Forum définitivement fermé. Merci pour cette belle aventure. <3
B L O O M into me
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FORUM FERMEdéfinitivement. merci pour les souvenirs !
l'amour fleurit et flétrit, il est comme une fleur qui passe et trépasse avec le temps. l'amour ne dure qu'un instant, qu'un moment ; c'est ce qu'on dit, qu'il est éphémère, comme la vie, comme la pluie. et pourtant, malgré ce moment si court durant lequel on aime, cela peut suffire à tuer ; et ça vous rend malade, d'aimer sans être aimé en retour, et ça vous tue le coeur et l'âme - littéralement. vous avez envie de vous échapper, d'arrêter ça, et c'est votre poitrine qui se gonfle, vos poumons qui s'emplissent ; et vous toussez, encore et encore. et ce sont des pétales de fleurs qui tombent lourdement sur le sol pâle. auckland. juillet 2023, hiver. Lire la suite
21.07.23réouvertue du forum, recensement, et petit évent (www)04.01.23fermeture temporaire du forum, ceci dit, on revient vite !10.08.22nous soufflons nos bougies à plein poumons et souhaitons un bon anniversaire à bloom et qui dit anniversaire dit nouveautés (www)01.08.22tous des stars grâce à insta(r)gram (www)27.06.22les choses se compliquent et les rumeurs voient le bout de leur nez (www)13.06.22nouvelle màj dit nouvelles informations à retrouver juste ici14.02.22on profite de la joie, de l'amour et de la nourriture gratuite pour la saint valentin (www)26.01.22tom cruise en sueur, le forum réouvre pour sa V3 avec son lot de news à retrouver ici.27.10.21tou beau tout chaud, prêt à braver la chaleur de l'été, voici les nouvelles juste ici10.08.21bloom ouvre ses portes ❤
What is it about them? I must be missing something.
They just keep doing nothing, too intoxicated to be scared.
Please don't kiss me on the sidewalk
I can't afford to love someone who isn't dying by mistake...
Est-ce que tu vas regretter tes actes seulement si ce n'est pas réciproque parce qu'actuellement, tout ton corps brûle pour lui si c'est ardent intense inoubliable car non seulement Ephemer s'ouvre à ce garçon mais lui aussi semble petit à petit, sur le point de le faire à son tour
ta langue se promène littéralement partout sur sa peau si douce comme un bonbon il lui croque la chair se collant en même temps contre lui tes ongles se plantent sans aucune retenue dans son dos un gémissement de la part de Jun qui sur le coup le rend totalement rouge d'excitation ephemer ne peut à ce moment-là s'empêcher de sourire comme satisfait de son acte tel un gosse en quelque sorte
ta chevelure se fait attraper et tes lèvres sont prises d'une telle violence que tes mains se posent contre sa nuque ephemer prolonge ce baiser torride ensuite, sans que tu ne puisses faire quoi que ce soit ton cou est marqué par un suçon
« Ah ouais tu ne veux pas qu'on me touche ...je ne te savais pas aussi possessif. J'aime »
clairement tu adores toutes ses réactions on dirait vraiment un petit enfant c'est si adorable
mais le plus difficile sur le moment a été de lui dire une partie de tes sentiments tu n'attends pas longtemps afin de te cacher dans le creux de son cou ensuite, tes lèvres viennent lui sucer la peau du cou ephemer désire lui aussi le marquer juste histoire de lui faire comprendre les choses mais, il n'assume certainement pas surtout lorsqu'il lui fait la remarque
« Au début je ne pensais pas à ça, mais au fil des semaines j'ai voulu plus qu'être ton collègue, donc oui »
mais pourquoi ton cœur palpite si fort tes mains attrapent ses poignets tu le balances en arrière et lui, commence à jouer avec tes parties intimes ephemer comprend alors très vite qu'il ressent exactement la même envie que lui
« Je vais faire en sorte que tu ne puisses plus te passer de moi Jun » sa main lui retire le boxer ensuite elles se glissent le long de son dos pour finalement lui prendre les fesses tes yeux se plongent dans les siens un large sourire tes joues doivent être actuellement toutes rouges
puis vient le moment où ephemer sent son entrejambe prise chaque mouvement lui donne encore plus envie quelques gémissements s'échappent il se mord très fort la lèvre jusqu'à prendre ses cuisses et les écarter sans le prévenir
un sourire presque incontrôlable sur le point de le pénétrer ephemer entend les mots de Jun il lui prend par le menton le regarde dans les yeux puis vient l'embrasser tendrement pour finalement lui dire avec un énorme sourire
« Tu veux que je sois qu'à toi ? Alors prouve-le moi ... »
Puis rapproche en douceur son sexe le colle contre le sien faisant ensuite juste quelques mouvements pour ensuite l'enfoncer d'un coup
ephemer reprend ses fesses dans ses mains commençant par la suite à faire quelques mouvements doux ses lèvres lui chopent le cou tu le lèches puis le mords si fort que presque tu ne laisserais pas quelques marques à sang Tu ressens tellement de désir qu'il continue sans aucune pause ses mouvements
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IT HAD TO FALL ON ME !
