je n'aime pas vraiment ça » Alors Ephemer S'approche en douceur de toi Ses mains derrière le dos Son regard devient plus doux et rassurant
Puis En écoutant les conditions Du jeune garçon à propos de son compte Ce que tu devais faire et ne pas faire Presque Tu ressentis Un lourd battement de cœur Presque attristé par ce dont tu viens d'entendre Ton visage se penche sur ta droite Plus aucun sourire Juste un regard neutre sans émotion « D'accord je ferai ce que tu me demandes »
Quelque chose d'inattendu Se produit Un rapprochement Très surprenant
Il s'approche de toi Ton cœur qui s'affole Sur le coup Ephemer ne bouge pas d'un cil Lorsque Son doigt se pose sur ton nez Tu en profites Puis lui prendre le poignet pour ensuite L'approcher de toi « Je suis juste moi-même, j'ai confiance en moi et tu devrais l'être aussi » Juste quelques secondes Suffissent Alors Tu lui relâches le poignet Puis t'éloignes de lui te dirigeant ainsi vers la table Où sont disposés les ustensiles de cuisine
« Je .. suis désolé c'était plus fort que moi »
Ephemer sort ce qu'il faut Il regarde bien devant lui Faisant mine ne plus faire attention à son coéquipier Qui est derrière lui à ........... Tu ne sais pas vraiment Il essaie de se calmer de reprendre son souffle Il a été juste idiot de faire ........ Ce qu'il a fait
Encore plus surprenant C'est lorsqu'il te demande Ton avis comme ton parfum favori Tu te fais sans doute des hallucinations Toutefois Ephemer reste dos à lui Tu reprends ton souffle « Le chocolat sans rien avec est une valeur sûre selon moi puis au moins ce sera une recette facile pour toi puisque tu débutes encore »
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Oh que si tu aimerais être en couple avec lui. Il était après toute la seule personne qui t'avait intrigué au point de tomber amoureux. Toi qui avait fait une croix sur ça pour te consacrer à ton travail, tes études. Et lui, il était entré dans ta vie sans que tu t'y attend. Sauf que maintenant, tu ne voulais plus que celui-ci en sorte. Sauf que tu avais peur que ça arrive, à cause de ton comportement, la distance que tu mettais entre vous maintenant. Tu faisais tout ça pour te protéger, c'était ta façon de façonner ce qui te sert de carapace. Et pourtant, tu voudrais le laisser entre dans ton cœur, lui confier des choses.
Tu croisas les bras en le fixant, soupirant encore une fois se retenant de lui dire la vérité, mais ton corps, ta bouche ne voulait pas te laisser avouer que tu avais des sentiments pour lui. Au lieu de ça, comme à ton habitude, tu allais l'envoyé boulet ou nié toute chose liée à l'amour.
« Je ne veux pas être en couple tout court, peu importe la personne. »
Bien évidemment c'était faux. Tu voulais connaître ce que c'était d'être aimé et choyer par la personne qui vous aime le plus. Une chose que tes parents ne t’ont pas donnée. Tu voulais aussi prendre soin de cette personne. Tant de choses que tu aimerais découvrir. Et surtout les découvrir avec lui et pas quelqu'un d'autre.
Tu ne pouvais pas lui dire la vraie raison de ton éloignement. Tu ne voulais pas qu'il crame que tu sois des sentiments pour quelqu'un, pour lui alors que tu fais tout pour le nier. Tu restas donc planter là où tu étais avant de prendre sur toi, pour ne pas lui tousser au visage. Et lorsqu'il s'approcha de plus en plus de toi, ton visage commença à prendre une couleur rouge avant que tu ne détournes le regard étant ultra gêné. Tu finis par venir lui pousser le visage pour qu'il recule.
« Je n'ai pas peur de toi, je te rassure, juste... Je ne suis pas à l'aise avec tout ce qui est contact et proximité »
Mytho.
Tu le remercias avant de venir lui montrer ton compte instagram, limite tu posas ton téléphone dans sa main pour que celui-ci prenne ton nom. Tu voulais aussi lui demander d'ajouter son téléphone, mais aucune son ne sortais de ta bouche. Tu restas silencieux attendant qu'Ephemer rend ton téléphone. Et pour éviter laisser cette blanche durée plus longtemps qu'il ne l'ait déjà, tu pris ton courage à deux mains pour reprendre le fil de la conversation.
« Par contre tu peux me dire ton avis, quand on se voit ou... par message... »
Te revoilà maintenant proche de lui, mais impossible de fuir cette fois-ci. Tu étais encore proche de lui, toujours aussi rouge. Dans ta tête, tu te jouais la scène du baiser, toi fermant les yeux et Ephemer qui t'embrasse amoureusement. Alors qu'en vrai, tu étais gêné, sourcils froncés essayant de récupérer ton poignet. Sauf que tu n'étais plus concentré sur ta toux et celle-ci pointa le bout de son nez d'une violence, qui fait que tu t'adossas contre lui avant de venir mettre ta main devant ta bouche pour cacher les pétales que tu étais en train de tousser. Tu étais tellement dans le mal que tu ne pus lui répondre et lorsqu'il commença à partir... tu viens retenir son t-shirt. Tu ne voulais pas qu'il s'éloigne de toi, tu étais tellement dans le mal, que tu voulais son aide. Tu avais besoin d'un endroit où tu te sentais bien. Et bizarrement contre lui, c'était le cas.
Une fois que tu repris ton calme venant par la suite boire un peu d'eau pour ta gorge qui avait morflé un peu. Tu regardas en sueur Ephemer, ton souffle qui se faisait rare. Tu secouas ta tête acceptant ces excuses. En vrai, qu'il soit comme ça avec toi, te faisait de l'effet, te donnais envie de le plaquer contre le mur pour l'embrasser.
« T'en fais pas, tu ne pas agresser ou violer. Donc ne t'inquiète pas, pas besoin de s'excuser »
Tu le laissas partir vers les ustensiles, un peu triste de le voir comme ça. Tu devais faire quelque chose pour au moins changer l'atmosphère. Tu cherchas dans ta tête ce que tu pouvais lui dire. Et sans t'en rendre compte ton regard se posa sur ses fesses et pour une fois ta bouche a été plus vite que ton cerveau.
« Joli cul. »
Tu viras aux rouges avant d'agiter tes mains totalement paniquées.
« Je veux dire ton jean, il te fait... Ouais nan en fait oublie ce que j'ai dit carrément... »
Tu allas te mettre à côté de lui et depuis cet accident, tu n'arrivais plus à le regarder dans les yeux. Tu écoutas son avis, prenant note de ses goûts. Un petit sourire s'afficha sur ton visage avant de hocher la tête. Pour lui faire plaisir, tu allais partir sur ça.
« Oui vaux mieux une valeur sûre ! Donc faisons full chocolat... Chocolat au lait ou noir ? Sur, on oublie le blanc... C'est que du sucre et c'est dégueu. »
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Une magnifique proposition que Tu viens de lui proposer Mais au fond de toi Ephemer Sait pertinemment Que ce garçon ne va pas la saisir Quel dommage L'homme en face de toi Ne se doute même pas que c'est une manière Indirecte de lui demander de sortir avec toi Une moue triste Tes joues qui gonflent à entendre les pauvres mots de ton coéquipier « Quel dommage, je t'aurais bien proposé de sortir avec moi » Un regard intense Ses yeux qui se plongent dans les tiens
Regarde-le bien Ne vois-tu pas Qu'il est sérieux ............... Qu'il te bouffe limite du regard B o f Apparemment n o n
Alors Que tu te rapproches de lui Ephemer remarque en même temps
que le visage de ton ami vire au rouge Qu'il le détourne carrément dans une autre direction Un léger rire Qui te prend par les poumons Non non et non Ne te fais pas des illusions pour rien Il s'arrête à proximité de toi Hélas Très vite Ce dernier pose ses mains sur ton visage Il tente d'éloigner ton visage Tes lèvres lui embrassent la paume de la main Un large sourire Son visage se recule « Tu es certain que ce n'est que ça ? Tu es tout rouge »
Une minute de silence s'installe Heureusement Il te tend son téléphone Toujours aussi silencieux Ephemer en profite pour discrètement S'ajouter dans ta liste d'amis Voyons voir si un jour Il le remarque « Hum, tu viendras me voir alors je préfère en parler en face c'est plus ... constructif » Un petit mensonge Qui passe crème
........... Une nouvelle proximité La panique Car Il tousse Tu ressens un pincement au cœur Il se presse comme pas possible Une douleur Pourtant si éphémère Sans plus attendre Une seule seconde Ephemer te prend contre lui Ses deux mains contre ton dos Les battements qui s'intensifient Ta gorge se serre T'as mal Mais pour..............quoi
Pris de panique Tu retires tes mains de son dos et lorsqu'il est sur le point de s'éloigner de lui Tu te sens retenu Tu ne te contrôles plus Tes joues se mettent à rougir comme pas possible Ton visage se tourne Tu lui prends les mains
Tes pupilles se ferment et tes lèvres se posent en douceur sur son front Le prenant une seconde fois contre toi Incapable de dire un seul mot Juste quelques secondes Pour qu'ensuite e n f i n Tu t'éloignes de lui Dos à lui Un peu plus de calme dans sa tête Il cherche les ustensiles nécessaires pour la recette Son cœur toujours aussi fou Tes joues sont toujours aussi rouges qu'une pauvre tomate Pourtant, tu cherches à reprendre ton calme Mais Impossible Quand tu entends Que ton camarade complimente ton cul Tu éclates de rire « Ah ouais j'ai un joli cul ? Tu veux le toucher pour voir ? » Puis Finalement Il se pose à ta droite Tu poses ta tête sur son épaule « J'aime le chocolat au lait »
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Tu ne le prenais tellement pas au sérieux, c'était une évidence. Pour toi c'était le genre de mec à plaisanter sur tout et n'importe quoi. Il pouvait très bien te tendre une énorme perche, que tu ne la saisirais pas. C'est pour ça que ces avances tu ne les avaient pas du tout pris au sérieux, venant lui foutre encore un râteau.
Et puis surtout, qui voudraient sortir avec un être comme toi. Tu n'avais rien pour plaire, tu n'étais pas les gens de personne que l'on regarde, qu'on se retourne en croissant ta route. Tu étais loin d'être beau, d'être bien foutu. Tu étais loin d'être intelligent ou d'être un salaud. Tu étais limite invisible aux yeux de pas mal des gens. Et ceux depuis des années. Tu avais finit par vivre avec ça, à accepter le fait se peut être finir ta vie seule sans personne à tes côtés. C'était sans doute la raison qui fait que tu te donne à fond sur ton travail. Puisqu' tout, il ne te restait que ça qui te rendait heureux. Sans oublier que la réputation des roux était toujours présente même si c'était sur le ton de la plaisanterie, il y a en avait quand même qui le pensent vraiment.
Tu te retournas vers lui, toujours étonné de sa phrase. En voyant son visage tu te demandais s'il était sérieux ou non. S'il blaguait encore comme à son habitude. Tu ne savais plus où donner de la tête. Tu aurais sûrement reformulé sa phrase pour lui faire comprendre que toi aussi tu voulais sortir avec lui. Mais n'assumant pas ce qu'il t'arrivait depuis, tu restas silencieux, laissant un blanc planer. Ce qui veut dire aussi, dans un sens, que tu n'étais pas contre, sinon tu aurais sûrement dit non ou lâché une phrase bien froide comme à ton habitude. Mais là rien.