People say it’s crazy what’s the loss to me, curse at me brutally, you'll lose to me
Oui tu ne voulais en aucun cas le partager avec qui que ce soit. Tu voulais qu'il ne soit qu'à toi. Après tout, tu avais tant rêvé de ce moment, de cette intimité avec lui, que maintenant, ayant ces deux choses, tu ne voulais pas qu'il fuie, qu'il soit ainsi avec quelqu'un d'autre. Tu étais égoïste à tel point que tu allais tout faire pour que personne ne s'approche de lui. Il s'agissait d'Ephemer, ce n'était pas n'importe qui. C'était ton rayon de soleil qui réchauffait ton cœur avec ce merveilleux visage, ce joli sourire qui te faisait tant craquer. Tu voulais qu'il reste près de toi jusqu'à ta mort, que ce moment soit mis en pause dans la réalité pour pouvoir être auprès de lui encore et encore. Tu étais clairement dingue de lui et maintenant.... Accro à lui, à ses gestes, à son corps. Tu auras sûrement du mal à te séparer de lui. Tu grognas un peu avant de venir lui mordre plus d'une fois son cou
« Bah ouais, on est en train de niquer là, ça me ferait chier de savoir que je ne suis pas le seul et que tu vas voir ailleurs. Je ne me donne pas à n'importe qui. »
Tu ne te donnais à personne surtout sauf à lui. Il était le seul à avoir réussi cet exploit. À pénétrer ta carapace, à te montrer des choses, à te faire ressentir du plaisir. Tu l'avais laissé entrer dans ta vie, comme dans ta zone se confond. Et maintenant tu ne voulais plus qu'il en sorte. Tu ne pouvais t'empêcher de venir coller ton corps contre le sien, le serrer fort contre toi, par peur qu'il s'en aille. Que ce moment ne soit que le fruit de ton imagination et que tu étais en train de dormir. Tu caresserais chaque parcelle de son corps, pour te prouver qu'il était vraiment là, devant toi.
Tu passes tes mains dans sa chevelure avant de le fixer intensément. Tu viens guider sa tête jusqu'à ton cou pour lui faire comprendre qu'il pouvait te marquer autant qu'il le voulait. Qu'il pouvait être plus qu'un simple collègue. Que tu n'étais clairement pas contre. Tu voulais sentir ses lèvres contre ta peau. Qu'il la maltraite pour montrer que tu n'étais qu'a lui et n'a personne d'autre. Tu étais sa chose.
Un petit sourire s'afficha sur ton visage, continuant de lui montrer que toi aussi tu avais envie de lui. Que tu ne le considérais plus comme un collègue. Que sa queue qui était entre tes mains, te donner envie, t'exciter encore plus, tellement elle était grosse. Il était si parfait à tous les étages. Tu savais étant serré en bas, car n'ayant jamais eu de rapport à part des préliminaires, que ça allait être quelque chose pour vous deux. Que tu allais bien la sentir et que lui allait éprouver plus de plaisir en sentant ta chair se refermer contre sa virilité.
Comme s'il fallait que vous couchiez ensemble pour que tu ne puisses te passer de lui. Si tu savais Ephemer. Tu étais déjà accro à lui. Que tu inventas généralement des excuses bidon pour le voir, pour passer du temps avec lui. Comme cette histoire de chocolat. Même si au final tu lui aurais donné. D'ailleurs en parlant de chocolat, tu viens mettre un peu ta main dans le bol avant de venir la porter à la bouche d'Ephemer pour qu'il la lèche. Tu voulais qu'il te regarde d'une façon dépraver, que sa langue sur ta peau te donner encore plus chauds. Tu en profitas de ce qu'l est la bouche occuper pour venir lui glisser sensuellement une réponse qui allait sûrement lui plaire.