Et plus Ephemer se coller à toi, te toucher et plus tu devenais fou, fou de lui. Voulant l'embrasser un peu plus à chaque instant. Mais tu te refusas de faire quoi que ce soit à son égard. Du moins pas sans son consentement. Mais le pire dans tout ça, c'est que tu restas coller à lui, à le regarder dans les yeux, à le dévorer. Tu venais de te contredire, mais tu n'arrivais pas à te détacher de son si joli visage. Tu le laissas embrasser ta main devenant encore plus rouge qu'avant.
Il te rendait fou clairement. Tu n'arrivais pas à faire quoi que ce soit à ses côtés actuellement. Ton souffle était devenu bruyant et rapide. N'arrêtant pas de te mordre la lèvre pour ne pas venir prendre les siennes sur les tiennes. Une fois ta main de récupérer, tu passas tes bras autour de sa nuque, approchant ton visage du sien. Et arriver à quelque centimètre de ses lèvres, tu viens agripper fermement sa chevelure. Tu fermas les yeux, essayant de te contrôler, de contrôler cette envie, l'envie de venir le plaquer contre le comptoir. Tu finis par venir lui tirer un peu les cheveux en arrière, le fixant toujours aussi intensivement. Même si tu disais non, tes yeux ne pouvaient pas mentir pour toi. Tu le désirais.
« Arrête tes bêtises... Et de jouer avec moi. Et oui j'en suis certains bon sang. »
La bonne blague.
Tu finis à contre cœur par le lâcher, par te décoller de lui. Tu ne sentais plus son parfum, son souffle, sa chaleur. Tout était redevenue comme avant. Tout avait disparu, ce moment qui était si magique à tes yeux. Tu récupéras ton téléphone avant de venir le verrouiller et le ranger dans ta poche, sans n'avoir rien remarquer.
Tu levas la tête avant de venir réfléchir. Il n'avait pas tort, mais pour ça, tu devais savoir son emploi du temps. Au moins tu auras un peu une excuse pour venir direct le chercher devant sa classe ou voir pour l'inviter le soir. Tu imaginais déjà des choses, alors que tu n'étais même pas avec lui. Mais une chose était sûr, c'est que tu voulais encore passer du temps avec lui, tu voulais être auprès de son être à chaque instant de ta vie. Même si ce n'était que pour une heure.
« Ça marche ! Par contre, pour ça faudrait que je sache tes horaires et ton emploi du temps, ça m'éviterait de te chercher dans tout l'établissement pour peut-être rien au final. »
À cause de la suite des événements tu étais maintenant contre lui, dans ses bras et instinctivement tu fermas les yeux agrippant son haut. Tu ne voulais plus qu'il te lâche, qu'il s'éloigne de toi. Il arrivait à te calmer, à calmer cette toux qui te détruisait petit à petit. Tu ne te doutais pas à cet instant, qu'en fait celle-ci commença à guérir. C'est pourquoi, lorsqu'il s'éloigna, ton regard se fit plus triste, tel un enfant. Et c'est à cet instant que tu le vis rouge. C'était la première fois pour toi que tu le voyais ainsi et ton cœur se serra. Il battait encore plus que d'habitude. Tu étais clairement entrain de craquer encore plus sur lui. Tu serras les poings, prêt à venir lui voler un baiser, mais heureusement pour toi qu'Ephemer te devança et stoppa cette idée dans ta tête.
Tu en profitas de ce qu'il soit proche de toi, pour venir l'entourer de tes bras, collant ton corps contre le sien. Tu ne voulais plus qu'il parte. Quitte à ne pas bosser, tu voulais pour l'instant profiter de ce tendre et doux moment passer avec lui. C'était peut-être le seul alors tu voulais en profiter à fond.
Gêné par ce que tu étais en train de devenir c'est-à-dire une guimauve, tu en profitas pour t'éloigner aussi un peu de lui toussant, n'assumant pas être aussi gniangnian et adorable. Au moins, d'entendre Ephemer rigolait, couper cette atmosphère limite romantique. Tu pouvais changer rapidement de sujet et passer à autre chose... Sauf qu'au vu de sa phrase... Tu allais devoir encore patienter et surtout ne pas craquer. Pourquoi il te proposait ce genre de chose... Était il au courant que tu avais des sentiments pour lui ? Joue t-il avec ça ? Tu ne savais pas, mais serais seul avec lui, peut-être que tu pouvais te lâcher un peu. Sauf que tu n'assumais toujours pas tes paroles. Et encore moins ce qui allait suivre.
« T'es sérieux ? »
Et sans même attendre sa réponse tu viens de nouveau te coller contre lui posant tes mains sur son torse. Il te cherchait clairement alors autant à jouer à son jeu, même si tu finis de frustrer. Au moins cette complicité changeait. Au début, votre relation n'était pas fameuse du tout. Mais tu avais appris à le connaître, à l'apprécier. À ne plus vouloir le quitter. Mais surtout à l'aimer, à l'aimer comme il était. Tu l'acceptais tel qu'il était et jamais tu ne voulais qu'il change, même pour toi. Tu l'aimes ainsi.
Tu caressas un peu son torse avant de venir décaler tes mains sur ses fesses venant bien les agripper. Tu te collas encore plus contre lui, collant ton bassin contre le sien. Heureusement que tu n'avais pas de bosse, sinon il aurait senti que tu lui faisais énormément d'effet. Tu les malaxas un petit moment avant de le regarder dans les yeux.
« Ça va, mais le jean aide pas. C'est trop épais donc je sais pas s'il est aussi moelleux qu'il n'y paraît. »
Est-ce qu'il était cap de le retirer. Tu avais honte d'être aussi pervers, d'avoir envie de le voir dans son boxer bien moulant. Tu voulais limite lui mordre le cul. Tu finis par rigoler pour casser l'ambiance. Pour éviter de devenir brûlant d'envie.
« En soi un joli cul ne fait pas tout ! »
Tu viens te repositionner à la table avant de noter cette information sur lui dans un coin de ta tête. Tu allas chercher des tablettes de chocolat au lait donc avant de revenir vers lui.
« On les fait fondre au bain-marie . Pour éviter la cuisson aux micro-ondes qui nique plus le chocolat qu'autre chose. Et pour la forme tu verrais quoi . Un truc simple ou un truc un peu foufou ? »
Tu voulais lui montrer que les cours avec lui t'avait servi. Que tu avais retenu pas mal de choses. Bizarrement, tu voulais qu'il soit fier de toi.
What is it about them? I must be missing something.
They just keep doing nothing, too intoxicated to be scared.
Please don't kiss me on the sidewalk
I can't afford to love someone who isn't dying by mistake...
Aucune réponse de sa part Une ignorance Si belle Qu'un soupir s'échappe alors de tes lèvres Que dire de plus Que faire de plus Les battements de ton cœurs Eux battent sans pouvoir réellement s'arrêter Douloureux Tu souhaites comme tout oublier Mais à la fois Tu souhaites tout lui dire Les mots n'ont jamais été ton fort Les actes reflètent tellement le fond de tes pensées
Soudainement Ephemer vient se coller contre toi En douceur C'est si doux et réconfortant Heureusement Il reste lui aussi contre toi Il ne bouge presque pas C'est un moment Que tu ne voudrais Qu'il ne se brise jamais jamais Jamais jamais ............
Ephemer est clairement dans ses pensées Vos lèvres sont si proches à quelques centimètres Tu gardes ton calme Juste Tes yeux l'admirent
Toutefois
Ton visage qui valse en arrière Il attrape alors ta chevelure Sans aucun scrupule Un petit sourire Quel toupet ça te plait Terriblement « Eloigne-toi de moi sinon je vais clairement t'embrasser et je sais que tu ne désires pas »
Enfin Cette énergumène s'éloigne de toi Ta franchisse va sans doute te jouer un vilain tour Tu t'imagines déjà sa réponse Mais aussi La sensation que ton cœur se brise « Je t'enverrai ça par message »
............ Ses bras t'entourent Ton cœur ne manque pas de battre fort ça te tue intérieurement Puis Sans t'en rendre compte Ta gorge commence à te gratter Elle te supplie presque Te le jeter loin de toi non non non pas maintenant Tes lèvres se déposent sur son front Tes mains l'attrapent Il te serre encore plus fortement contre lui Une grimace qui cherche Désespérément de cacher
Un éloignement Où Il se détourne de toi
Tes yeux regardent ailleurs Partout sauf l u i Tu t'accroupis Prends rapidement Quelques ustensiles
Tes joues rougissent Cette remarque Semble t'avoir fait effet comme une bombe De plus Il s'approche de toi Pose ses mains contre ton torse Tes yeux fixent ces petites choses qui te tripotent
Encore plus rouge « Tu remarques que tu me tripotes là ? »
Ephemer attrape tes mains Te regarde quelques secondes dans les yeux Puis Sans prévenir Il te plaque contre le comptoir Son visage s'approche très vite du tien Ses joues toujours aussi brûlantes Il meurt d'envie de t'embrasser « Je ne pensais pas que tu allais rentrer dans mon jeu, t'es coincé »
Ses lèvres se posent Immédiatement sur les tiennes Son torse qui se colle sensuellement contre le tien Ephemer te prend les fesses afin de t'aider à monter sur ce dernier Ses pouces qui caressent lentement tes poignets Ses lèvres si douces se pressent de plus en plus fort Il ne souhaite pas rompre tout ça Ce moment si appréciable Ne pars pas Maintenant ................... reste avec lui
What is it about them? I must be missing something.
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IT HAD TO FALL ON ME !
People say it’s crazy what’s the loss to me, curse at me brutally, you'll lose to me
Je sais que tu ne désires pas. Si tu savais Ephemer. Si tu savais tout ce qui était en train de se passer dans sa tête actuellement. Tu te faisais limite violence pour ne pas lui sauter dessus. Et ses mots qui te troublaient de plus en plus. Tu ne savais plus s'il était sérieux ou non. Tu espérais au fond de toi qu'il l'était. Tu le voulais pour toi. Tu ne voulais pas qu'il aille dans les bras de quelqu'un d'autre. Tu n'avais aucune envie de le partager. C'est pourquoi si tu assumais clairement devant lui, tes sentiments, tu aurais sûrement répondu un : embrasse-moi idiot. Mais cette phrase n'allait jamais sortir de ta bouche. Tu préféras te voiler la face et dire des choses totalement fausse. Des mots que tu ne pensais pas.
Tu finis par lâcher sa chevelure à contre cœur. Tu voulais encore balader tes mains dans cette masse si douce. C'était agréable pour toi de venir toucher ses cheveux. D'avoir un contact si intime et tendre avec la personne que tu aimes. Même si pour toi c'était à sens unique. Si tu savais Jun. Tu t'éloignas de lui, mais ton regard le ne quitta. Tu ne pouvais plus t'empêcher de le regarder, de l'admirer. Tu le trouvais si beau.