« C'est peut-être déjà le cas qui sait, mon mignon. Tu sais ce que j'aimerais ? Que quand j'aurais envie de toi ou toi de moi, qu'on le fasse, peut importe le lieu, l'heure. Peut-être qu'avec ça, je devrais fou au point de ne plus me passer de toi qui sais. »
Tu étais totalement rouge à cause du plaisir, mais aussi parce que tu n'assumais clairement pas l'idée que tu venais de lui donner. Mais tu avais exprimé une envie, cette envie de le voir encore et encore, de faire l'amour une nouvelle fois avec lui. Tu voulais qu'il te dévergonde, être un dépravé pour lui, pour son plaisir. Tu voulais essayer tant de chose pour lui faire plaisir. Comme par exemple, l’emmener aux toilettes avec toi pour lui procurer une gâterie entre deux cours. Il te rendait tellement fou, que tu devenais de plus en plus un pervers, un cochon.v
Tu finis par le lâcher avant de venir poser tes mains sur le tableau pour pouvoir mieux de soutenir. Tu ne le quittas pas du regard. Limites tu le défiais, tu voulais voir s'il allait tenir encore un peu plus longtemps ou s'il allait te prendre là maintenant? Tu le laissas faire, car tu avais confiance en lui, même si tu ne savais pas s'il était du genre doux ou non. Mais au fond de toi, tu sentais qu'il ferait attention, qu'il ne te fera pas de mal.
Tu rougis un peu gêner d'être totalement nu devant lui. Toi qui n'aimait pas ton corps si frêle. Tu ne pouvais pas t'empêcher de la mater, lui qui avait ce corps dont tu avais toujours rêvé. Tu prolongeas le baiser, un baiser si tendre, qui te rassura sur le fait que ton corps lui donnait envie. Il arrivait à faire tant de chose pour toi, sans utiliser le moindre mot. Tu passas tes bras autour de son cou, ne voulant plus le lâcher avant de le fixer. Il te cherchait clairement... Tu aurais aimé lui dire clairement les choses, mais ta bouche n'arrivait pas à sortir les mots. Tu n'arrivais pas à lui dire qu'il te plaisait, qu'il te rendait fou, que tu l'aimais carrément. Il avait peur que pour l'instant, tu eusses juste l'impression d'avoir juste envie de Ken avec lui alors que tu voulais largement plus.
« Marque moi partout, salis- moi, fait de moi ta chose... »
Tu viens te cambrer avant de lâcher un long et fort gémissement plus de douleur que de plaisir, te mordant la lèvre en sentant le sexe d'Ephemer en toi. C'était si étroit, que tu n'avais pas réussi à retenir quelques larmes qui étaient en train de couler le long de ta joue. Tu viens lui choper le menton fermement avant de le regarder. Si ce n'était pas Ephemer, la claque serait partie.
« SOIS DOUX ! IDIOT... »
Tu aurais pu lui donner la raison, mais tu avais honte, alors tu la gardas pour toi, au plus profond de ton esprit. Et vu que maintenant c'était fait, tu ne voulais pas qu'il arrête par peur ou autres. Tu posas ta main sur ton torse pour lui dire d'arrêter le temps que la douleur passe un peu sinon à part te voir grimacer il n'y aurait rien d'autre. Tu le regardas et allas lui voler un baiser langoureusement, pour lui faire comprendre qu'il n'avait pas à s'inquiéter, que tu voulais continuer.
« Vas-y en douceur s'il te plaît... »
Tu fixas son bassin, son entre jambes qui disparaissait à chaque coup de rein. Encore étonné qu'il avait réussi à tout rentrer. Il commençait à bouger en douceur, il t'avait vraiment écouté, ce qui te toucha au plus profond. Et au fil des minutes, des secondes, tu commençais à ressentir du plaisir. Ton corps devenant encore plus brûlant qu'il ne l'était déjà. Tu posas ta tête contre le torse d'Ephemer essayant de retenir tes gémissements, mais c'était dur, surtout lorsqu'il commença en plus à te torturer de nouveau ton cou. C'est pourquoi tu viens poser ta main sur ta bouche, pour te faire taire, bougeant ton bassin, pour qu'il y aille plus fort et plus vite. Qu'il aille jusqu'au fond, quitte à ne plus savoir marcher après. Et pour lui faire comprendre, il n'y a rien de mieux que de venir lui pincer le téton.