« Ouais si tu veux pas te prendre mon poing dans la figure évite de m'embrasser. »
Tu hochas la tête approuvant l'idée d'envoyer son emploi du temps par message avant de venir buguer un peu. Car après tout tu n'avais pas son numéro de téléphone. Donc ça va être difficile de recevoir quelque chose. Et tu ne le voyais pas le faire sur instagram. C'est pourquoi tu ressortis ton téléphone de ta poche avant de lui tendre de nouveau. Et cette fois-ci tu avais eu le courage de lui demander cette chose qui pourrait t'aider à te rapprocher de lui. De pouvoir le parler chaque soir après les cours. Sauf si, il ne voulait pas te parler. Ça, ça serait un autre problème auquel tu ne voulais pas penser. Tu t’imaginais déjà, seul chez toi, à sourire comme un con devenant ton tel, à discuter de tout et de rien avec lui. D'apprendre à le connaître, de partager des choses, parler de vos points commun et pourquoi ne pas essayer de le draguer. Même si la drague ce n'était pas du tout ton fort. Tu étais clairement nul à chier à ça.
« Ça marche, mais pour ça me faudrait ton numéro de téléphone ! »
La suite des événements, allait clairement te faire perdre la tête. Te laisseras-tu aller ou bien allais-tu encore te freiner et te cacher dans ta coquille. Tu le laissas prendre quelques ustensiles, profitant de ce qu'l soit occupé pour aller chercher les tablettes de chocolat. Tu devais te focaliser sur le travail et non sur lui. Mais c'était quelque chose de difficile. Il ne te rendait pas la tâche si facile. À te coller, à être aussi entreprenant. Pourquoi il était comme ça d'un coup avec toi. Tu allais sûrement te brûler les ailes, mais peu importe, quitte à souffrir ensuite. Tu voulais profiter de ce moment, de cette proximité avec Ephemer. Car c'était peut-être la seule que tu allais avoir de toute ta vie. Et ne voulant pas avoir de regret et bien tu marchas dans son jeu. Ne te doutant pas de ce que la suite allait donner. Mais avant tu devais mettre les choses au clair. Tu ne pouvais pas rester sans réponse.
« Pourquoi tu es comme ça d'un coup avec moi ? Tu joues avec moi, avec mon cœur, mes... »
Stop Juin, ne lui avoue pas que tu l'aimes. Au moins pas encore. Il vaut mieux si tu ne veux pas tout faire foirer. Même si tu étais juste un joueur pour lui, juste pour aujourd'hui, tu étais prêt à tout, pour toi aussi profiter de lui. C'est pourquoi tu étais en train de lui caresser le torse sans aucun scrupule. Tout de fois tu ne pouvais pas le regarder en face, trop gêné de ce que tu étais en train de faire. Tu te mordis la lèvre, venant retirer son tablier pour pouvoir plus le toucher. Vu que vous étiez seul dans cette salle, tu pouvais te permettre de te lâcher. Tu savais que tu ne risquais rien, comme s'il allait répéter qu'il avait flirté avec le roux de l'école.
« Je te tripote tout de suite, j'ai juste les mains sur ton torse... »
Tu souris intérieurement avant de venir passer tes délicates mains sous son haut. Tu posas ta tête contre le haut de son torse. Tu baladais tes mains sur cette peau si douce. Là clairement tu le tripotais. Et ce que tu pouvais sentir aux bouts de tes doigts, te donnait envie. Envie de le voir nu, d'entremêler ton corps au sien.
« La oui je te tripote ! »
Tes mains furent très vite attrapées et là tu ne pouvais que regarder Ephemer dans les yeux. Tu ne pouvais pas détourner ton regard. Tu étais clairement aussi rouge que lui. Ta respiration, comme ton pouls c'était accélérer. Tu pouvais bien nier avec toutes les paroles que tu veux, ton corps lui ne pouvait pas mentir. C'est pourquoi, celui-ci étant faible à cause de l'ambiance, il se laissa plaquer contre le comptoir. Tu aimais le voir si entreprenant avec toi, de voir que quelqu'un avait envie de t'embrasser, même si c'était juste sur le moment. Tu aurais aimez-toi aussi avoir autant de confiance en toi.
Tu pouvais sentir la chaleur qu'il dégageait, comme toi actuellement. Tu avais chaud, extrêmement chauds. Et après avoir faits tomber à ton tour ton tablier, tu viens agripper de nouveau son t 'shirt. Tu étais coincé, mais dans un sens tu t'en fichais au contraire. Tu étais prêt à partager un moment intime avec lui, maintenant et ici. Même si, sûrement après avoir fini, il t'abandonnerait comme la plupart auparavant. Tu tiras sur celui-ci pour que celui-ci vienne se coller contre toi, contre ton corps brûlant, brûlant pour lui.
« Genre je suis coincé . Je peux...»
Tu ne pouvais finir ta phrase, car deux lèvres étaient des à présentes posées sur les tiennes. Tu ne savais pas trop comment réagir à ça. Mais une chose est sur, tu ne l'avais pas du tout repoussé. Tu avais encore plus viré au rouge, tu ne voulais pas qu'il te voie ainsi ce soit pourquoi ne voulant pas qu'il rompe le baiser, tu finis par lui répondre. Ta langue venant danser avec la sienne. Et lorsqu'il te posa sur le comptoir, c'est un peu paniqué que tu rompis le baiser avant de venir poser tes mains sur son torse. Stop Ephemer dans ce qu'il était en train de faire. Tu avais peur, peur de souffrir après tout tu étais extrêmement attaché à lui contrairement aux autres. Tu baissas ta tête avant de venir te mordre presque à sang ta lèvre. Tu voulais vraiment prolonger ce moment, lui dire que ton corps lui appartenait pour aujourd'hui. Mais rien n'y fait, aucun mot ne sortait de ta bouche. Tu finis quand même par prendre le dessus sur ta peur avant de venir passer tes bras autour de son cou. Passant tes mains dans ses cheveux, sans pour autant le fixer. Tu en étais incapable. Tu avais pour l'instant posé une couille sur deux sur la table, tu devais maintenant poser l'autre pour être courageux. Tu allas nicher ta tête contre son cou avant de venir lâcher une petite phrase à voix basse, mais assez pour être entendu. Car tu n'assumais pas du tout ce que tu allais dire.
« Ne détruit pas mon cœur, ne me fait pas de mal... »
C'était ta façon à toi de lui dire que tu lui offrais ton cœur. Tu avais avoué qu'il ne te laissait pas indifférent. Qu'il te faisait de l'effet, qu'il était souvent dans ta tête. Que tu avais simplement des sentiments pour lui. Espérons maintenant, qu'Ephemer ne les écrase pas. Tu avais pris un risque qui allait peut-être payer qui sait. Dans le pire des cas, tu t'effaceras encore plus à l'école pour ne pas avoir de problème ou de rumeurs.
Une fois ces paroles dites tu viens de nouveau l'embrasser sauvagement, agrippant maintenant son pantalon. Mordant de temps en temps sa lèvre. Tu avais clairement la tête qui tourne, tu étais fou de lui. Tu avais donc laissé ton corps, ton envie prendre le dessus sur ta peur. Tu voulais profiter de ce moment avec lui, alors tu te laissas aller, tu te lâchas limité. Lui révélant une partie de toi, que personne ne connaissait. Et plus tu l'embrassais et plus l'envie montée clairement en toi. Tu voulais le bouffer. Ne voulant pas lui dire, tu pouvais au moins lui faire comprendre. Tu passas donc tes mains dans son pantalon venant agripper ses fesses à travers son boxer. Un petit sourire s'afficha sur ton visage, là au moins il pouvait clairement lui dire qu'il avait un beau et bon cul. Mais tu gardas ça pour toi et en profitas pour lui mordille le cou. Il devait lui aussi assumer le fait qu'il t'avait clairement donné envie avec ces bêtises.
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Pourquoi faut-il qu'Ephemer craque maintenant Pourtant jusqu'ici ...... tu as toujours réussi à résister
Il semble perdu Perturbé par toi par ta présence quand, est-ce que ça va se finir Tes yeux pétillent tes gestes vont droit au but Tu ne fais plus marcher tes neurones Sa présence Qu'il soit si près de toi Un feu d'artifice Qui ne cesse d'éclore
Ephemer te mange du regard Il n'écoute même plus ce que tu peux le lui dire Il souhaite juste avoir de la proximité avec toi juste un tout petit peu
Lorsque toutes ces choses se mélangent dans sa tête lorsque tu ressens cette pression contre ta peau
si ardente
Un sourire se dessine il s'agrandit
à mesure que tes lèvres s'approchent des siennes elles se posent en douceur la suite ....... est comme un conte de fée Tes mains attrapent ses fesses Votre langue qui danse ensemble comme une valse
Ephemer te dépose sur le comptoir
Finit par te regarder dans les yeux Ne me dis pas que tu vois cette faim qui l'anime au fond de ses yeux ...........
Les quelques secondes d'attente Sont longues Mais ton cou est directement attaqué par ses douces mains Un silence qui semble être éternel Pourtant, très vite rompu par des paroles
Profondes qui sont d'une sincérité
son visage se cache au creux de ton cou
Ephemer Oh Ephemer Oh mon beau Ephemer Que comptes-tu lui dire Un semblant de regret Tes pouces s'agitent sur ta lèvre Il se reproche dangereusement de toi « Ton cœur si fragile .. il est à moi »
Ensuite ............ la suite Tu n'es qu'un spectateur Tu n'as aucun droit de protester de lui refuser Le plaisir est l'un des pêchers les plus douloureux
Mais à la fois Si doux Comme une perceuse Des morsures tes fesses tout ton corps brûle d'envie Alors tes dents se promènent partout dans son cou ta langue s'aventure contre sa peau chaude Quelques morsures douces et d'autres plus violentes Ephemer cherche à te marquer de quelque manière que ce soit « J'espère que tu n'auras aucun regret à ce que .. Jun tu ... » Tes joues rougissent Il ne se cache pas Ses mains se glissent vers la fermeture de ton pantalon Il l'ouvre doucement, remontant ensuite ses lèvres jusqu'à ton menton il te le mord le lèche son corps se colle sans arrêt se frotte Si ça continue Il ne pourra plus faire marche arrière
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Tu avais à la fois peur de souffrir, mais tu avais aussi cette envie de tout partager avec lui, chaque minute chaque moment intime avec lui. Tu allais peut-être souffrir par la suite, ou peut-être par mais une chose était sur c'est qu'à cet instant, ce genre de question, de penser n'avait pas sa place dans ta tête. Tu ne pensais plus qu'à une chose, ne faire qu'un avec lui. Sentir son corps contre le tien. Qu'il n'y est plus que lui et toi dans ce monde. Tu ne voulais rien d'autre que lui a cet instant. C'est pourquoi, tu avais décidé de te laisser aller et de profiter de chaque instant avec lui. Ne le repoussant pas du tout au contraire, tu pouvais lui faire comprendre, lui faire sentir qu'il te faisait de l'effet. Qu'il te plaisait.
Tu ne pouvais pas t'empêcher de rougir encore plus, d'avoir chaud encore plus en entendant ses paroles. Tu n'arrivais pas à y croire, tu avais peur qu'il te mente juste pour pouvoir te sauter tout simplement. Mais au vu de son regard, de ses gestes tellement tendres vis-à-vis avec toi, tu effaçais cette pensée pour laisser place à un sentiment de bonheur. Tu le dévoras toujours du regard, il ne savait pas à quel point il était en train de te rend aussi rayonnant tel un soleil. Même si tu n'osais pas afficher ce que tu ressens, comment tu étais actuellement. Tu étais clairement le mec le plus heureux de la terre. Tu viens glisser tes mains dans son dos, venant toucher sa peau de beau de tes doigts. Tu étais prêt à lui offrir clairement ton cœur.