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Tu ne le savais point possessif au fond, ça le rend encore plus craquant ça te donne encore plus cette envie de le dominer jusqu'à la .......... fin de ta vie
de plus elle devient suffisamment forte pour être incontrôlable
que même tes lèvres ne peuvent se poser autre part que sur sa peau que ta langue se promène comme bon lui semble un petit sourire tes mains qui se posent sur ses hanches Ephemer regarde l'expression de ton visage en d é t a i l sérieusement depuis quand cet homme ce Jun était-il capable de dire ce genre de chose face à toi « Pas ... à n'importe qui .. ce qui veut dire que je suis spécial à tes yeux Jun ? » ça t'excite tellement de le savoir aussi jaloux tu te caches même de lui dire que tu ne couches pas avec le premier venu car tu apprécies bien être à ses yeux comme mystérieux qu'il ne puisse pas tellement te comprendre
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Tes ongles viennent tout d'abord lui griffer les épaules pour ensuite qu'ils se glissent jusqu'à ses cuisses son torse qui se colle d'un coup contre le sien sa bouche qui prend sans aucun répit les lèvres de Jun il l'embrasse, tout en le marquant quelques zones du corps quand soudainement ce dernier trempe entièrement sa main dans le chocolat Ephemer ressent en un rien de temps une forte excitation alors il prend son poignet et commence alors à entourer chacun de ses doigts autour de sa langue afin de lécher le liquide tout coulant et en même temps son autre main vient caresser son torse son doigt qui effleure son ventre puis ses tétons jusqu'à d'un seul coup venir en choper un pour tirer un douceur dessus
toutefois sans vraiment se contrôler ses doigts lui mordent les doigts en douceur bien évidemment son visage remonte « après notre séance tu ne seras plus capable de marcher J u n » --------------- une fois que vous êtes tous les deux nus Ephemer observe son corps tout frêle tout fragile tu as cette envie de le protéger que personne ne le touche que même personne ne l'effleure .......
que personne n'atteigne son cœur avant toi
un moment de doute où son visage se dirige vers son ventre il le mord remontant jusqu'à ses tétons afin de les mordre à leur tour tout doucement ses mains quant à elles lui chopent les mains Ephemer les plaque en arrière poursuivant ensuite son affaire pour après, une fois fini, se dirige jusqu'à ses belles lèvres chaudes les sucer ......... et presser ses lèvres contre
Toutefois la suite des choses passent à toute vitesse ses jambes qui sont écartées il dirige son entrejambe contre l'anus de Jun puis le pénètre sans vraiment faire attention à lui puisqu'il pense à ce moment-là qu'il n'est en aucun cas puceau
hélas ton geste a été si violent
qu'il te demande d'y aller en douceur de plus voyant son visage grimaçant tu ne peux t'empêcher de venir lui embrasser le front puis viens lui chuchoter quelques mots à l'oreille « excuse-moi j'étais beaucoup trop excité »
ephemer arrête ses mouvements juste le temps qu'il reprenne ses esprits tu es beaucoup trop excité tellement que tu n'as même pas fait attention à ton partenaire ce n'est pas habituel de ta part un petit sourire la patience est la clef de tout alors quand tu aperçois que tu peux à nouveau reprendre tu le pénètres plus doucement même si clairement tu souhaitais y aller bien plus vite
puis tu viens encore et encore lui attaquer son cou le mordre, le lécher continuellement, sans t'arrêter
ses gémissements qui atteignent en un rien de temps tes oreilles ça te torture
ephemer remarque que son coéquipier bouge son bassin un signe sans doute qui signifie sans doute que tu peux y aller encore plus vite il ne s'en prive pas en le pénétrant de plus en plus fort lui chopant par la suite son sexe afin de le procurer encore plus plaisir tu veux l'entendre gémir qu'il transpire encore plus
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Tu le regardas dans les yeux, totalement rouge, à cause de ton excitation qui grandissait à chaque minute, a chaque caresse, chaque geste qu'Ephemer faisait sur ton corps. Tu ne lui répondis pas, tu n'assumais pas encore de pouvoir lui dire ce que tu avais au fond de toi, au fond de ton cœur. Tu n'arrivais même pas à lui dire, ne serait-ce, qu'il te plaît, alors qu'il était spécial pour toi... C'était peiné perdu. Tu étais devenu muet n'en a rien de temps, mais au moins pour faire passer le message tu pouvais lui faire comprendre avec des gestes. C'est pourquoi tu viens lui choper ses cheveux avec ta main et s'en prendre le temps de le prévenir ou quoi, tu viens lui voler un long baiser assez sauvage comme si tu allais le bouffer avant de venir mordiller celle-ci. C'était ta réponse. Il était spécial au point de faire des choses avec lui, au point de te lâcher.