« Alors prends en soin. »
Tu n'allais lui dire que oui, il lui appartient. Tu préféras dire autre chose pour lui faire comprendre comme à ton habitude. Et la suite ne t'aidait en rien à te calmer au contraire. De sentir ses dents puis sa langue contre ta peau te provoquait des sensations, de l'excitation. À force qu' te torture ainsi, de cette façon, tu commençais à être serré au niveau de ton pantalon. Tu ne pouvais plus le cacher, te retenir, ton corps avait déjà lâcher prise. C'est pourquoi tu faisais tout pour qu'il ne regarde que toi, ton visage et non ton entre jambes. Tu le laissas se balader encore et encore sur ton cou, venant agripper son haut, respirant de plus en plus fort. Et lorsqu'il te mordit un peu plus fort, tu lâchas un petit gémissement venant te coller encore plus à lui.
Tu finis par venir le regarder totalement en âge. Totalement déboussoler par lui, par ses gestes, ses actions. Tu posas ta main sur ton visage pour le cacher avant de venir timidement tirer sur son t 'shirt. Tu finis par le regarder avant de venir le relever. Tu voulais voir ce corps qui te donnait autant avis. Tu voulais toi aussi le marquer, mais pas au niveau de son cou. Dans un endroit bien caché de la vue de tout le monde. Tu voulais toi aussi qu'il ne soit qu'à toi et à personne d'autre. Tu relèves la tête avant de venir à ton tour retirer ton haut à ton tour. Etant seul avec lui tu osais te mettre un peu à nu.
« Aucun regret à ? »
Tu allas nicher ta tête de nouveau contre son cou tant un peu gêné de voir Ephemer, main poser sur ton pantalon. Tu savais très bien ce qui allait se passer. Tu ne voulais en aucun cas lui dire stop, mais tu n'osais faire quoi que ce soit. Après tout pour toi, il méritait mieux, pourquoi il voulait coucher avec un être tel que toi. Tu lui étais à lui et à jamais. Tu lui attrapas le visage avant de venir l'embrasser sauvagement, mordant sa lèvre au passage. Et lorsque tu sentis son bassin se frotter contre ton entre jambes. Tu n'avais plus qu'une envie, tu voulais le sentir. Tu posas timidement à ton tour, ta main sur son pantalon. Tu continuas de le torturer à coup de baisers venant caresser sa bosse. tu aurais aimé lui dire, qu'il te prenne, mais comme tout, tu n'osais pas. Mais tu connaissais un bon moyen de lui faire comprendre. Lui donner encore plus envie, lui donner encore plus chauds. Étant à bonne hauteur tu commenças à venir lui lécher ses tétons, à venir les mordiller. Et une fois de plus tes mains se dirigèrent vers ses fesses pour venir les agripper fermement sous les tissus, ayant maintenant plus de facilité. Tu ne voulais pas qu'Ephemer se décolle de toi. Tu voulais qu'il continue à se frotter contre toi. Appuyant bien sûr son bassin pour le sentir encore plus.
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Un doux parfum d'amertume toutes tes pulsions les plus enfouissent ressortent plus fortes qu'avant tes mots, ont cette fois-ci aucun sens tu n'arrives plus à aligner deux mots sembles avoir peur de la suite as-tu peur d'avoir des regrets trop lourds à porter trop douloureux à supporter et pourtant, Ephemer ne cherche plus à fuir ses envies
son corps brûlant se frotte sans arrêt contre le tien cette peau si douce
cet homme en face de toi te met dans un état presque ......incontrôlable
ce désir se fait ressentir à travers tout ton corps ces baisers si sensuels si intenses tes lèvres se font mordre ce goût du sang tes mains se glissent le long de son dos comme par vengeance ses ongles lui marquent la peau Et ensuite ......... Ephemer vient lui mordre le lobe droit puis le lui lèche collant au même moment tout son corps il ne laisse aucun espace entre eux deux
Ephemer tente de résister de toutes ses tripes Tu as peur cette peur de lui faire du mal alors qu'au fond, tu sais déjà ce que tu ressens pour ce garçon Tes yeux se posent un instant sur lui Son visage vient en douceur se poser au creux de son cou
« Je pense que je t'aime bien » une merveilleuse mélodie dite tout doucement sans doute ne l'a-t-il pas entendu ............. Ephemer ne l'assume pas après ses dents se précipitent le long de son cou ses lèvres se pressent contre
subtilement quelques suçons apparaissent
et ses mains se posent sur l'entrejambe de ce garçon il frotte ses doigts contre le tissus
Toutefois Ephemer se fait attaquer à son tour sa peau se faire mordre puis ensuite lécher ses fesses quant à elles se font aggripper immédiatement tes mains lui attrapent les poignets le faisant ensuite basculer en arrière
Ephemer te regarde quelques instants sans dire un seul mot quelques secondes qui semblent être si longues
............ « J'ai une terrible envie de te prendre » toutes ces provocations ne cessent de le tourmenter de le torturer
à cet instant précis, ses mains se posent sur l'unique bout tissu qu'il lui reste encore sur la peau Ephemer l'enlève en douceur venant ensuite l'embrasser puis lui lèche la lèvre tout continuant tout de même à se frotter contre lui
Une fois ceci fait Ephemer te caresse le dos descend jusqu'à tes fesses et les prend fermement dans ses mains « Tu as encore une chance, tu peux encore faire marche arrière Jun »
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À chaque caresse chaque geste qu'il faisait subir à ton corps, était une torture, un plaisir que tu ressentais au plus profond de toi. Un geste que tu voulais encore et encore contre toi. Tu voulais qu'il caresse tout ton corps dans le moindre recoin. Tu voulais qu'il te chauffe encore plus, même si tu étais déjà brûlant à l'heure actuelle. Tu voulais sentir sa peau si douce contre toi, sa poigne autour de ton sexe, ses lèvres contre les tiennes. Tu voulais être en extase. Il était à cet instant, ta drogue.