Tu ne pus t'empêcher d'afficher un petit sourire caressant son torse. Il s'était donné un défi, comme il était mignon. Tu avais tellement hâte de voir ce dont il était capable pour comme il le dit: « tu ne seras plus capable de marcher ». Tu voulais voir, sentir même, ce qu'il te resservait. Il avait réussi encore une fois à éveiller ta curiosité, à te faire encore plus craquer. Ton cœur battait si fort que tu avais l'impression qu'il allait sortir de ta cage thoracique. Mais ce qui t'étonna le plus, c'était que depuis que tu étais intime avec Ephemer, que tu étais nu coller à lui, aucun pétale n'était sortie de ta bouche. Tu étais loin d'être idiot, tu avais remarqué ta fleur sur le poignet de celui-ci. Clairement là, tu brûlais d'envie de savoir si toi aussi tu avais sa fleur, si lui aussi avait un béguin pour toi. Le hic c'est que tu ne savais même pas, quelle fleur il avait. Il était tellement mystérieux que tu ne l'avais jamais vu tousser ou cracher. Il était si impassible, si fort, que tu l'envies énormément depuis pas mal de mois maintenant. Tu aurais aimé être comme lui, être un beau mec viril, musclé, n'ayant peur de rien.
« Ah oui vraiment ? Je demande à voir! Montre moi que tu vas le casser au point de devoir me porter jusqu'à ma chambre tel un prince charmant! »
Tellement charmant que tu n'arrivais pas à lui en vouloir pour quoi que ce soit. Même lorsqu'il était entré son sexe en toi d'un seul et unique coup. Même si tu avais eu mal. Tu l'aimais trop pour lui faire la gueule. Tu le laissas faire, aimant ses gestes si doux, le fait de te consoler à sa manière. Tu te sentais si bien près de lui. Il t'avait à cet instant, enfin avant de te pénétrer, fait connaître ce que c'était la douceur, les signes affectueux envers quelqu'un... Un jour tu lui diras de vive voix, tu le remercieras pour tout ça, pour lui avoir montré qu'il y avait au moins une personne qui s'intéressait à toi. Il ne faut pas le croire, mais ça te touchait énormément, qu'Ephemer soit dans ta vie, dans tes liens et dans ton cœur. Tu rigolas un peu avant de venir lui pincer un peu fort son téton et le regardas dans les yeux.
« Espère de pervers va ! Retiens toi un peu. »
Tu viens l'embrasser langoureusement pour l'exciter, le mettant limite au défi, d'essayer de se retenir même sous la pression de tes baisers, de tes morsures. Allait-il craquer ou bien y allait en douceur ? Tu aimais le torturer et que s'il ne tenait pas le défi, ce n'était pas un mauvais point, car tu voulais qu'il soit sauvage avec toi, qu'il s'enfonce au plus profond de toi. Qu'il te pénètre sauvagement comme si c'était la dernière fois qu'il pouvait le faire. Qu'il arrive a créé un manque en toi, au point de venir plus tard lui réclamer de venir de prendre n'importe où sans même passer par les préliminaires. Il avait réussi à te faire devenir dépraver en si peu de temps. Tu voulais qu'il te prenne partout, voire même en public. Mais pour l'instant, tu voulais qu'il continue de te ramoner sur la table. Tu approchas ton visage de son oreille avant de venir la mordiller pendant plusieurs minutes. Tu n'avais pas oublié l'envie de le faire craquer, de voir ce dont il était capable.
Et étonnamment, Ephemer revient en toi mais plus doucement cette fois-ci. Il était si chou, de tout faire pour que tu sois bien, tu es à l'aise. Il était si parfait que tu te demandais pourquoi il avait envie de coucher avec toi, alors que tu es banal, voire même en dessous. Tu passas tes mains autour de son cou gémissant toujours près de son oreille. Tu n'arrivais pas à te retenir et encore plus lorsqu’il commença à accélérer la cadence. Tu avais eu ce que tu voulais, qu'il vienne te prendre plus fort. Et c'est sans le regarder, sans le dire à voix haute, que tu lui demandas d'y aller plus fort, plus vite. Surtout lorsque tu sentis sa main sur ton pénis et qu'il commença à te branler. Tu cambrais souvent ton corps venant poser tes mains sur ton visage. Tu étais gêné, gêné d’éprouver autant de plaisir. À tel point que tu te mordis la main pour étouffer tes gémissements, de peur que l'ont vous entendez.
Tu finis quand même par venir le regarder dans les yeux, posant ta main sur son torse pour lui dire stop. Tu étais tellement gêné que tu voulais changer de position, tu ne voulais pas qu'il te voie ainsi, dans cet état. C'est pourquoi tu le poussas un peu pour qu'il vienne se retirer et pour qu'il te laisse assez de place pour prendre une autre position. Tu te laissas glisser un peu sur la table avant de venir poser tes pieds par terre. Tu replaças un peu tes cheveux avant de venir te mettre dos à lui. Tu t'adossas contre la table, te penchant pour venir mettre ton corps dessus. Tu écartas les jambes pour lui faire de la place avant de venir le regarder totalement rouge, mains sur tes fesses que tu avais écartées pour lui montrer ce que tu voulais.
Tu voulais lui dire de te prendre mais tu en étais incapable, tout ce tu arrivais à sortir de ta bouche c'était des bégaiements.
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ephemer lui touche délicatement la peau ses lèvres son cou chaque partie de son corps si chaud
comme une sensation de renouveau tu ne peux t'empêcher de le vouloir entièrement
tu ne peux t'empêcher de goûter chaque parcelle de sa chair impossible de te contrôler ce qui te semble si étrange si impensable t'as peur de ne plus pouvoir revenir en arrière d'avoir quelques regrets mais ton cœur te chuchote de continuer de ne plus te retenir
------------- « tais.. toi.. tu m'excites de trop là.. »
oui cet homme commence sérieusement à le mettre à bout beaucoup trop forte cette envie de le dominer de en plus en plus féroce
ses mains lui prennent les cheveux les attirent à l'arrière son regard transperçant le sien ses dents pointus s'accrochent à sa peau de son cou du bout des doigts, caresse ses fesses
tu deviens doux tentant de ne pas lui faire mal de ne pas être une brute ses mains lui caressent son torse nu puis elles se dirigent comme par réflexe vers son sexe ephemer la caresse tout en continuant ses mouvements d'abord en douceur puis petit à petit de plus en plus fort
« t'as qu'à arrêter ... de ... d'être aussi attirant »
une fois ses lèvres qui se touchent aux siennes un baiser si fougueux qui lui hérissent les poils des bras
il passe ses bras autour de ton cou gémit près de ton oreille une bonne manière de lui donner encore plus envie de s'enfoncer en lui encore et encore plus en profondeur
et c'est ce dont tu vas faire au bout de quelques minutes sous la pression de Jun c'est de sa faute
il semble gêné son visage dissimulé grâce à ses petites mains ses gémissements si adorables si ....... intenses qu'ephemer continue encore et encore à jouer avec son pauvre sexe il veut que tu craques il veut te voir jouir
alors pourquoi tu fais ton timide
le plus étrange est qu'un seul coup il te pousse de toi en se met dos à toi un petit rire s'échappe de tes lèvres « oh oh oh ... Jun est gêné ? Mais moi je veux te prendre de face ... pas de dos .. »
ses mains lui caressent le dos descends jusqu'à ses fesses lui donne des claques à ces dernières
puis pris d'une envie soudaine ephemer enfonce quelques doigts dans son trou les remues en douceur, pour ensuite les remuer plus vite tu approches ton visage près de ton oreille « jun jun jun ... t'es si bon »