Tu ne pouvais t'empêcher de frissonner, de te cambrer tellement il savait y faire avec ton corps si chaud, si faible face à lui. Il arrivait en peu de temps, en peu de mouvements, à réveiller tes zones érogènes. Zone qui libéra encore plus d’excitation, d'envie vis-à-vis de ton crush. Que s'il continuait à passer ses doigts sur ton corps comme il le faisait, tu n'allais sûrement plus pouvoir te contrôler. Venant limite réclamer qu'il ne fasse plus qu'un avec toi. Même si tu étais un gros tsundere, ne voulant pas avouer tes sentiments, n'assumant pas aimer Ephemer enfin surtout devant lui, devant les gens.
Il y a des moments où tu ne pouvais pas retenir tes envies, tes réactions. Et clairement la situation actuelle, aller montrer une autre facette de toi à Ephemer. Cette facette qui te faisait honte. Qui te faisait limite passer pour ce que tu n'étais pas, pour un pervers. À tel point que lorsqu'il te marqua le dos avec ses ongles tu ne pus t'empêcher de lâcher un petit gémissement avant de venir lui tirer les cheveux pour faire pencher sa tête. Avant de venir lui prendre les lèvres violemment contre les tiennes pour l'embrasser avec fougue. Et par la même occasion, par la suite, venir lui faire un suçon dans le cou, pour marquer un peu son territoire. Tu ne voulais en aucun cas qu'il aille voir ailleurs, même s'il n'était pas amoureux de toi, tu voulais qu'il ne couche qu'avec toi. C'est pourquoi tu lâchas une petite blague avec une arrière-pensée.
« Je marque mon territoire. »
Tu étais prêt à rigoler avant de venir sourire tendrement en le voyant se caler contre toi. Ce qu'il pouvait être si mignon... Ton cœur en guimauve n'arrivait pas à ne pas craquer devant lui. Il te rendait clairement fou. Il arrivait à être sexy, comme à être charmant, doux... Il était si parfait et pas que physiquement. Tu penchas un peu la tête sur le côté, ne sachant plus trop comment réagir, car tu étais en train de rougir. Tu étais soulagé qu'il soit contre toi, qu'il ne voit pas ta réaction. Même si ce n'était pas un simple je t'aime, tu étais heureux de savoir qu'il t'aimait bien. Car leurs relations au début n'avaient pas été si simples.
Tu étais prêt à lui répondre, mais tu sentis que celui-ci était en train de te faire des suçons, ce qui te laissa perplexe. Car s'il l'aimait juste bien, pourquoi faisait il ça. Tu viens, une fois qu'il avait fini de te marquer, par lui attraper le menton pour qu'il te regarde droit dans les yeux. Tu devais sûrement être sexy à cet instant, toi, presque nu, avec les marques qu'il t'avait faites.
« Tu m'aimes bien et pourtant tu me marques comme si tu ne voulais pas me partager. Tu veux sûrement être le seul à profiter de moi, de ce corps si brûlant, n'est ce pas ?»
Tu faisais le malin, mais la suite, de voir Ephemer te dominer encore plus, avait réussi à te faire fermer la bouche, à ne plus être aussi sur de soi, à être de nouveau rouge. De le voir comme ça, qu'il t'attrape les poignets, pour être à sa merci... Il te rendait clairement dingue. Tu te laissas faire, comme si tu étais sa chose à cet instant. Tu n'étais rien qu'a lui... Jusqu'à ce qu'il le veuille. Tu te mordis la lèvre remontant un peu ton genou contre l'entre jambes d'Ephemer, appuyant sur sa bosse pour lui faire comprendre que toi aussi, tu voulais qu'il te prenne.
« Tu attends quoi alors . »
Même si tu étais un peu gêné rien qu'a l'idée de te retrouver nu dans cette pièce, qu'on pouvait vous surprendre, tu le laissas retirer ton boxer. Tu ne voulais en aucun cas arrêter, il en était hors de question. Tu avais attendu ça depuis si longtemps, de partager un moment intime avec lui. Et l'ambiance qui s'était installée entre vous était trop précieux pour que tu la rompes. Tu passas tes bras autour de son cou et prolongeas un moment le baiser. Continuant à lui dévorer la peau, à goutter à ses lèvres, n'arrivant pas à t'arrêter, tu sursautes en sentant ses mains glisser le long de ton dos. Et lorsqu'il agrippa tes fesses, tu le regardas dans les yeux totalement sérieux. Tu souris avant de venir passer tes mains dans le pantalon ainsi que dans le boxer du jeune homme. Tu attrapas son manche comme tu le pouvais avant de commencer à jouer avec son gland. Tu ne le quittas pas du regard, tu étais clairement entrain de lui montrer que tu ne voulais pas faire marche arrière. Tu lui donnas ton feu vert pour qu'il vienne s’emboîter en toi. Tu serras un peu plus ta poigne pour lui donner encore plus envie.
« Il est trop tard pour faire marche arrière… Parce que clairement, je veux te sentir Ephemer. Te goûtais. Prends moi »
Tu viens nicher ta tête contre son torse, continuant tes caresses. Tu voulais le faire craquer, tu voulais qu'il te retourne sur le bureau et qu'il te prenne sauvagement. Tu fermas un peu les yeux avant de murmurer tendrement.